Une hémorragie est dite externe si le sang s'écoule directement à l'extérieur, interne si elle se produit dans une cavité (thorax, abdomen) ou dans un viscère (estomac, intestin) ; quand le sang sort par les voies naturelles (bouche, anus, urètre), l'hémorragie est dite secondairement extériorisée (→ circulation ...
Une hémorragie externe se produit quand il y a un écoulement de sang qui s'effectue en dehors de l'organisme. Elle est souvent consécutive à une blessure de type coupure, ou à un saignement du nez ou de la bouche. Selon le vaisseau touché, on est face à une hémorragie artérielle, veineuse ou capillaire.
Compression de la plaie Evitez, si possible, tout contact avec le sang de la victime : demandez-lui de comprimer elle-même sa blessure. Sinon, exercez une pression directement sur la plaie avec vos mains protégées (gants jetables, sac plastique ou linge). Allonger la victime Allongez la victime en position horizontale.
L'hémorragie interne se produit lorsque des vaisseaux sanguins à l'intérieur du corps se rompent, entraînant une perte importante de sang qui ne s'arrête pas spontanément. Les saignements peuvent être artériels, veineux ou capillaires, avec des conséquences graves, rapides et difficiles à contrôler.
1 résultat. hémorragie n.f. Saignement entraînant parfois une perte importante de sang. On distingue les hémorragies artérielles où le sang coule à flot par saccades, les hémorragies dites capillaires où le sang coule «en nappe» et les hémorragies veineuses où l'écoulement, qui peut être très important, n'est pas pulsé ...
La victime présentera des signes de malaise (sueurs, pâleurs, vertiges, perte de connaissance…) Face à une hémorragie, il faut agir rapidement ! Si la personne perd trop de sang, il y a un risque d'arrêt cardiaque, car le cœur n'a plus assez de sang à pomper et s'arrête.
On différencie deux types d'hémorragie : interne et externe.
Une hémorragie est dite externe lorsque le sang s'écoule directement à l'extérieur de l'organisme. Elle est généralement due à une blessure comme une coupure profonde.
Une hémorragie correspond à une perte importante de sang, un saignement qui ne s'arrête pas. Cet écoulement causé par la rupture d'un vaisseau sanguin peut être visible. On parle alors d'hémorragie externe car le sang s'écoule par une blessure qui est en général apparue suite à un traumatisme.
Risques encourus
Pour la victime : cette perte de sang, abondante et prolongée, peut entraîner une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque ; Pour le sauveteur, s'il a lui-même des plaies sur la main ou s'il reçoit du sang sur les muqueuses (bouche, yeux…), il y a un risque de contamination.
Au contraire, lorsque le saignement est abondant (s'il peut imbiber un mouchoir de papier ou de tissu en quelques secondes), la perte de sang est en elle-même dangereuse, car le sang amène l'oxygène aux organes. S'il n'y a plus de sang pour les alimenter (ischémie), ces derniers meurent, entraînant la mort.
Une hémorragie est un saignement important qui ne s'arrête pas spontanément. On parle d'hémorragie interne quand l'écoulement du sang ne se voit pas, il a lieu à l'intérieur du corps. Elle est liée à la rupture d'un vaisseau, suite à un accident ou une maladie.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Lorsque la perte de sang est progressive, cela se manifeste par de la fatigue, un essoufflement et une pâleur.
des nausées et vomissements ; des vertiges, troubles de la coordination, pertes d'équilibre ; une confusion mentale, une inconscience, voire un coma ; des troubles neurologiques : engourdissement, hémiplégie (paralysie d'un côté du corps, notamment en cas d'AVC hémorragique).
allonger la victime, surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Dans le cas de légères pertes de sang, un traitement constitué de liquides et de médicaments est souvent suffisant. Dans le cas de pertes de sang plus importantes, une transfusion sanguine ou une solution de rechange à une transfusion est souvent nécessaire.
un saignement abondant ou hémorragie, qui imbibe de sang un mouchoir de toile ou de papier en quelques secondes et qui ne s'arrête pas spontanément. C'est le cas de l'hémorragie artérielle avec du sang rouge qui jaillit de manière pulsatile, à chaque battement cardiaque, ou une hémorragie à partir d'une veine.
En attendant les secours, lavez-vous les mains avec de l'eau et du savon (si possible) ou un gel hydro-alcoolique. Puis, appliquez une pression directement sur la blessure, pour arrêter le saignement.
Le choc hémorragique est la conséquence d'un déséquilibre entre demande et apport d'oxygène. Le choc hémorragique est secondaire à une perte massive et brutale de sang. Les saignements d'origine digestive sont la première cause de choc hémorragique.
On appelle détresse circulatoire une atteinte de la fonction circulatoire dont l'évolution peut affecter, à court terme, les autres fonctions vitales de l'organisme (fonction respiratoire, fonction neurologique) et conduire au décès de la victime.
Symptômes des saignements utérins anormaux
être de durées variées. durer plus de 8 jours. se produire entre les règles (saignements intermenstruels) impliquer une perte de sang plus importante (perte de plus de 85 ml de sang environ ou des règles qui durent 8 jours ou plus)
Un premier rapport sexuel
L'hymen, la membrane qui recouvre l'entrée du vagin, peut saigner lors du premier rapport sexuel. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter : c'est tout à fait normal et le saignement disparaît rapidement.
Le symptôme le plus courant du cancer de l'utérus est un saignement vaginal anormal. Cela comprend des changements des menstruations (périodes plus abondantes, plus longues ou plus fréquentes que la normale), des saignements entre les règles, des saignements après la ménopause et de légers saignements vaginaux.