Qu'est-ce qu'une descente de vessie ou cystocèle ? Une descente d'organes ou prolapsus génital est un affaissement anormal d'un ou de plusieurs organes : utérus, vessie, rectum, à travers le vagin. La forme la plus connue est la cystocèle ou descente de la vessie.
Même si elle peut paraître impressionnante, la descente d'organes n'est pas dangereuse pour la santé de la femme. Cependant, il est évident que cette problématique peut avoir un impact important sur la qualité de vie. En effet, les symptômes du prolapsus (incontinence, constipation, sensation de lourdeur, etc.)
Couché ou couchée sur le dos, genoux fléchis, à l'expiration, contractez les muscles du plancher pelvien au maximum comme pour retenir l'urine et les gaz. Tenez la contraction 5 secondes en respirant normalement, puis relâchez avec un repos de 10 secondes entre chaque contraction.
La survenue de complications liées au prolapsus : les complications de prolapsus sont directement liées à une extériorisation, qui expose à des infections, des hémorragies et des ulcérations des organes visibles.
La rééducation périnéale, par un kinésithérapeute rééducateur, après un accouchement est une règle de base pour éviter une descente de vessie. En effet, cela permet de renforcer, grâce à des exercices, les muscles du plancher pelvien qui soutiennent la vessie et les autres organes.
Une sensation de lourdeur ou de douleur dans le bas ventre ; Une boule au niveau de la vulve, en position debout, à l'effort ou accroupie ; Une gêne ou une douleur pendant les rapports sexuels, des saignements après les rapports ; Des troubles de la défécation ou une incontinence anale.
Pour confirmer le diagnostic de prolapsus et mesurer son importance, le médecin procède à un examen gynécologique. Il met en place un spéculum , visualise le col utérin, fait un frottis cervical de dépistage, si nécessaire.
Les urologues, les gynécologues et les colo-proctologues sont tous amené à prendre en charge des femmes qui ont des problème de prolapsus génital. La chirurgie est le mode de traitement le plus courant des prolapsus génitaux.
"Le tabagisme, la toux chronique et la bronchite chronique sont également des facteurs de risque car à chaque effort, on appuie sur les viscères. Un autre grand facteur de risque est la constipation. À force d'être constipé et d'avoir des difficultés d'exonération, on appuie sur les organes.
Le pessaire est un dispositif médical de plus en plus proposé par les médecins, sages-femmes ou kinésithérapeutes pour soulager les troubles liés à la descente d'organe. Le pessaire est fabriqué en silicone et existe sous plusieurs formes : cube, anneau, anneau épais, etc.
Heureusement, le port du pessaire et la rééducation permettent d'atténuer ou de faire disparaître les symptômes liés au prolapsus qui affectent la vie intime.
Les fruits sont riches en fibres. Privilégiez les fruits doux, ou moins acides, comme la banane et la poire. Cependant, des fruits assez doux aggravent les symptômes chez certaines personnes incontinentes. C'est le cas de la pomme (et du jus de pomme), des fraises, du raisin et des pêches.
Durant le sommeil, le corps produit une urine plus concentrée et moins grande quantité qu'en journée. C'est pour cela que la nuit nous pouvons tenir 6 à 8 heures sans envie d'uriner. Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif.
3. Le citron. Acide et donc irritant pour la vessie, le citron – tout comme les autres agrumes — vous donnera envie d'aller aux toilettes.
Allongés sur le dos, les mains le long du corps et les jambes fléchies, prenez une grande inspiration. À l'expiration, soulevez le bassin et positionnez-vous en demi-pont, en contractant votre périnée. Maintenez la contraction pendant 10 secondes, puis relâchez à fond. Répétez l'opération 10 fois.
Le symptôme principal quasi constant est la sensation d'une boule vaginale ou d'une pesanteur apparaissant en position debout, augmentée par les efforts et disparaissant en position allongée. La boule devient palpable lors des toilettes puis visible lorsqu'elle s'extériorise au-delà de l'orifice vulvaire.
Quand faut-il opérer un prolapsus génital ? Lorsque la patiente est gênée par ses symptômes très handicapants ou après échec de la rééducation et du port d'un pessaire, la chirurgie est proposée pour traiter le prolapsus génito-urinaire, en l'absence de contre-indications à l'anesthésie et à la chirurgie.
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
Suivant son importance, le prolapsus peut entrainer une pression pelvienne génante, des douleurs et très souvent des troubles urinaires et rectaux.
La lourdeur dans le bas ventre désigne une sensation inconfortable ressentie par un individu au niveau inférieur de l'abdomen et dont les causes peuvent être multiples (un prolapsus, un trouble digestif...).
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Quand la boule est à l'extérieur, elle peut s'infecter et saigner. Il pourra s'y associer des fuites urinaires, voire des pertes d'urines beaucoup plus importantes.
La chirurgie du prolapsus peut se réaliser par : - Voie haute et par cœlioscopie. Elle vise à remettre les organes en place et à les suspendre par des bandelettes de fil chirurgical pour éviter la récidive.