Être physiquement actif le jour (si possible, passer du temps à l'extérieur, sur le terrain). Avoir une routine en ce qui concerne le sommeil, ce qui signifie notamment de se coucher et de se lever chaque jour autour de la même heure. Prendre un bain chaud. Écouter de la musique reposante.
La narcolepsie est un trouble du sommeil souvent peu reconnu et sous-diagnostiqué. Ce syndrome, qui tend à persister toute la vie, ne touche environ qu'une personne sur 2 000 en Amérique du Nord et en Europe.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
Les causes sont diverses. Sur le plan somatique, l'insomnie peut s'expliquer en cas de douleurs, du fait de divers symptômes associés à des maladies chroniques comme l'asthme ou l'insuffisance cardiaque par exemple, ou encore de perturbations du cycle circadien pour les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson.
Si vous prenez des somnifères ou des benzodiazépines depuis longtemps, il est possible d'arrêter progressivement (souvent sur quatre à dix semaines), de traiter la cause de l'insomnie (comme la dépression) et de privilégier une approche non médicamenteuse, en vous faisant aider par votre médecin traitant.
Le manque de sommeil, qu'il soit dû à des insomnies régulières ou à des nuits blanches répétées, est un facteur de risque pour l'hypertension artérielle et donc, les problèmes cardiaques. Si vous respectez une bonne hygiène de vie et que vous faites une nuit blanche une ou deux fois par an, ce n'est pas bien grave.
La passiflore, pour un sommeil plus serein
Sédatif naturel, dont l'Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l'efficacité sur l'agitation nerveuse, les insomnies et l'anxiété, la passiflore régule le système nerveux et peut être employée dans les cas d'insomnies passagères de l'adulte ou de l'enfant.
De nombreuses études ont décrit l'impact négatif à long terme du manque de sommeil sur l'état de santé : au-delà d'une dégradation de la qualité de vie, l'insomnie aggraverait les symptômes de maladies somatiques ou psychiatriques associées (douleurs chroniques, hypertension, dépression…).
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
Certaines plantes, comme la valériane, la passiflore, le tilleul, la mélisse, le millepertuis, la verveine et le houblon sont également réputées pour leurs vertus sédatives. Parfois, les plantes sont jumelées (valériane et houblon, par exemple) pour augmenter leur effet.
Aujourd'hui, il est très largement prouvé que le seul traitement efficace et durable de l'insomnie chronique est la thérapie cognitive et comportementale (TCC). Les personnes y apprennent à utiliser les leviers leur permettant de gérer leur sommeil la nuit et leur éveil le jour.
Symptômes. Les symptômes de l'insomnie sont divers : difficultés à s'endormir, sommeil léger et irrégulier, réveils nocturnes, difficultés à se rendormir, impossibilité de dormir plus de 3 ou 4 heures, cauchemars et idées noires...
Les conséquences d'une insomnie
Une augmentation du risque de développer des maladies métaboliques (obésité, diabète, etc…) et des pathologies cardiovasculaires ; Une baisse des défenses immunitaires ; Une accélération du processus de vieillissement.
Donc, en assurant au corps une réserve suffisante de glycogène pour les huit heures de sommeil, la consommation de miel le soir limite la libération de cortisol et d'adrénaline et vous aide ainsi à mieux dormir.
"À 90%, ce sont des benzodiazépines, donc tous à mettre dans le même panier. Le Lexomil, le Xanax, le Valium, le Lysanxia, le Témesta, le Tranxène, l'Urbanyl, le Vératran , le Victan, le Nordaz... Le moins pire étant le Séresta, un anxiolytique à recommander de préférence, notamment chez les personnes âgées.
Elle est traditionnellement utilisée pour soulager les symptômes légers de tension nerveuse, et d'irritabilité. Elle améliore également l'endormissement.
Vous avez une pathologie - Les pathologies notamment : le diabète, l'hyperthyroïdie, l'asthme ou encore les troubles du système gastrique altèrent aussi votre sommeil. Traiter la pathologie directement peut permettre d'éviter le réveil nocturne dans ce cas-là.
Vous vous réveillez entre 1h et 3h du matin
Votre réveil durant cette tranche horaire, peut s'expliquer par une consommation excessive d'alcool ou de café. Pour éviter cela, il est ainsi conseillé de boire beaucoup d'eau et de manger sainement.
éteignez les appareils électroniques et fuyez les écrans au moins une heure avant d'aller vous coucher ; évitez de dormir avec des animaux, qui perturbent le sommeil ; limitez autant que possible l'alcool, la nourriture trop riche et épicée et n'importe quelle activité trop excitante le soir.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Dormir une ou deux heures sera toujours mieux que de ne pas dormir du tout. Car ne pas dormir va entraîner une mauvaise concentration, des troubles de la mémoire à court terme, des troubles du jugement et de temps de réaction, de l'irritabilité, une douleur accrue, une augmentation des hormones de stress…
Dans ce cas, allongez-vous sur le dos, les bras le long du corps. Fermez les yeux et inspirez longuement par le nez puis expirez doucement par la bouche. Vous oxygénerez votre cerveau qui sera plus prompt à se détendre et à vous laisser dormir paisiblement.
Aujourd'hui, la principale indication du Lexomil® (bromazepam) reste l'anxiété et l'insomnie, deux troubles qui conduisent à des prescriptions sur le long cours.