Le possessif est toujours placé devant le nom.
En français, les déterminants possessifs ne dépendent pas du sexe du possesseur mais du genre et du nombre de l'objet : féminin ou masculin, singulier ou pluriel.
« Mon, ton, son » est suivi par tous les noms masculins : mon père, mon frère, mon chat. Il n'est pas là aujourd'hui. Règle numéro 3. Quand le nom féminin commence par une consonne on utilise « ma, ta, sa ».
Les adjectifs possessifs féminins ma, ta, sa deviennent mon, ton, son devant un nom commençant par une voyelle ou par un h.
n. terme utilisé pour montrer de l'affection envers un garço ... [Fam.]
pronom possessif (masculin singulier): le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur, etc. L'adjectif qualifie toujours un nom: mon(adj) professeur(nom), ton(adj)ordinateur(nom), etc. Le pronom remplace un nom => il s'utilise tout seul: Tes problèmes sont plus importants que les miens.
Qui éprouve un besoin de domination excessive sur une autre personne.
RAPPEL : - un PRONOM se trouve avant un VERBE. - un DETERMINANT se trouve avant un NOM.
Un seul possesseur et un seul objet : mon = masculin, première personne; ton = masculin, deuxième personne; son = masculin, troisième personne.
Le pronom possessif marque l'appartenance, la possession. Comme les autres pronoms, il remplace un nom ou un groupe nominal. En règle générale, il est formé d'un article défini (le, la ou les) et du mot mien, tien, sien, nôtre, vôtre ou leur.
André Le Nôtre est né à Paris le 12 mars 1613 et y meurt le 15 septembre 1700 . Il est baptisé le 12 mars 1613 en l'église Saint-Roch à Paris. Il a pour grand-père Pierre Le Nôtre, jardinier maraîcher puis jardinier du roi au Tuileries, office prestigieux qu'il transmet à son fils.
Quand le déterminant possessif ma, ta et sa se trouve devant un mot féminin qui commence par un son voyelle, on emploie mon, ton et son. Ceci pour éviter d'avoir à prononcer deux voyelles à la suite.
Mes est un adjectif possessif qui, en grammaire française, désigne le pluriel des adjectifs mon et ma. Exemple : Mes amis ne sont peut-être pas des gens très recommandables, mais je m'en fiche, car ce sont mes amis.
les adjectifs possessifs (mon, ton, son, ma, ta, sa, mes, tes, ses), les adjectifs démonstratifs (ce, cet, cette, ces), les adjectifs indéfinis (chaque, quelques, plusieurs...), les adjectifs numéraux (deux, cinq...).
La jalousie et la possessivité sont des sentiments complexes qui tendent à nous nuire. Mais si la possessivité révèle un certain égoïsme, la jalousie, elle, peut être considérée comme une preuve d'amour.
Afin de rassurer une femme trop possessive il est aussi important de comprendre que son passé amoureux a pu être traumatisant et qu'elle utilise la jalousie comme moyen de « protection » dans le but de ne pas revivre les moments qu'elle a traversé avec d'autres hommes qui ont puent la tromper ou la faire souffrir.
Un pronom réfléchi est un pronom qui fait référence à l'agent d'une action, soit généralement le sujet de la phrase. En français, on les retrouve sous la forme de me, te, se, nous, vous… Ils s'utilisent donc quand le sujet de la phrase et le complément sont une seule et même personne.
En français, on écrit votre sans accent lorsqu'il est suivi d'un nom et n'est pas précédé d'un article. Dans le cas contraire, on écrit « vôtre » avec un accent. A l'écrit comme à l'oral, le respect des règles grammaticales est primordial pour donner du sens à une phrase.
m' est complément direct du verbe : « Le chien m'a mordu », ou complément indirect : « Tu m'as parlé ». On peut le remplacer par m'avait. Il m'a mordu le doigt. Il m'avait mordu le doigt.
ce, c', ça, cela, ceci, celui, celle, celui-ci, celle-là, ceux, celles, ceux-ci, ceux-là, celles-ci, celles-là,...
Forme des PRONOMS indéfinis : personne, rien, aucun(e), d'aucun(e)s, nul(e)s, l'un(e), l'autre, l'un(e) et l'autre, ni l'un(e) ni l'autre, pas un(e), plus d'un(e), plusieurs, tout, on, quelqu'un(e), quelque chose, autrui, certain(e)s, autre chose, chacun(e), tout un chacun, d'autres.
On compte 4 adjectifs démonstratifs en français: CE, CET, CETTE et CES.