L'habitat évolue peu, un potager et verger complètent la demeure. A la fin du XIXe la hiérarchie est inversée dans les immeubles à cause de l'invention des ascenseurs, la bourgeoisie préfère les étages (plus de luminosité, belle vue...) Le XXe siècle est marqué par l'exode rural et le développement de la ville.
L'homme devient sédentaire grâce à l'invention de l'agriculture et l'élevage. Il n'a donc plus besoin spécialement de bouger. Des villages vont se créer avec des maisons durables faites de bois, terre et feuillage. Puis, l'homme va utiliser le feu pour s'éclairer et pour se chauffer par la même occasion.
Résumé l'évolution de l'habitat
À l'antiquité, les habitations permettent de loger plus de personnes et le confort est amélioré. Elles étaient alors en pierre. Au moyen-âge, les habitations permettent de se protéger des invasions et les maisons sont en bois, en torchis et en chaume et il n'y a pas de vitre.
L'Habitat autrefois et aujourd'hui
(Bois, paille, pierre). Par exemple, au Moyen-âge, les hommes construisaient des châteaux-forts, en pierre et s'y réfugiaient en cas de guerre. De nos jours, on construit des immeubles modernes, pour loger un maximum de personnes. On utilise le béton, l'acier, le verre…
Néolithique. DE – 12 000 à -1 000, l'habitat a évolué vers des maisons le plus souvent communautaires, parfois plus petites, généralement composées d'ossature bois avec des poteaux ancrés au sol, des charpentes porteuses et des murs en terre type torchis.
Le premier habitat de la lignée humaine ? Les arbres, bien sûr ! Il s'agit là d'habitat au sens zoologique du terme : Toumaï, Orrorin ou les australopithèques se reposent et se réfugient dans les branches, y construisant peut-être, comme les grands singes actuels, un nid végétal.
a) Protection des intempéries et animaux sauvages. b) Loger un grand nombre de personnes, améliorer le confort.
Dans les régions karstiques, grottes et abris-sous-roche constituent des lieux d'accueil naturels très prisés. Dans les plaines alluviales et sur les plateaux dénudés, les Hommes structurent leurs habitats en campements et s'équipent de tentes pour se protéger.
En urbanisme, il se décline en habitat individuel, habitat collectif ou habitat intermédiaire, mais aussi en habitat dense (groupé) ou pavillonnaire (isolé sur sa parcelle).
Tous les humains du Paléolithique étaient en effet des nomades. Ils vivaient le plus souvent en plein air et parcouraient l'espace au rythme des saisons. Même si leurs modes de déplacement et leur culture matérielle différaient, tous avaient en commun le souci de se mettre à l'abri et se protéger.
7 000 000 d'années : apparition des premiers ancêtres de la lignée des « hommes ». 3 500 000 ans : début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli (Afrique, Tanzanie). 2 700 000 ans : Apparition de l'Homo habilis et premiers outils débités.
Vous pouvez soumettre une demande de consultation à la mairie de la commune concernée ou au centre des impôts. Vous avez aussi la possibilité de consulter le cadastre local très simplement depuis le site officiel www.cadastre.gouv.fr.
Les premières traces d'habitation pourraient être celles laissées par Homo Habilis en Tanzanie, il y a plus de deux millions d'années; il s'agit de cercles de pierres qui peuvent indiquer l'installation d'une construction en bois.
Qu'est-ce qui a changé entre les maisons d'autrefois et les maisons d'aujourd'hui ? la taille, les matériaux de construction : trouvés dans le milieu naturel (préhistoire, antiquité, Moyen-Age) ; la taille, les façades, le confort (châteaux Moyen-Age : pas de confort, Château des rois des rois : haut luxe).
En architecture, on distingue deux types de bâtiments destinés au logement d'un ou de plusieurs individus : l'habitat individuel et l'habitat collectif.
Un habitat est caractérisé par des facteurs biotiques et abiotiques. Il doit offrir à ses habitants, entre autres, un climat propice (quantité de précipitations, température, humidité, vent, etc.), de la nourriture disponible (faune et/ou flore du milieu) et de l'eau en quantité suffisante.
Elles concernent sa construction jusqu'à sa destruction : production, transformation, fabrication, transport, mise en œuvre, utilisation, entretien, fin de vie. Cet ensemble constitue le cycle de vie de la maison individuelle.
En 2050, les logements sont modulables, conçus pour se transformer au gré des besoins, à géométrie variable, de leurs occupants. Ainsi, on peut regrouper ou diviser des pièces, grâce à des cloisons amovibles ; les maisons sont faciles à rehausser et on y crée des studios indépendants…
L'habitat de demain passe notamment par la transformation de l'existant et la réversibilité des constructions, c'est-à-dire la capacité des bâtiments à changer d'usage en fonction des besoins.
L'habitat doit faciliter le travail personnel (domestique, intellectuel, de formation), permettre le repos et le sommeil, offrir des espaces - en particulier des espaces naturels – qui rendent possibles la pratique de l'activité physique, de la relaxation et les relations sociales.
L'habitat, pourrait-on dire, est au logement ce que le territoire est à l'espace : l'habitat, c'est le logement qui aurait été prolongé, « enrichi » conceptuellement, le tout étant alors, bien entendu, de définir ce supplément d'âme qui va venir faire basculer d'un domaine de validité à l'autre – je mets « enrichi » ...
La définition d'un habitat urbain ? Un habitat urbain est une habitation située en centre-ville ou dans une zone urbaine. L'habitat urbain s'oppose à l'habitat rural.