La mort naturelle consiste en l'aboutissement du processus du vieillissement, en l'usure organique interne, c'est-à-dire lorsque la vie ne parvient plus à produire l'énergie nécessaire pour continuer à être.
Elle opère une disjonction entre deux conceptions de la mort : la mort naturelle aurait des causes intrinsèques, ce qui implique que la mort fait partie de la vie et que la mort est en quelque sorte immanente. Quant à la mort violente, elle serait due à des causes extérieures.
nf. décès brutal et inattendu non provoqué par une cau ... adv.
Les quatre causes de mortalité les plus fréquentes (tumeurs, maladies de l'appareil circulatoire, maladies de l'appareil respiratoire et morts violentes) totalisent les deux tiers (67,1 %) des décès.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Le 4 mai 1917, pendant la Grande Guerre, près de 250 soldats allemands sont morts dans un tunnel de l'Aisne. Depuis, impossible ou presque de localiser cet immense tombeau. C'est l'histoire d'une longue recherche contre l'oubli.
La mort subite cardiaque est une mort naturelle causée par un arrêt du cœur. Dans plus de 80 % des cas, "le mécanisme de la mort subite est un trouble du rythme ventriculaire (fibrillation ventriculaire ou tachycardie ventriculaire)", précise la Fondation Cœur & Recherche.
Responsables de 16 % de tous les décès enregistrés dans le monde, les cardiopathies ischémiques sont la première cause de mortalité à l'échelle mondiale. Les décès dus à ces maladies sont ceux qui ont le plus augmenté depuis 2000, passant de 2 millions cette année-là à 8,9 millions en 2019.
Un dysfonctionnement du système électrique du cœur peut provoquer une arythmie (battements de cœur irréguliers) fatale et une perte de la capacité de pompage du cœur. En conséquence, le cœur peut s'arrêter soudainement (mort subite d'origine cardiaque) et nécessiter une réanimation d'urgence immédiate.
Les signes avant-coureurs de l'arrêt cardiaque
Lorsque la cause est un infarctus du myocarde, le sujet peut présenter, dans les jours ou les heures qui précèdent, une douleur thoracique prolongée pouvant s'étendre jusqu'aux bras, une sensation d'oppression, de serrement voire d'écrasement.
La mort subite cardiaque se définit comme une mort naturelle avec perte brutale de conscience dans l'heure qui suit le début des symptômes, chez un sujet ayant ou non une maladie cardiaque connue. Le moment et le mode de survenue sont inattendus.
La mort clinique
A la différence de la mort cérébrale, elle est constatée sans examens médicaux mais en auscultant le corps pour vérifier notamment l'absence de pouls, de mouvements respiratoires. A ce stade, le patient peut dans certains cas encore être réanimé.
Le corps a une odeur très désagréable
Vont alors se produire des réactions chimiques liées à la décomposition du corps. "Le corps commence à suinter des liquides noirs et rouges, la peau devient progressivement verdâtre puis noire et le corps dégage des odeurs très désagréables.
S'accorder un temps de repos suffisant après ou entre chaque effort. Eviter les activités par des températures extérieures inférieures à -5 °C ou supérieures à +30 °C, ou encore lors de pics de pollution. Ne pas fumer dans les deux heures qui précèdent ou qui suivent l'activité.
Il est interdit de faire dormir le petit sur le ventre. La position allongée sur le dos est fortément conseillée, pour ne pas dire obligatoire. En effet, il a été constaté dans les années 1990, que les chiffres de mort subite du nourrisson sont plus élevés lorsque les enfants dorment sur le ventre.
Après la mort, l'entité humaine s'élève en traversant spirituellement les différentes sphères planétaires, la sphère lunaire correspondant au purgatoire. C'est en traversant ces sphères planétaires, avec l'aide des hiérarchies angéliques, que le karma est élaboré.
Certaines pathologies sont connues du grand public, comme la trisomie 21, la drépanocytose ou la mucoviscidose, mais d'autres beaucoup moins : l'oesophagite à éosinophiles, le syndrome du QT long familial, l'embryopathie à cytomégalovirus, la neuropathie périphérique génétique, etc….
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
L'Organisation mondiale de la santé considère la SLA comme l'une des maladies les plus cruelles au monde. Le journaliste-romancier Bertrand Poirot-Delpech l'a décrite en employant les termes d'« emmurement vivant ». L'esprit du patient reste vif dans un corps qui, petit à petit, ne peut plus bouger.