*Une nouvelle est une histoire courte avec peu de personnages. * Un conte est une histoire pour les enfants et les adultes qui donne une leçon, une morale (Le petit Chaperon Rouge, Cendrillon…)
Un conte est donc une sorte de récit parmi d'autres. C'est un texte généralement court, qui fait la part belle à l'imaginaire.
Le narrateur omniscient est parfois appelé narrateur absent ou narrateur dieu. Le narrateur omniscient, contrairement aux narrateurs personnages, ne fait pas partie de l'histoire. Le narrateur omniscient raconte le récit à la 3e personne. Il a accès à toutes les connaissances et à l'intériorité de tous les personnages.
Pour information, on appellera début in ultima res, un récit commençant par la fin de l'histoire. Un début in medias voire ultima res est généralement suivi d'un retour en arrière (on dit également analepse ou encore flash-back). Ce retour a souvent valeur explicative.
Le récit de vie raconte l'histoire de la vie d'une personne. Il peut se présenter sous des formes variées : biographie, autobiographie, journal intime, mémoires. Le récit de vie suit généralement le déroulement chronologique de la vie du personnage, de sa naissance jusqu'à sa mort, ou jusqu'au moment de l'écriture.
Classiquement, le roman court est un récit de fiction comportant peu de protagonistes et cherchant à développer un sujet précis, alors que dans un roman traditionnel, plusieurs trames narratives peuvent s'entrecroiser.
Le roman court, un genre qui a même fait l'objet d'une vocation d'éditeur.
Le terme ''incipit '' vient du verbe latin incipire= commencer. L'incipit sert à désigner le début d'un roman. On peut dégager plusieurs fonctions : Fonction n°1 : il a une valeur d'annonce et programme la suite du texte.
Lorsqu'un narrateur raconte des évènements dans l'ordre où ils ont eu lieu, on dit que le récit est chronologique.
L'histoire dans l'histoire est un procédé dépendant du dispositif connu sous le nom de récit-cadre, où une histoire supplémentaire est utilisée pour aider à raconter l'histoire principale.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
Un récit est une narration : un narrateur raconte des événements réels ou fictifs qui se déroulent généralement dans le passé. Pour faire un récit, il faut suivre plusieurs étapes qui se réunissent sous un seul schéma appelé le schéma narratif.
Il existe cinq genres littéraires : le genre narratif, le genre poétique, le genre théâtral, le genre épistolaire et le genre argumentatif.
Dans la littérature, on retrouve le plus souvent trois types de narrateurs : la narration à la première personne; la narration à la troisième personne alignée sur un seul personnage; et. la narration omnisciente.
Un récit qui revient en arrière est appelé récit rétrospectif. La rétrospection est aussi appelée aussi analepse. L'analepse opère un retour en arrière et évoque un événement antérieur à ce qu'on est en train de raconter, par exemple lors- qu'un personnage se souvient de son passé (voir l'exemple).
Définition. L'épigraphe est généralement placée en tête d'un livre ou d'une partie de ce livre.
Une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'il soit impossible de lui échapper et dont les dirigeants peuvent exercer une autorité totale et sans contraintes de séparation des pouvoirs, sur des citoyens qui ne peuvent plus exercer leur libre arbitre.
La quatrième de couverture (désignée aussi occasionnellement par le terme technique lodiciquarte, qui est un latinisme) est la dernière page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat verso » dans le cas des livres cartonnés.
On dit parfois que l'histoire contrefactuelle et l'uchronie se distinguent par la prééminence donnée soit à l'événement déclencheur (histoire contrefactuelle), soit à ses suites fictives (uchronie), ce qui est loin d'être admis par beaucoup d'amateurs.