Douleur sourde : douleur peu prononcée qui ne se manifeste pas nettement. Douleur térébrante : douleur semblable à celle que provoquerait un objet en pénétrant dans le corps. Douleur vive : douleur aiguë soudaine et forte. Les douleurs aiguës se caractérisent par un début soudain et une durée limitée.
Douleur osseuse : Il s'agit d'une douleur profonde, pénétrante ou sourde. Une douleur osseuse peut avoir de nombreuses causes (p. ex., une fracture). Elle peut également être un symptôme de l'une des formes les plus courantes de cancer (le cancer des os).
Qui se manifeste par des élancements aigus : Douleur lancinante. 2. Qui obsède, tourmente : Un souvenir lancinant.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Quand faut-il s'inquiéter ? Comment évaluer ces douleurs ? Avant toute chose, en cas de doute, il faut appeler le 15. Pour ne pas passer à côté d'une douleur symptôme d'une maladie grave, il vaut mieux appeler le 15 plutôt que de rester à la maison et de perdre de précieuses minutes ou heures.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
Elle varie selon le contexte, l'humeur ou le passé du sujet. Sauf que là où la douleur d'un CDLC ne dépend que de la force de l'émetteur, il y a peut-être autant de douleurs qu'il y a d'accouchements.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Il existe deux types de douleurs dues au cancer : La douleur nociceptive – liée à une lésion tissulaire, elle peut être vive, diffuse ou lancinante. La douleur nociceptive peut être causée par la propagation du cancer aux os, aux muscles ou aux articulations ou par l'obstruction d'un organe ou des vaisseaux sanguins.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.
Symptômes de l'inflammation
Il y a cinq signes, ou symptômes, pouvant indiquer une inflammation aiguë : la rougeur, la sensation de chaleur, l'enflure, la douleur et la difficulté à bouger normalement la zone touchée du corps.
On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.
Il existe trois façons de classer la douleur : Temporelle : aiguë ou chronique. Étiologique : d'origine cancéreuse ou non. Physiologique : nociceptive, neuropathique, mixte.
On distingue plusieurs types de douleur. Schématiquement, on distingue la douleur aiguë limitée dans le temps et qui disparaît avec le traitement de sa cause et la douleur chronique qui s'installe dans la durée et qui ne disparaît pas forcément, une fois traité le problème à l'origine du symptôme.
Le niveau 1, comme le paracétamol ou l'aspirine, est destiné aux douleurs légères. Le niveau 2, comme la codéine ou le tramadol, est destiné aux douleurs modérées ou sévères, ou aux douleurs insuffisamment soulagées par les antalgiques de niveau 1.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Une douleur articulaire dite inflammatoire ou d'horaire inflammatoire est une douleur présente lors du repos et qui diminue, voire qui disparait, lors des mouvements et des activités.