La vérité peut être extérieure à nous. Il nous faut l'accepter pour vivre dans le vrai. De ce pointt de vue, l'un des moyens les plus sûrs pour atteindre la vérité est la science. En effet, elle élabore des théories en observant objectivement les faits et valide ses hypothèses [théoriques] par l'expérience.
1 – Pour accepter la vie comme elle est : décider de ne pas râler. Ce que nous pousse à comprendre la citation de Marc Aurèle, c'est de faire un choix. Le choix de ne pas se lamenter sur les choses, c'est à dire de ne pas râler.
En psychologie comportementale, le dénialisme (denialism) est le choix de nier un fait ou un consensus sans justification rationnelle. Le terme adéquat est « dénégation » ; mais le terme de « déni » est plus souvent employé, par abus de langage et par anglicisme.
La vérité révélée peut dévoiler une position de vulnérabilité, une part de nous qui va nous dévaloriser aux yeux des autres, peut blesser son interlocuteur voire le trahir. Certains vont dénier le droit à d'autres de lui asséner des vérités par illégitimité : « Tu n'es personne pour me dire cela ! »
Nous avons le devoir de chercher la vérité, car il en va de notre dignité d'homme. Toutefois, ce devoir doit être adapté à la nature de la vérité qui, aussi utile soit-elle, peut s'avérer nuisible et destructrice si elle n'est pas maniée avec précaution.
Pour le sens commun, une proposition ou une théorie est « vraie » lorsqu'elle est conforme au réel et qu'elle peut être attestée par l'observation ou par l'expérimentation.
Faux, trompeur, calomnieux.
Cela ne veut certes pas dire qu'il faille déclarer la vérité en toute occasion, certes pas : « cacher la vérité n'est pas mentir » ; un homme qui avait le souvenir des persécutions savait qu'il est de nombreuses situations où dire le vrai revient à trahir autrui et commettre un crime.
Mentir, c'est cacher une vérité que l'on doit manifester.
Regarder la réalité en face c'est connaitre cette réalité, c'est apprendre à accepter que l'autre a la sienne, quelle que soit l'amitié qu'on lui porte, et à accepter d'être dérangé par cette autre réalité pour gagner en lucidité sur soi, sur les autres et sur le monde.
Le déni est une notion utilisée en psychanalyse pour désigner le fait de refuser, de façon inconsciente, une partie ou l'ensemble d'une réalité. Le déni peut porter sur un sentiment ou une émotion, mais aussi sur des faits qui se sont produits.
Refus d'un droit. Synonyme : dénégation, négation, réfutation.
Ne restez pas seul(e)
Il n'y a rien de mieux pour oublier un homme qui ne nous aime pas. Il sera ainsi plus facile de penser à autre chose et donc de délocaliser ses pensées vers du positif. Donc allez vers vos amis, retrouvez régulièrement les membres de votre famille et élargissez votre cercle social !
C'est comprendre, intégrer et respecter sa singularité. Attention, s'accepter ne veut pas dire que les zèbres perdent l'intensité qui les caractérise, et cela ne permet pas non plus de résoudre tous les problèmes auxquels les zèbres, comme chaque être humain, peuvent être confrontés dans leur vie.
(Figuré) Dire (à quelqu'un) toutes les choses désagréables que l'on pense de lui et qu'on lui dissimulait jusqu'alors, par courtoisie ou conventions sociales. Excédée par cette dispute, elle lui a dit ses quatre vérités, y compris qu'elle n'avait jamais cru à son projet. Depuis, ils ne se sont plus adressés la parole.
Généralités. L'opposition « mensonge » et « vérité » est courante. Néanmoins, le mensonge relève d'un acte moral (la bonne ou la mauvaise foi), alors que la vérité relève du fait (le vrai et le faux). Le contraire du mensonge serait donc la sincérité et celui de la vérité l'erreur.
Réfléchissez à la raison de votre mensonge.
Prenez le temps d'observer vos actions et de vous demander quelles ont été vos motivations. Vous n'essayez pas de trouver une excuse à votre comportement, mais plutôt de mieux comprendre ce qu'il s'est passé.
Des causes encore floues
Pour expliquer ce besoin incessant de s'inventer une autre vie, les spécialistes pointent un lourd déficit d'amour de soi. "On parle aussi souvent de traumatismes, notamment sexuels. Ces personnes ont eu besoin de se défendre dans l'oubli.
Dans ce cas précis, le mensonge constitue une mauvais habitude plutôt qu'une maladie. Il devient pathologique lorsque l'intéressé finit par croire lui-même à son mensonge, à confondre la réalité de sa vie avec celle qu'il s'est inventée. Il devient mythomane.
Il s'agit de protéger la relation établie avec autrui. On ment par peur d'être privé de l'amour, au sens large, de l'autre. » Selon lui, le mensonge est d'abord « un acte défensif ».
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
Philo52 - Les obstacles à la (recherche de la) vérité "Je dirai qu'il y a trois causes qui font obstacle à ce que devrait être la vision du vrai : les exemples dont l'autorité est fragile ou indigne de ce nom ; le poids des habitudes ; le gros bon sens des foules sans expérience.
La vérité absolue est celle que réalisent les Êtres éveillés, la vérité relative est le fait des êtres qui restent plongés dans l'illusion et l'ignorance.