La tautologie : Procédé rhétorique ou négligence de style consistant à répéter une idée déjà exprimée, soit en termes identiques (exemple : au jour d'aujourd'hui), soit en termes équivalents (exemple : monter en haut). Exemple : au jour d'aujourd'hui, monter en haut.
Les pléonasmes descendre en bas et monter en haut
Les expressions descendre en bas et monter en haut sont considérées comme pléonastiques.
Définition de pléonasme nom masculin
monter en haut ; panacée universelle ; prévoir d'avance). déf.
Être en haut d'une tour signifie être à son sommet. Dire qu'ils sont en haut, dans leur chambre, signifie qu'ils sont à l'étage. D'autre part, il faut remarquer que le groupe en haut est une locution déictique. C'est à dire que son référent, ici un lieu, n'est déterminé que par le contexte de l'énonciation.
Un pléonasme est un enchaînement. Fermer l'infobulle de mots qui véhicule deux fois une même idée. C'est un fait de langue commun, voire une figure de style, qui permet de renforcer l'expression, d'insister : Je l'ai vu de mes yeux et entendu de mes oreilles; c'était à faire dresser les cheveux sur la tête.
Le contraire de l'oxymore est le pléonasme, figure de style qui consiste à utiliser deux termes de même sens, alors que l'oxymore rapproche deux termes de sens contraire.
C'est la répétition, dans un même énoncé, de termes qui signifient la même chose. Il y a pléonasme dès lors qu'on pourrait laisser un seul des termes. On parle aussi de « redondance ». L'exemple le plus populaire en France serait sans doute "monter en haut" ou "descendre en bas".
MONTÉ, adjectif
Qui dispose d'un cheval. Pourvu. Organisé.
Les mots "ou" et "sinon" expriment l'alternative. "Ou sinon" est donc un pléonasme à éviter. "Aussi non" est une déformation fautive de la précédente. Il vaut donc mieux savoir qu'il faut garder uniquement le mot SINON.
« Se diriger vers un lieu situé plus au nord, ou s'installer dans une grande ville : Monter à Paris. » Et par le dictionnaire de l'Académie française : « Monter : Se dit en particulier d'un déplacement du sud vers le nord (fam.).
Le pléonasme peut utiliser la répétition soit pour raviver le sens d'un mot trop usité ou galvaudé, soit pour imposer une nuance de sens. Ce procédé est connu des slogans publicitaires.
Voici d'autres pléonasmes grammaticaux à éviter : « À cela, j'y fais attention. » Il y a deux compléments d'objet indirect, « y » et « à cela », qui représentent la même chose (ce dont on vient de parler). On écrit donc : « À cela, je fais attention… » ou simplement : « J'y fais attention. »
Le pléonasme est une figure de style qui consiste à répéter des mots, idées ou expressions de sens identique dans une même phrase ou un énoncé. Très utilisé en littérature et dans le langage courant, le pléonasme met en relief des termes dans la phrase qui ont le même sens, afin de créer un effet d'insistance.
Sortir dehors, sortir à l'extérieur
Les expressions sortir dehors et sortir à l'extérieur sont considérées comme pléonastiques.
Fait de dire deux fois la même chose. Synonyme : redondance, répétition, tautologie.
Le pléonasme est une figure de style qui définit la redondance d'une information en associant deux mots de même sens. Souvent confondu avec la tautologie, le pléonasme est considéré comme une faute là où la tautologie renforce l'expression d'une pensée.
pléonasme
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Étymologie. Attesté en 1705, les premières attestations témoignent de la formulation jusqu'au jour d'aujourd'hui. La locution au jour d'aujourd'hui est une tautologie, comme l'était initialement la locution au jour d'hui, où hui signifiait déjà « le jour présent ».
escalader, gravir, se hisser, monter.
Descendre est le contraire de monter.» Continuer en collectif en prenant chaque carte, en la nommant et en recherchant celle qui illustre le contraire.
Étymologie. De monter avec le suffixe -age qui indique l'action.
L'antiphrase revient donc à « dire le contraire ». Comment ? En employant un mot, un groupe de mots ou une phrase dans un sens contraire à sa véritable signification, le plus souvent par ironie. L'exemple le plus célèbre nous vient du théâtre, et précisément du Barbier de Séville de Beaumarchais.
L'oxymore et l'antithèse sont des figures de style d'opposition. Dans l'antithèse, deux mots ou deux expressions s'opposent. L'oxymore fonctionne comme l'antithèse, mais à l'intérieur d'un même groupe de mots.
La répétition
C'est une figure d'insistance consistant à répéter un mot, une expression, un groupe de mots ou un ensemble de mots. L'opération consiste donc à ajouter des éléments identiques, « les uns sur les autres ».
Antagoniste = adversaire. Il a fallu séparer les deux antagonistes.