Les bibliophages ne se contentent pas d'aimer les livres, ils les dévorent de la première à la dernière page en un rien de temps.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
L'amoureux des livres est appelé "bibliophile". Fier de sa propre bibliothèque, ce grand amateur d'ouvrages écrits est décrit par le Larousse comme une personne qui aime et recherche les livres rares et précieux.
Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
Un lecteur peut ne pas aimer un livre à cause d'une traduction douteuse qui va jusqu'à rendre ambigu le sens et la limpidité du texte. 3. Un lecteur peut ne pas aimer les séries qui s'épuisent à force de ne plus finir par finir et de vouloir surfer sur son succès.
Nom commun 1. (Figuré) (Par plaisanterie) (Familier) Personne qui lit beaucoup de livres.
Nous sommes très nombreux à être librocubicularistes sans le savoir. En effet, ce terme désigne tout simplement une personne qui lit dans son lit ! Il semble que ce mot ait été inventé par l'auteur, essayiste et poète américain Christopher Morley dans son roman The haunted Bookshop paru en 1919.
Liseur est le nom donné à une personne qui lit énormément, qui aime lire. Personne passionnée par la lecture d'ouvrages en tous genres.
Les femmes, qui sont lectrices à 93%, lisent 6,4 genres, tandis que les hommes, lecteurs à 87%, en lisent 5,8. Le genre le plus plébiscité est le roman, puisque 70% des Français en lisent. Ensuite viennent la bande-dessinée et les mangas, retenant l'attention de 50% des lecteurs.
Le lecteur chronologique: celui qui lit un livre l'un après l'autre, méthodiquement, sans jamais le lâcher avant la fin. Le lecteur casseur: celui dont les livres sont écornés, fatigués, plein de sable ou auquel manquent des pages. Son contraire: le bibliophile, celui qui aime les livres plus encore que leurs contenus.
Le taux de lecture des femmes est de 93 % contre 89 % pour les hommes. Les trois genres de livres les plus lus sont (chiffres stables d'une année sur l'autre) : les romans (surtout policiers), les livres pratiques et enfin les BD/Comix…
Toutefois, selon l'encyclopédie Larousse, le bibliophile est défini comme une « personne qui aime, qui recherche les livres rares et précieux », alors que le bibliomane est une « personne qui a la passion de collectionner les livres pour leur rareté, leur reliure, etc. ».
- intérêt documentaire - il permet de s'évader - il permet de réfléchir - il procure des émotions : il fait rire, pleurer … - il rappelle des événements vécus - il fait comprendre l'époque dont il parle - c'est un témoignage - l'auteur critique, démontre …
bibliophile (n.m.) bibliophile (n.m.) bibliophile (adj.)
fém. A. − Séjour de repos à la campagne, au bord de la mer, à la montagne, dans un lieu de plaisance ou de tourisme.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Elle espère trouver une excuse pour échapper à l'exposé quand elle rencontre, à la gare d'Austerlitz, une jeune sans-abri du nom de Nolwenn, surnommée No.
Cent Ans de solitude est une épopée, une traversée du temps. Le roman nous invite à suivre le parcourt d'une famille sur plusieurs générations, avec ses joies, ses peines, et avec surtout la merveilleux narration que nous offre Gabriel García Márquez.
Le fait de lire a un effet immédiat sur le cerveau. Le corps et l'esprit se détendent au bout de quelques minutes grâce au travail répétitif (et fatigant) des yeux. Lire est bon pour le moral et permet en effet de placer son corps et son esprit dans un état capable d'accueillir le sommeil rapidement.
Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…