Utiliser les consignes spécifiques : pressing important, beaucoup de mouvements, intensité élevée, puissance…, Conserver de la lucidité pour le dernier geste notamment dans le dernier quart d'heure du match de football. Avoir des joueurs bien dans leur corps (et leur esprit) sur la durée de la saison.
Un programme de musculation chez le footballeur doit comprendre des exercices spécifiques pour faire travailler tout le corps et faire progresser le joueur. Combiner football et musculation permet de gagner en force maximale, en force-vitesse, en explosivité et en masse musculaire.
Au mieux, tu pourrais l'améliorer grâce aux sports d'endurance classiques, tels que la course, la natation et le vélo. Mais faire du patin à roulettes, de l'aviron, ou encore du vélo elliptique sont autant de façons optimales d'améliorer son endurance.
Un travail d'explosivité, de pliométrie, de fréquence, de gainage, de motricité, de proprioception ou encore de souplesse active permettra également d'améliorer la vivacité des joueurs.. Il est également très important de travailler la technique de course, avec des gammes athlétiques par exemple, chez les jeunes.
Il est possible de travailler l'explosivité du bas du corps grâce aux flexions-extensions. Vous enchaînez un squat avec un saut le plus haut possible. Pour le haut du corps, réalisez des pompes sautées. Au moment où vous finissez votre pompe, avec les bras tendus, poussez pour taper dans vos mains et recommencez.
Faites un entrainement par intervalles
Même si les joueurs de football parcourent en moyenne 10 kilomètres par match, ils ne courent pas au même rythme tout au long de la rencontre. Il s'agit plutôt d'une combinaison de sprints, de courses modérées, de marche et de rétropédalage.
Les personnes en forme arrivent à maintenir une fréquence respiratoire et une fréquence cardiaque plus près de la normale, soit habituellement moins de 20 respirations et moins de 100 battements par minute.»
Outre le travail aérobic qui entraine le cœur, le foot favorise l'explosivité des muscles de la cuisse (quadriceps, psoas…), de l'ischio-jambiers, des adducteurs et des muscles péroniers.
Il faut donc travailler les abdominaux avec le gainage, crunch, rameur, le haut du corps avec les pompes et le bas du corps (quadriceps et ischio-jambiers) avec des exercices tels que la chaise romaine, la fente avant voire un travail de squat sans oublier les mollets notamment avec un travail sur les escaliers.
Mettez-vous au HIIT. Rester sec exige que vous ne stockiez pas beaucoup de graisse. Les séances de cardio HIIT augmenteront non seulement le nombre de calories que vous brûlez pendant votre entraînement, mais stimuleront également votre métabolisme pendant les 24 heures qui suivront l'effort.
Un avant–centre doit savoir libérer le terrain pour le reste de l'équipe. Donc, maintenez les limites du hors-jeu aussi loin que possible. Quand vous aurez le ballon, essayez de faire face aux buts adverses, mais cette position n'est pas nécessaire. Cependant, vous devrez garder le ballon en attendant du renfort.
Cette intégration se fait à partir de l'âge de 16 ans. Les plus grands clubs, tels que l'AJ Auxerre, le PSG, l'OM ou encore l'AS Saint-Etienne disposent de leur propre centre de formation professionnelle. Il existe aujourd'hui 37 centres de formation agréés par la Fédération française de football (FFF).
Le joueur doit savoir se positionner correctement en fonction de son poste. Il doit être dans la capacité de s'adapter aux différents systèmes de jeu qui existent. Il doit comprendre et s'aligner rapidement sur les changements animations de jeu pouvant avoir lieu au cours d'un match.
votre pouls au repos est supérieur à 75 battements par minute. votre pouls à l'effort ne monte pas au-dessus de 90 battements par minute.
La fatigue physique peut être générale ou musculaire ; elle survient après un effort intense, de longue durée ou à la suite d'une veille prolongée. La fatigue nerveuse est souvent due à un manque de sommeil alors que la fatigue intellectuelle est plutôt due au stress, à la nervosité.
L'essoufflement peut être le signe d'un manque d'activité physique. En effet, les muscles du torse vous permettent de bien respirer, si ces derniers ne sont pas souvent mobilisés ils fatiguent plus vite.
Il peut s'agir : d'une inadaptation de l'entraînement, en rapport avec une charge de travail excessive, par des séances trop intenses ou trop rapprochées, qui altèrent la tolérance à l'effort. Cette fatigue s'accompagne de troubles du sommeil, de l'appétit, parfois de l'humeur.
Commencez à un rythme modéré jusqu'à ce que la fatigue se fasse sentir puis faites une courte pause avant de vous remettre à courir. Vous pouvez également courir par intervalles de 3 ou 4 min, marcher ou faire une pause de 2 à 3 min puis recommencer à courir pendant 3 ou 4 min et ainsi de suite.
Adaptez votre rythme
Si l'on se fatigue, il faut s'efforcer de marcher lentement parce que la fatigue provient généralement d'une allure inadaptée. Il vaut mieux aller plus lentement pour tenir et éviter de s'arrêter régulièrement. Avec un rythme léger vous pourrez marcher des heures sans vous fatiguer.
Vous alternerez idéalement entre une séance de puissance avec charges lourdes : par exemple, quatre à six séries de quatre à six répétitions entre 80 et 85% de vos capacités ; et une séance de force explosive avec charges entre 30 et 50% de vos capacités avec une grande vitesse de réalisation. »
Une alimentation saine et équilibrée est importante. À noter, le dernier gros repas doit être pris quelques heures avant le début du match. Privilégiez plutôt une collation sportive avant le coup d'envoi. Enfin, évitez la veille et le jour J les aliments difficiles à digérer tels que la viande ou les sauces.