Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert.
On entend le pivert / C'est signe de pluie, à coup sûr. Selon la légende, il n'aurait droit de s'abreuver qu'aux seules gouttes d'eau du ciel. C'est pourquoi il se réjouit à l'approche d'une ondée en faisant entendre son rire saccadé : Pllée, pllée, pllée, en gallo et Gleb, gleb, gleb !
Moineau, canard, rongeurs…
Fringoter : geai, pinson.
Cris et chant du pic vert
Le cri du pic vert ressemble à un ricanement. C'est un cri aigu très sonore qu'il répète plusieurs fois et que l'on peut entendre dès la fin de l'hiver.
moqueur.
Le Pic épeiche est protégé en France depuis près de 40 ans. Ce magnifique oiseau qui affectionne tout particulièrement les forêts de vieux arbres. Le bruit qu'il fait en tambourinant sur les troncs est perceptible à plus de 800 mètres à la ronde.
Celui-ci débute en effet 1 heure et 30 minutes avant le lever du soleil : le premier oiseau à entonner le récital est le rouge-queue noir, suivi de près par le rouge-gorge.
La mésange charbonnière est un des premiers oiseaux faciles à reconnaitre au chant. Ses titu titu titu ou tititu tititu tititu sont immanquables. On peut aussi entendre le hennissement aigue de la mésange bleue, très commune dans les jardins.
1. Le Rossignol. Ce petit oiseau brun à la queue rousse est facilement observable en Europe puisqu'il passe la plupart de son temps au sol ou dans les arbustes. Son chant, très complexe, est particulièrement mélodieux et reconnaissable grâce à ses intonations particulières.
Le moineau poireaute
La tête rentrée, le bec en l'air, le corps droit et les ailes plaquées, c'est la posture typique du piaf sous la pluie. De cette manière, les petits oiseaux conservent un maximum de chaleur corporelle et évacuent un maximum d'humidité.
Ils trouveront refuge dans de grands arbres, sur de grands troncs qui, au moins, les abriteront du vent fort. Et ils resteront fermement perchés tout le temps qu'il faudra. Certains vont au sol, dans les cavités, derrière de grosses roches, dans les creux des ravines, etc. Où le vent est moins fort.
Lorsqu'il pleut, les chèvres arrêtent de paître et se mettent à l'abri. Parce qu'il est très fin, le pelage des chèvres les protège également très peu de l'humidité. Il est donc indispensable que les chèvres disposent d'un abri qui les protège à la fois du vent, de la pluie et de la neige.
#1 L'hirondelle rustique.
Hirondelle de rochers. Les hirondelles sont des oiseaux migrateurs qui reviennent d'Afrique vers nos contrées en mars avril, de sorte que l'on déduit que si l'on voit une hirondelle au dessus de nos têtes, c'est que le printemps est là.
La fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla) est un oiseau peu facile à observer. En effet, c'est un oiseau rapide et solitaire qui sait se faire discret dans les forêts. Son retour annonce l'arrivée du printemps.
Je suis le pic noir, un oiseau qui tambourine avec son bec.
8/9 La chouette hulotte
Vous entendez un "hou hou" dans la pénombre ? C'est sûrement la chouette hulotte aussi appelée "chat-huant".
Vous pouvez aussi entendre un quatrième oiseau à cette période. Son tui tui tui puissant est caractéristique. Il s'agit de la sittelle torchepot. En hiver elle visite souvent les mangeoires et attrape les graines de tournesol avec son bec très puissant.
L'air est plus dense le matin
Et qui dit air plus dense dit également sons qui portent plus loin. Si les oiseaux chantent le matin aux aurores, c'est parce que c'est le meilleur moment pour dire aux autres, même aux plus éloignés : "Je suis ici chez moi".
Le Loriot d'Europe
Le chant du Loriot d'Europe s'apparente communément au sifflement des garçons qui croisent une jolie fille, ainsi il s'agit d'un beau sifflement flûté très typique de cette espèce.
Mésange charbonnière : · « Plus vite ! Plus vite ! »
C'est dire que le Pic vert se nourrit essentiellement à terre et qu'il lui faut des surfaces découvertes:herbages, prairies, gazons en lisière de bois ou dans les vergers. Le Pic épeiche au contraire est très éclectique et essentiellement arboricole pour la nourriture. Il descend rarement à terre.
Il lui arrive parfois de communiquer en tambourinant les branches mortes avec son bec. Mais cette attitude lui permet surtout de trouver de la nourriture dans le bois sec dont il jauge la résonnance. C'est un bruit très particulier qui nous permet de deviner sa présence.
Dès le solstice d'hiver passé et avec l'augmentation de la durée du jour, le Pic vert redevient vocal et peut exprimer son chant territorial. Ce chant est l'apanage du mâle (écoutez ci-dessous). C'est à la voix qu'il manifeste ses prérogatives sur un territoire qu'il défendra contre tout concurrent.