Une intégration réussie repose avant tout sur la capacité de l'entreprise à bien savoir comment et jusqu'où elle peut développer son parcours d'onboarding, soit le processus d'accompagnement et de prise de marque de ses nouvelles recrues.
La réussite de l'intégration d'un salarié est vectrice d'un engagement durable et d'une meilleure implication au sein de l'entreprise. Cet accompagnement donnera au nouvel arrivant un sentiment de soutien et lui permettra de développer au mieux ses compétences.
Avec la bonne approche de l'intégration, les nouveaux membres de l'équipe s'intégreront plus rapidement, seront plus épanouis et plus productifs, et ils sont beaucoup plus susceptibles de rester en poste plus longtemps.
En combinant ces deux dimensions, quatre types d'intégration professionnelle sont distingués : l'intégration assurée, l'intégration incertaine, l'intégration laborieuse et l'intégration disqualifiante.
Au sens général, l'intégration est un processus d'incorporation d'un élément dans un autre, accompagné d'une transformation réciproque de ces éléments tendant vers l'unité. Le latin integrare, rendre complet, rappelle ainsi que l'intégration opère un geste vers l'achèvement.
L'intégration
Souvent, les RH considèrent leur rôle terminé le jour où la personne arrive et qu'elle est accueillie. L'accueil fait partie du processus d'intégration, et qui, malheureusement, s'arrête souvent à cette première étape.
Introduire quelqu'un dans son cercle d'amis, c'est le présenter, lui montrer au moins un intérêt poli (on ne snobe pas quelqu'un sous prétexte qu'on ne l'a jamais vu avant), lui parler, lui demander ce qu'il fait dans la vie. En un mot accepter, de se faire un nouvel ami.
L'intégration démarre quand le process de recrutement est finalisé, après acceptation de la proposition d'embauche et donc avant même l'arrivée du nouvel embauché (on appelle cette période le « pré-boarding »).
« L'intégration » correspond aux premiers temps passés dans l'organisation. Elle est consacrée à l'apprentissage des différentes dimensions de la socialisation ou domaines de socialisation. Cette phase de découverte permet ensuite au salarié de s'installer dans son rôle.
La vision prônée par la France depuis de nombreuses années est celle de politiques sociales dites « d'intégration » : il s'agit de permettre aux individus de devenir membre d'une société, dans le respect de leurs différences et de leurs particularités.
Comment évaluer l'intégration d'un nouveau collaborateur
Le nouveau collaborateur doit aussi s'intégrer dans l'entreprise, s'y sentir bien. Son responsable hiérarchique est donc le premier sollicité pour faciliter cette intégration. Il doit tenir les promesses faites à son collaborateur lors de l'entretien d'embauche.
C'est une étape déterminante, qui lui permettra de comprendre les attentes précises de son manager, de savoir sur quels points il doit s'ajuster, de faire part de ses difficultés s'il en rencontre et de ses besoins d'accompagnement pour répondre aux attentes de l'entreprise.
La réponse apportée à la question « Que pouvez-vous nous apporter ? » peut être une occasion de mettre en avant votre profil, en expliquant ce que vous seul pouvez apporter à l'entreprise. Pour cela, votre réponse doit expliciter en quoi vos compétences, votre expérience et vos qualités sont un atout pour l'entreprise.
Concentrez-vous sur les membres du groupe.
Ne concentrez pas volontairement toute l'attention sur un membre de votre groupe devant les autres, car cette personne pourrait alors être mal à l'aise. Préférez centrer la conversation sur l'autre personne lorsque vous parlez avec elle en tête-à-tête.
Le concept d'inclusion accepte que tout le monde entre dans la société et puisse s'y retrouver avec ses différences sans jamais laisser quelqu'un seul ou en difficulté. L'intégration, quant à elle, ne veut pas faire changer la société.
Comme la famille et l'école, il permet d'acquérir des normes et des valeurs propres à un groupe social donné. C'est donc lui aussi une instance clé de l'intégration sociale, et ce pour plusieurs raisons : d'un point de vue économique, le travail permet tout d'abord d'accéder à la consommation.
C'est un dispositif de collaboration entre plusieurs partenaires qui amène à : - Reconnaître les potentialités des enfants à besoins spécifiques - Les considérer dans leur individualité en identifiant la spécificité de leur trouble et en prévoyant des aménagements permettant leur évolution.