Quand un pilote est à moins d'une seconde de celui qui roule devant lui au point de détection, cela illumine un témoin lumineux sur le tableau de bord, et le pilote appuie sur le bouton qui active le DRS », précise-t-il. « La détection ainsi le l'allumage du témoin lumineux se font automatiquement.
Son utilisation est autorisée à tout pilote qui en même temps : est à moins d'une seconde du pilote le précédant sur la ligne de détection (ligne où est mesuré l'écart entre les deux voitures.
Le pilote doit se trouver à moins d'une seconde derrière son adversaire en franchissant la ligne de détection, être dans le troisième tour de course, rouler dans des conditions de piste sèche et que la course ne soit pas neutralisée. Les aléas de la course conditionnent l'activation du DRS.
L'enclenchement du DRS est réalisé sur le volant de F1 au moment propice. L'utilisation du DRS est cependant régie par un certain nombre de conditions. Le pilote peut activer le mécanisme de réduction de la traînée lorsque : Il se trouve à moins d'une seconde d'un autre pilote qui le précède dans la ligne de détection.
Mais avec lui est réapparu l'effet dit de «marsouinage». Ce phénomène fait osciller violemment la voiture de haut en bas comme un marsouin à la surface de la mer.
L'essence que devront utiliser les écuries est, en théorie, le même que celui que consomment les voitures de tous les jours : du bon vieux super sans plomb 95 - E10. Évidemment, les F1 et leurs moteurs d'horlogerie n'utiliseront jamais d'essence de supermarché.
Il s'agit du DRS, pour Drag Reduction System (système de réduction de traînée). L'idée est simple : dans une ligne droite, en abaissant l'aileron de la voiture, il est possible de gagner de nombreux km/h, et favoriser les dépassements.
Une monoplace de Formule 1 en virage et en accélération peut générer jusqu'à 6G de force gravitationnelle : une pression qui se répercute en conséquence sur le corps du pilote, un peu comme les Top Guns de l'armée de l'air. Cela suffit pour exiger une préparation physique extraordinaire.
Ces étincelles sont le produit des frottements des patins de protection en titane fixés sur les fonds plats des monoplaces depuis plusieurs saisons (voir vidéo de 2015 ci-dessous). Visuellement l'effet est garanti pour les spectateurs et le danger quasi-inexistant pour les pilotes.
L'article 20.2 stipule que « Les pilotes doivent utiliser la piste en tout temps. Pour dissiper le doute, les lignes blanches peintes aux bords du tracé font partie de la piste, mais les vibreurs ne le sont pas. Un pilote ne peut plus quitter la piste sans raison valable ».
Un pilote boit de l'eau à travers une paille pendant la course pour s'hydrater. Certains pilotes urinent dans leurs voitures pendant la course pour se soulager.
12 millions de dollars.
C'est la valeur d'une Formule1. Ce qui en fait et de loin la voiture la plus chère au monde. L'essentiel du prix est constitué par le moteur hybride évidemment, un V6 turbo d'1,6 litre, estimé à lui seul à 10 millions de dollars environ.
La pratique de la course automobile met l'organisme à rude épreuve et nécessite une préparation de très haut niveau. Explications à l'occasion du GP de Monaco. La Formule 1 est un sport de compétition qui, comme tous les sports de haut niveau, demande une préparation physique spécifique et intensive.
C'est l'une des règles sportives la plus sujette au débat : les manœuvres de défense lors des phases de freinage. Les coups de volant et les zig-zag en piste lorsqu'un pilote essaie de défendre sa position face à son adversaire.
Il appuie sur l'accélérateur et conserve le régime moteur à environ 13 000 tours/minute, Lorsque les feux de départ s'allument, il relâche doucement les deux palettes à la position présélectionnée, ce qui place l'embrayage au point de friction.
Depuis 1991, tous les points marqués à l'occasion de chaque course (10, 6, 4, 3, 2, 1 pour les six premiers jusqu'en 2002 ; 10, 8, 6, 5, 4, 3, 2, 1 pour les huit premiers à partir de 2003 ; 25, 18, 15, 12, 10, 8, 6, 4, 2, 1 pour les dix premiers à partir de 2010) sont additionnés pour décerner les titres.
Abandonnés, principalement pour des raisons de sécurité, les ravitaillements en essence pourraient bien refaire surface. Pourtant, au-delà de la sécurité des mécaniciens et des pilotes, il leur avait été reproché, à l'époque, de nuire au spectacle.
Mais depuis 2010, les ravitaillements pendant la course sont interdits.
L'article 28.2 a) du Règlement Sportif de la F1 dispose ainsi que "tout pilote ne peut utiliser plus de 3 moteurs (ICE), 3 MGU-H, 3 turbocompresseurs (TC), 2 batteries (ES), 2 unités de contrôle électronique (CE), 3 MGU-K et 8 de chacun des [...]
Ce processus fait rebondir la voiture d'avant en arrière, à la manière d'un marsouin qui successivement plonge dans l'eau puis en émerge, d'où le terme de marsouinage pour expliquer ce phénomène de rebondissement.
Mercedes : plusieurs raisons à sa chute, selon Marko. Oui, Mercedes a clairement un handicap moteur en Formule 1, désormais. Les piètres prestations de ses partenaires, Aston Martin, Williams et Mclaren, n'étant pas une coïncidence. Mais outre ce facteur, la formation de Brackley souffre aussi du marsouinage.
On le sait, les F1 roulent avec une garde au sol assez basse, pour profiter de l'effet de sol (phénomène qui se traduit par une diminution de la pression atmosphérique de l'air qui se trouve entre la monoplace et le sol).
Les pneumatiques
En moyenne, un pneu revient à 1500 euros. Même raisonnement pour les jantes qui, quant à elles, reviennent à 4000 euros l'unité.
370,1 km/h en Grand Prix
En ce qui concerne le record en course, il est détenu par Kimi Raïkkönen. Lors du Grand Prix d'Italie 2005, le pilote finlandais, alors au volant d'une McLaren, atteint les 370,1 km/h.