Pour adopter leurs petits-enfants, les grands-parents peuvent saisir le tribunal en demandant une requête auprès du procureur. Lorsque l'enfant a été préalablement recueilli par ses grands-parents avant l'âge de 15 ans, cette requête peut être déposée sans l'aide d'un avocat.
Il est donc possible d'adopter son neveu, d'adopter son petit fils, d'adopter sa sœur… Il est également possible dans le cas d'un re-mariage d'adopter son beau fils ou d'adopter sa belle fille. L'adoption intrafamiliale est possible à tout âge.
L'adoption en France est gratuite. L'agrément et la procédure qu'il implique ne donnent lieu à aucun frais, en dehors des frais de courrier et de déplacement de l'adoptant jusqu'aux bureaux de l'Aide sociale à l'enfance du Conseil départemental (ASE).
Ainsi, l'enfant peut être adopté même si le parent autre que le conjoint est encore vivant. Les effets de l'adoption simple. L'adoption simple fait cumuler deux liens de filiation pour l'enfant adopté : un lien avec sa famille de sang et un lien avec sa famille adoptive.
En France, pour pouvoir adopter un enfant, il faut avoir 28 ans minimum, que l'on soit célibataire ou mariée. Pour un couple marié, il faut garantir 2 ans de mariage et pas de séparation de corps. Pour un couple marié adoptant seul, le consentement du conjoint est tout de même nécessaire.
Les adoptants doivent être en mesure d'apporter la preuve d'une communauté de vie d'au moins un an ou bien d'être âgés l'un et l'autre de plus de 26 ans. Avant la réforme, les époux devaient justifier de deux ans de mariage ou être âgés de 28 ans.
La loi française prévoit que l'on peut adopter si l'on a 28 ans ou si l'on est marié depuis deux ans au moins : les jeunes couples n'ont donc pas à attendre bien longtemps pour être en mesure, légalement, d'adopter.
LES INCONVENIENTS
L'adoption est définitive : le divorce des époux ne met pas fin à l'adoption et celle-ci ne peut pas être révoquée (seule l'adoption simple peut être révoquée pour motifs graves, tels que des actes violences sur l'adoptant).
A la différence de l'adoption plénière qui supprime tout lien juridique avec la famille d'origine, l'adoption simple confère à l'adopté une filiation qui s'ajoute à sa filiation d'origine (364 C. civ.. L'adopté conserve ses droits dans sa famille d'origine; il est donc lié aux deux familles.
Adoption de l'enfant mineur de l'époux, du partenaire de Pacs ou du concubin. Si vous vivez en couple avec le père ou la mère d'un enfant, vous pouvez adopter cet enfant sous certaines conditions. La procédure se déroule devant le tribunal judiciaire. C'est l'adoptant qui doit faire la demande de l'adoption.
Le montant de la participation dépend de l'espèce, de l'âge et de la situation de l'animal lors de l'adoption : Chien : 250€ de frais d'adoption. Chiot de moins de 6 mois : 300€ de frais d'adoption. Chat ou chaton : 150€ de frais d'adoption.
Un avocat en droit de la famille doit vous éclairer sur les différents régimes d'adoption et sur leur conséquences. Il rédige pour vous des actes administratifs. Un avocat est obligatoire pour une adoption si l'enfant est accueilli après l'âge de 15 ans.
Conditions à remplir. Vous devez avoir au moins 26 ans et 15 ans de plus que l'adopté. Vous pouvez être marié ou non, vivre seul ou être en couple. Si vous êtes marié ou lié par un Pacs, l'autre membre du couple devra donner son consentement devant notaire ou sur papier libre.
Adoption par les grands-parents. L'adoption de leurs petits-enfants par les grands-parents est admise dans son principe (Pour un exemple : Cour d'appel de Rennes, 24 janvier 2000 : JurisData n° 2000-110223).
Une personne seule ou un couple marié, pacsé ou vivant en concubinage peut adopter un mineur ou un majeur, français ou étranger. L'adoption peut être simple ou plénière. Dans le cas de l'adoption simple, les liens avec la famille d'origine sont maintenus.
Un couple peut adopter un adulte par adoption simple sous certaines conditions. Le majeur doit consentir à son adoption. La procédure se déroule devant le tribunal judiciaire. L'adoption a pour but de créer un lien de filiation : Lien juridique entre un enfant et son père et/ou sa mère.
J'ai l'honneur de vous présenter ma demande d'adoption. En effet, depuis le [date], j'ai recueilli l'enfant [nom, prénom] né le [date] à [lieu de naissance] à mon domicile. J'ai noué des liens d'affection avec lui et je souhaite les renforcer en adoptant cet enfant.
Deux types d'adoptions sont reconnus en France : l'adoption plénière et l'adoption simple. L'adoption crée un lien de filiation établi par la décision d'une autorité (juge ou administration). Deux types d'adoptions sont reconnus en France : l'adoption plénière et l'adoption simple.
Adopter, c'est un choix de vie avant d'être une bonne action ! De l'envie à la prise de décision, il se passe parfois un peu de temps : l'adoption n'est pas anodine, elle met en jeu la vie d'un couple, d'un enfant, d'une famille entière. C'est pourquoi cette décision est souvent mûrement réfléchie.
Pour pouvoir adopter un enfant, vous devez obtenir un agrément délivré par le service d'aide sociale à l'enfance (ASE) de votre département. L'agrément permet de s'assurer des conditions d'accueil. Il est accordé pour une durée de 5 ans.
Votre époux, partenaire de Pacs ou concubin en tant que parent de l'enfant doit donner son consentement à l'adoption devant un notaire qui établit un acte authentique. Si l'enfant a plus de 13 ans, il doit donner son accord devant un notaire, qui établit un acte authentique.
Vous devez obtenir un agrément et suivre une formation. Les droits et devoirs vis-à-vis de l'enfant (c'est à dire l'autorité parentale) ne vous sont pas transférés. Vous devez demander certaines autorisations aux parents des enfants qui vous ont été confiés (exemple : pour que l'enfant consulte un médecin).