Le participe passé employé sans auxiliaire équivaut à un adjectif : il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Nous n'étudierons que les lettres reçues avant le 30 avril (le participe passé reçues est du féminin pluriel comme le nom lettres auquel il se rapporte).
Sa règle d'accord est la même que celle de l'adjectif. Le participe passé employé seul (c'est-à-dire sans avoir ni être) s'accorde avec le nom ou le pronom dont il est le complément ou l'attribut : il en reçoit le genre et le nombre.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir s'accorde en genre et en nombre avec le complément d'objet direct du verbe, si celui-ci précède le participe. La lettre que j'ai reçue est intéressante. Hier j'ai reçu une lettre intéressante.
Règle. Le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir (PPA) s'accorde en genre et en nombre avec le pronom ou le nom noyau du groupe nominal (GN) qui occupe la fonction de complément direct (CD) si ce dernier est placé avant le verbe.
2 pensées sur “Questions d'orthographe : écrit-on : “les pommes que j'ai mangées” ou “les pommes que j'ai mangé”?” C'est “les pommes que j'ai mangées“. Au pluriel la fête est plus drôle.
Savoir reconnaître le COD est absolument capital dans la conjugaison car lorsqu'il est placé devant un verbe et que ce verbe porte l'auxiliaire avoir, le verbe s'accorde en genre et en nombre avec son COD.
Le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet, mais avec le complément d'objet direct (COD), uniquement si celui-ci est placé avant. Exemples : « Le chat a mangé les souris ! » Le COD « les souris » est placé après le participe passé, on n'accorde pas.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
Aidé ou aidée , les deux sont possibles ! Ça dépend d'une seule chose : si la personne qui écrit est un homme ou une femme. En revanche, aidés ou aidées avec un s ne sont pas possibles dans cette phrase.
Le complément d'objet direct, ou COD, fait partie du groupe verbal. Le COD désigne l'objet de l'action et répond à la question « sujet +verbe + qui ? » ou « sujet + verbe + quoi ? ». Il n'est jamais introduit pas une préposition, mais suis directement le verbe. C'est pour cela qu'on l'appelle complément d'objet direct.
Il arrive qu'un adjectif participe soit placé après le verbe être. Il faut faire attention de ne pas le confondre avec le participe passé employé avec l'auxiliaire être. Elle est mortifiée. Dans cette phrase, le mot mortifiée est un adjectif participe tiré du participe passé du verbe mortifier, précédé du verbe est.
Le participe passé d'un verbe pronominal doit s'accorder avec son complément d'objet direct s'il est placé avant lui. Qu'a-t-on acheté, ici ? « qu' », mis pour « la veste », lequel précède bien le participe en question. D'où la marque du féminin singulier à ce dernier.
Quand il n'y a pas d'auxiliaire (ni "être", ni "avoir"), le participe passé s'accorde toujours avec le nom auquel il se rapporte. Le touriste, émerveillé, prend des photos. C'est le touriste qui est émerveillé (masculin singulier : on n'ajoute rien.).
Le participe passé employé avec un nom s'accorde comme un véritable adjectif qualificatif. Il prend un -e au féminin et un -s au pluriel. Ex.: L'avoine coupée - les foins coupés - les avoines coupées.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Notons toutefois que les participes passés des verbes «se plaire», «se complaire», «se déplaire», «se nuire» ou «se téléphoner» sont invariables car ils n'ont jamais de COD avec lequel s'accorder... On ne badine pas avec la langue.
Il faut donc, pour faire l'accord, chercher quel(s) mot(s) est/sont représenté(s) par ce pronom : Les chauffeurs avaient garé les camions sans les (= camions) avoir déchargés. complément d'objet direct, celui-ci est nécessairement placé au début de la proposition : Combien d'occasions (COD) elle (sujet) avait manquées.
Le complément d'objet direct ou COD désigne l'objet de l'action. – Il répond à la question qui ? ou quoi ? – Il n'est jamais introduit par une préposition.
Par conséquent, on accorde le participe passé « reçu » au féminin singulier, d'où : « la trottinette que j'ai reçue ». En revanche, l'autre participe passé, plu, ne s'accorde pas.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir ne s'accorde jamais avec le groupe sujet. Exemple : Elle a travaillé toute la nuit. Ils ont acheté des fruits au marché. Par contre, le participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir s'accorde en genre et en nombre avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe.
Définition je vous remercie de m'avoir prévenue | Dictionnaire français | Reverso.
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.