"-Chan" a une fonction assez proche de "-Kun", sauf qu'elle s'utilise avec des filles principalement. C'est une particule assez affective, qu'on emploie avec : une amie, une camarade de classe, une petite sœur, un bébé, une grand-mère, une petite fille, voire une femme pour lui indiquer qu'on la trouve mignonne.
彼女 (kanojo) : petite amie. 彼氏 (kareshi) : petit ami.
Japon : le pays du soleil levant
Le soleil se lève à l'est. Le Japon est donc particulièrement bien situé sur un planisphère. Le soleil est également un élément important au Japon. Mais ce nom est surtout la traduction de Nippon qui signifie « pays du soleil levant ».
ちゃん : le suffixe chan
ちゃん est un suffixe familier, très courant, utilisé par les adultes quand ils s'adressent aux enfants (surtout aux filles), par les filles entre elles, ou par les garçons envers des filles plus jeunes ou de même âge, avec une nuance affectueuse.
Sama (様) :
C'est une marque de profond respect qu'il est convenu d'utiliser lorsque l'on s'adresse à un supérieur quelconque.
Elève japonais qui a déjà acquis un grand nombre de connaissances et peut servir de tuteur à de jeunes élèves. Exemple : Le sempai est sous la direction de son professeur qui doit parfaire son éducation.
Pour marquer un respect envers son ainé qu'il soit un camarade de classe, de sport ou de travail. Quand utiliser le suffixe senpai ? Après le nom de votre ainé, par exemple M. Tanaka, deviendra Tanaka Senpai.
Dans la culture japonaise, le senpai (先輩, parfois transcrit sempai) est l'élève avancé et le kōhai (後輩, parfois transcrit kouhai) est le jeune élève.
Bien que “kun” implique une sorte de “tension” parce que c'est pour les garçons – comme “dono”, “Chan” est beaucoup plus tendre, plus intime, et a un petit sentiment “drôle” qui s'y rattache. Donc, des amis très proches utilisent “Chan” pour s'appeler même s'ils sont des garçons.
Ainsi, Nihon-jin (日本人, littéralement « personne du Japon ») est employé tant de façon générique pour les quelque 127 millions de citoyens japonais que plus particulièrement pour désigner ceux d'entre eux qui résident au Japon.
Le juge de l'application des peines (JAP) est un magistrat du siège du tribunal judiciaire, compétent pour fixer les principales modalités de l'exécution des peines privatives de liberté ou de certaines peines restrictives de liberté, en orientant et en contrôlant les conditions de leur application.
? Kun (君,くん)
C'est une particule au niveau de politesse peu élevé, d'ailleurs son kanji est le même que celui de "kimi", qui signifie "toi / tu" à la forme familière (notamment pour les personnes en couples entre eux). "-Kun" s'utilise avec : un ami, un camarade de classe, un petit frère ou un garçon plus jeune.
1 - Ai shiteru (愛してる) : Je t'aime profondément
Elle est également celle qui se rapproche le plus, en termes de signification, de l'expression française « Je t'aime ». Le kanji 愛 ai se traduit littéralement par « amour », avec une connotation typique d'amour romantique.
Par conséquent, 愛 est le kanji utilisé pour écrire « je t'aime » en japonais. Koi (恋) – Koi symbolise l'amour dans un sens romantique ou passionné.
-Senpai est un suffixe utilisé par une personne plus jeune, ayant moins d'expérience, dans un cadre donné. Généralement, ce cadre est l'école, un club de sport ou encore la sphère professionnelle.
Aujourd'hui, chan est utilisé pour désigner affectueusement les jeunes femmes dont vous êtes proche, les enfants, les bébés, une grand-mère, ou même un animal que vous aimez particulièrement. Il peut également être utilisé dans un couple ou pour parler de quelqu'un que l'on aime beaucoup.
Jap est un terme utilisé en anglais comme abréviation du mot « japonais ». Il est aujourd'hui généralement considéré comme péjoratif et raciste, bien que ce degré diffère selon les pays anglophones. Aux États-Unis, les Nippo-Américains trouvent le terme offensant, même quand il n'est utilisé que comme abréviation.
Les condamnations et peines regroupent les différentes sanctions prononcées par le juge ou par les forces de l'ordre à l'encontre des auteurs d'infractions. Elles sont prévues par la loi et leur sévérité est proportionnelle à la gravité de l'acte puni.
Le juge de l'application des peines est saisi d'office après le jugement. Il suit donc automatiquement le parcours pénitentiaire du condamné. En ce qui concerne sa saisine par une personne déjà incarcérée qui souhaiterait bénéficier d'un aménagement de peine, c'est au condamné d'en effectuer la démarche.