Les Grecs sont polythéistes : ils croient en l'existence de plusieurs dieux. Ils vénèrent des dieux à la puissance illimitée qui vivent sur le mont Olympe, la plus haute montagne de Grèce, dont le sommet est très souvent caché par les nuages.
Ils s'appellent naturellement les Olympiens. Le roi des dieux, et aussi le père de nombre d'entre eux, est Zeus. À l'origine un dieu des phénomènes atmosphériques ou du ciel qui gouverne la foudre et la pluie, il acquiert plus de responsabilités avec le temps, veillant notamment au respect de la justice et des lois.
Littéraire. Outrance dans le comportement inspirée par l'orgueil ; démesure : Journalistes se défiant de l'hubris. 2. Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
Étymologie. ( XXI e siècle) Du grec ancien ὕβρις , húbris (« excès, démesure, orgueil »).
Prométhée décide de voler le feu sacré à Zeus pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce. La vengeance de Zeus sera terrible. Prométhée sera condamné à être enchaîné à un rocher et de se voir dévorer chaque jour le foie par un aigle.
Hybris ou Hubris
Je comprends l'importance de garder l'origine grecque du mot dans son orthographe, mais malheureusement, la prononciation en est bien "ubris", donc c'est un non-sens de l'écrire "hybris" et d'espérer ainsi que la prononciation en revienne à une prononciation du style "hypermarché".
Elle désigne un comportement ou un sentiment violent inspiré par des passions, particulièrement l'orgueil et l'arrogance, mais aussi l'excès de pouvoir et de ce vertige qu'engendre un succès trop continu. Les Grecs lui opposaient la tempérance et la modération, qui est d'abord connaissance de soi et de ses limites.
L' hybris désigne chez les Grecs, la démesure, l'orgueil, traits que les dieux condamnent chez les humains. Les Grecs lui opposaient la tempérance, ou modération. Dans la Grèce antique, l'hybris était considérée comme un crime.
Au cours de l'ère viking, les Scandinaves sont passés d'une religion païenne polythéiste au christianisme monothéiste.
Zeus, Poséidon, Hadès, Déméter, Hestia et Héra, auxquels il faut ajouter les dieux de la génération suivante, presque tous descendants de Zeus lui-même : Apollon, Artémis, Athéna, Arès, Aphrodite, Héphaïstos, Hermès, et Dionysos. Vous avez bien compté, cela fait en réalité 14 !
a) Personne qui pratiquait une des religions polythéistes de l'Antiquité. Avec leur ribambelle de dieux, les païens n'étaient pas si bêtes: ils avaient tout de même réussi à donner au pauvre monde l'illusion d'une grossière entente avec l'invisible (Bernanos,Journal curé camp., 1936, p. 1045).
Cependant, Rhéa sauva son plus jeune enfant Zeus en enveloppant une pierre dans des langes et en donnant le tout à Chronos pour qu'il l'avale. Zeus fut emporté vers le mont Dikte sur l'île de Crète où il fut élevé par la déesse primitive Gaia (Terre), ou dans certaines versions par les Nymphes.
Les douze dieux principaux, les Olympiens, étaient Zeus, Héra, Héphaïstos, Athéna, Apollon, Artémis, Arès, Aphrodite, Hestia, Hermès, Déméter et Poséidon. Zeus était le maître des dieux, leur père spirituel ainsi que celui des hommes.
L'évhémerisme considère que les dieux et héros seraient en fait d'anciens personnages réels, qui eurent leur temporalité historique (théorie du mythographe grec Évhémère, III e siècle av. J. -C. ).
Tantale, fils de Zeus, était, suite à une punition de son père, condamné à supporter la faim et la soif pour l'éternité. En effet, lorsqu'il s'approchait d'un fruit ou d'une source, le premier se transformait en pierre, quant à la seconde, elle disparaissait.
Présomptueux : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le mot hubris désigne la conduite d'une personne qui agit avec démesure, avec intempérance. Par orgueil, par confiance excessive en soi ou grisée par le pouvoir, une personne faisant preuve d'hubris finit par perdre le fil et risque de prendre de mauvaises décisions qui pourraient être fatales.
Fils du Titan Japet, Prométhée appartient à la lignée des « dieux antérieurs », vaincus par Zeus ; il va entrer en conflit avec lui…
Mais cédant à la curiosité, Pandore ouvre la boîte, libérant ainsi tous les maux, les malheurs, qui étaient contenus. Elle n'eut que le temps de retenir « l'espérance ».
Prométhée, c'est ce titan de la mythologie grecque auquel sont associées deux images : le voleur de feu, et l'être souffrant cloué au rocher, et torturé par le vautour qui vient lui dévorer un foie qui renaît chaque jour.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Zeus a quelques attributs comme la foudre, le sceptre et le trône. Il a aussi l'aigle comme animal associé, et la chèvre.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.