- Communiquer ! N'hésitez pas à communiquer avec votre enfant pour qu'il comprenne ce que vous dites, parce que votre inquiétude pour son avenir est souvent secondaire pour lui ! Il faut essayer de lui donner envie de travailler, car il saura que ça lui apporte quelque chose.
Comment Inciter Son Enfant à Travailler ? Dans un premier temps, verbalisez. Portez de l'intérêt à ses occupations, à ce qu'il réalise à l'école, ce qu'il aime et ce qu'il aimerait. Montrez-lui que ce qu'il fait vous intéresse lorsqu'il n'est pas à la maison, et instaurez un dialogue avec votre enfant.
Définissez des limites raisonnables
L'établissement de limites concrètes aide les jeunes à savoir comment faire face à la frustration. Cela leur apprend également à reconnaître jusqu'où ils peuvent aller. Les limites doivent être claires, ne pas exiger plus ou moins.
Posez vos limites et soyez clair : demandez-lui sans détour si son souhait est que vous n'interveniez plus ou si, au contraire il a besoin d'aide, voire de soutien extérieur, pour remonter la pente. Mettez-le au pied du mur. Il n'est pas question de ne plus l'accompagner, mais de le mettre face à ses responsabilités.
Soyez patient avec votre ado et écoutez-la.
Évitez de parler à sa place ou de l'interrompre quand elle parle. Incitez-la à parler en lui posant des questions banales sur sa journée ou sur le déroulement de l'examen qu'elle a eu au lycée. Prenez note de ses réponses et laissez-la partager ses pensées.
Décortiquez les efforts (pédalage, guidon), faites-lui parler de sa stratégie : «Comment as-tu fait ?» Et s'il tombe, il remonte ! Dites-lui tout ce que cela va lui apporter. Imposez-lui au moins un sport. C'est le domaine par excellence où l'on apprend à persévérer et où l'intérêt se développe en le faisant.
Soyez positive
Pour aider quelqu'un à retrouver sa motivation, il est essentiel de l'encourager afin de renforcer sa confiance en lui. Soyez attentive, et faites-lui remarquer ses petits succès. Sans tomber dans la flatterie, n'hésitez pas à souligner ses qualités.
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
La motivation est un élément moteur dans le processus d'apprentissage. Elle joue un rôle central pour favoriser l'engagement des élèves dans l'activité que propose l'enseignant en classe. Elle conditionne à la fois le degré d'attention des élèves et le niveau d'effort qu'ils vont y consacrer.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).
« Le matin est le moment où on est le plus disponible sur le plan cognitif », souligne la spécialiste. Pour les exercices du quotidien, « l'idéal est de s'y mettre entre 17 heures et 19 heures, après un vrai goûter, qui est une respiration importante, et avant le dîner, poursuit-elle.
Réorientation vers une autre classe ou un autre établissement. Mise en place d'un projet personnalisé de réussite éducative (PPRE) Intégration dans un dispositif relais de scolarisation temporaire pour resocialiser et réinsérer le jeune dans un parcours de formation.
Le sens de l'effort se développe lorsqu'à la fin du travail, la personne éprouve un plaisir intense. Lorsqu'elle aura pris conscience du bonheur qui peut suivre l'effort, celle-ci n'hésitera pas, la prochaine fois, à fournir l'énergie nécessaire pour atteindre ce plaisir.
Cette inquiétude peut devenir paralysante quand l'estime de soi du jeune est trop basse, et provoquer des comportements d'évitement. L'adolescent se met lui-même en échec en ne travaillant pas. Ainsi, il pourra dire que son échec est la faute de son manque de travail, pas de son manque de talent.
Ils mènent sans aucun doute une vie au ralenti. Un enfant paresseux ne présente pas de difficultés physiques, psychologiques, d'apprentissage ou émotionnelles, il est juste paresseux au moment d'accomplir ses tâches, il ne veut pas les faire. Attention à la confusion entre manque de motivation et paresse.
À cet âge, les adolescents sont particulièrement sensibles à leur environnement et leur entourage. Pour favoriser le dialogue et l'aider à aller mieux, on conseille d'éviter de lui faire des reproches ou de le culpabiliser sur sa situation, de faire appel à sa volonté d'aller mieux.
«Il existe plusieurs punitions efficaces pour se faire entendre de l'adolescent : il peut réparer la faute qu'il a commise, effectuer des tâches dans la maison ou être encore privé d'activités inutiles à son développement comme tout ce qui concerne les écrans.
Les enfants tyrans comme les adultes tyranniques, manipulateurs pervers narcissiques ne sont pas heureux. Ils sont toujours en colère, ils veulent toujours plus, ils sont aigris et jaloux. Leurs attitudes hautaines et leurs dédains pour les autres font qu'ils sont souvent rejetés.