L'approche gagnante : l'écouter, le soutenir et lui parler des solutions et des ressources qui existent. Endosser ou prêter de l'argent sont des actions qui viennent avec des risques. Avant de les poser, c'est important de savoir tout ce que ça implique.
La solution : lui demander se noter ses dépenses au jour le jour, pour lui faire prendre conscience de ce qu'il achète. Mettre cette somme dépensée en parallèle avec un loisir que vous ne pourrez pas faire ou un vêtement qu'il ne pourra pas s'acheter par exemple.
Or la recherche qu'il a menée avec la psychologue Lara Manganelli lui a permis de conclure que les dépenses qui contribuent à notre épanouissement personnel, celles pour nos loisirs ou pour aider les autres, ont plus de chances de nous rendre heureux.
Budgéter 50-50. C'est la formule privilégiée par plus de la moitié des couples. Chacun contribue à 50 % des dépenses ou de l'épargne du couple, peu importe son salaire ou ses dépenses personnelles. Cela fonctionne bien lorsque les deux conjoints ont des revenus similaires, mais également des dettes semblables.
L'oniomanie désigne l'addiction comportementale aux achats compulsifs et répétés. On vous explique ce qu'est cette pathologie, ce qui la caractérise et comment elle peut être prise en charge.
Comment aider une personne qui ne sait pas gérer son argent ?
La curatelle (simple ou renforcée)
La curatelle simple permet à votre proche de gérer lui-même son budget. Un confort pour les parents encore autonome mais qui nécessite d'être accompagné de temps en temps.
L'achat compulsif peut être lié à un trouble de l'humeur ou un trouble bipolaire. "Lors de la phase maniaque (phase d'excitation), la personne peut faire des achats pathologiques" explique le Dr Lucia Romo. "L'achat compulsif n'est alors pas diagnostiqué comme tel car il fait partie des troubles bipolaires.
Il faut tout d'abord chiffrer les dépenses essentielles : les charges fixes (comme les impôts, les crédits, le loyer, l'électricité…), l'alimentation, les transports… auxquels il faut consacrer 50 % du budget. Pour cela, il est essentiel de bien identifier et évaluer ses dépenses.
L'homme radin est celui qui fera une fixation sur le fait de ne jamais dépenser de l'argent. Il fera en sorte d'éviter toutes les dépenses. Pas pour faire des économies, mais surtout par peur de le regretter par la suite. Il fermera les yeux sur certaines dépenses qu'il jugera inutiles ou même sans valeurs.
La radinerie n'est pas une maladie à proprement parler. Voilà une bonne… et une mauvaise nouvelle ! Car, si elle n'est pas contagieuse, elle est en revanche quasi incurable. De plus, si vous vivez avec un radin, il est d'autant plus difficile d'ignorer ce phénomène.
Il est difficile de faire changer un radin, mais vous pouvez essayer de comprendre d'où vient sa peur de manquer et faire le point sur votre propre vision de l'argent : est-ce que vous dépensez trop par exemple. Gardez à l'esprit que le radin ne cherche pas à vous priver mais plutôt à se protéger.