Dès le 16e siècle, camarade signifie «chambrée de soldats».
effectifs. Il vient de l'abréviation du mot passenger, passager en anglais. « 250 pax » signifie ainsi 250 personnes.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Un commandant en chef est le chef des forces militaires d'une nation ou d'une partie significative de ces forces.
Aspirant : l'aspirant est un sous-officier qui aspire à entre dans le corps des officiers.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Aspirant est un grade militaire. Étymologiquement, ce grade désigne celui qui aspire à devenir officier, c'est-à-dire qu'il attend cette promotion.
Pax. Ce terme, qui veut dire paix en latin, est l'unité de mesure des effectifs. Il vient de l'abréviation du mot « passenger », passager en anglais. « 250 pax » signifie ainsi 250 personnes.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
Quand un subordonné s'adresse à un lieutenant-colonel masculin, il l'appelle : « Mon colonel ». Sauf dans la Marine où il l'appelle : « Commandant ». L'usage veut que quand il s'adresse à une femme lieutenant-colonel, il l'appelle “colonel“, "Mon" étant le diminutif de "Monsieur".
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
La cérémonie de mariage
C'est certainement au cours de la cérémonie en elle-même que le fait d'observer les coutumes du mariage militaire sera le plus marquant. Les collègues du conjoint militaire pourront eux aussi venir en uniforme pour donner toujours plus de prestance à votre événement.
Les mariages de militaires, entre deux militaires ou avec un ou une civile obéit à la fois à des traditions et des règles particulières. La loi n° 72-662 du 13 juillet 1972 imposait aux militaires de demander une autorisation au ministre des armées et de la Justice si le conjoint était étranger.
La petite aiguille indique les heures : il suffit de lire le nombre pointé par l'aiguille. La grande aiguille indique les minutes, il faut alors compter de 5 en 5 : le chiffre 1 correspond à 5 minutes, le chiffre 2 correspond à 10 minutes...
Les mécaniciens de véhicule et d'armement gagnent un salaire de 1 362€ net par mois.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Une fois que l'étudiant possède le diplôme à l'issue de la troisième année, il est appelé officier-élève, jusqu'à l'obtention de son brevet. On utilise également l'argot zef pour désigner l'élève officier en Marine Marchande .
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
Genre de l'officier
On appelle un officier féminin directement par son grade. Il convient de noter qu'on appelle un sous-lieutenant ou un aspirant « mon lieutenant » ou « lieutenant » selon la règle précisée ci-dessus.
Général en chef : Sous la Révolution, il s'agit du grade le plus élevé d'officier général. Depuis, c'est une charge en temps de guerre (on dit plutôt : commandant en chef).