Quand elle est extremement grosse, on l'appelle cable. Quand elle est fort deliée, on la nomme ficelle.
Une amarre est une aussière (ou haussière), c'est-à-dire un gros cordage, utilisée pour maintenir un bateau en position à quai ou contre un autre navire. Le plus souvent, une amarre est constituée de 3 torons ou 8 torons.
Le lexique maritime, adapté à une tâche précise, distingue chaque cordage en fonction de son utilisation : grelin, amarre, filin, garcette, hauban, écoute, aussière, drisse, élingue… Le mot générique actuellement plus fréquemment utilisé, est celui de bout, avec prononciation du « t » final.
Le grelin est un cordage utilisé pour remorquer les bateaux. L'amarre est utilisée pour maintenir un bateau à quai. Le filin est un nom plutôt générique pour désigner les cordages marins en fibres.
La corde qui sert à hisser les voiles sur un bateau s'appelle une drisse. Pour être plus précis et employer un vocabulaire plus adapté à l'univers du nautisme, on ne parle d'ailleurs pas de corde. Sur un voilier, ou un bateau en général, on parle de cordage ou de bout (en prononçant le « T »).
Pour "corde", dites plutôt “bout” (en prononçant le "t"). Vous pouvez aussi dire “écoute”, "filin", manœuvres… C'est plus précis que “cordes” car, de fait, des cordes, on en trouve vite beaucoup sur un voilier.
Elles servent à établir les voiles, c'est à dire à hisser et affaler. On trouve des drisses pour toutes les voiles du bord. La drisse de grand-voile est la plus connue, car on l'utilise à chaque sortie. Elle sert aussi à réduire la toile en prenant un ris.
Une garcette est une corde légère multi-usages utilisée pour fixer et attacher divers éléments sur un bateau. Elle est souvent utilisée pour fixer des voiles ou pour réaliser des nœuds marins. Les garcettes sont résistantes et faciles à manipuler, ce qui les rend idéales pour une utilisation à bord d'un bateau.
Une aussière ou haussière est un gros cordage employé pour l'amarrage et le remorquage de navires. Ce cordage sert, dans la marine marchande ou dans la navigation fluviale, à la confection des manœuvres dormantes, ainsi qu'aux manœuvres de force.
La pendille c'est quoi ? C'est un câblot plombé attaché d'un côté au quai et de l'autre à une amarre, elle même frappée sur une chaîne mère qui courre au fond de l'eau devant les postes d'amarrage à leur perpendiculaire.
Définition ancienne de CORDELETTE s. f.
diminutif de corde.
Parce que la seule corde présente sur un bateau est celle de la cloche, servant à saluer les marins défunts. Pas très joyeux donc. Si l'on ajoute à cela le fait que la corde servait également à pendre les mutins, on comprend vite que le mot n'était pas synonyme d'évènement gai.
C'est une tradition de dire que sur un bateau il n'y a qu'une seule corde : celle de la cloche. Sur un bateau chaque cordage a en effet son nom. Ainsi on parle d'une amarre, d'une écoute, d'une drisse, d'un hale-bas, d'une balancine… Tous ces noms précis servent à clarifier une manœuvre pour éviter toute ambiguïté.
Une drisse est un cordage du gréement courant, servant à hisser ou affaler une voile, il y a généralement 3 drisses à bord : la drisse de grande voile, la drisse de foc et la drisse de spi. La longueur des écoutes et des drisses est variable selon les bateaux.
naviguer — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Appareiller (to get under way) : en parlant d'un navire, quitter son mouillage ou son poste d'amarrage et faire route vers la mer.
Amarre, Rope, mooring rope – Cordage servant à amarrer un bateau. L'amarre, souvent une aussière, peut être passée en simple, en double; on la tourne sur une bitte, on la raidit, on l'embraque pour la remonter à bord, on la file pour l'allonger; amarrée en diagonale, elle prend le nom de garde.
Il a constaté que suivant que le youyou monte ou descend les vagues de sillage, la tension variait du simple au triple et conclu que la distance optimum de remorquage était celle où l'embarcation remorquée « surfait » en descendant la pente de la seconde crête de vague de sillage derrière le bateau remorqueur.
Amarrer un bateau consiste à le fixer contre un quai ou un ponton, grâce à un cordage spécialisé appelé amarres . Ces amarres s'attachent en principe sur les bittes d'amarrages présentes sur le quai, ou sur des anneaux prévus à cet effet.
Une bouée d'amarrage sert à amarrer ou à immobiliser un navire, un hydravion, etc. Une bouée d'amarrage est blanche et orange, l'orange couvrant le tiers supérieur de la bouée au-dessus de la ligne de flottaison. La bouée peut porter une ou plusieurs lettres d'identification.
Vous avez l'impression d'être moins puissant : un cordage usé perd en réactivité, la balle jaillit beaucoup moins vite de la raquette, la perte de puissance est notable. Il devient beaucoup plus difficile de réaliser des touchés, vous n'avez aucune sensation.
Le lexique maritime, adapté à une tâche précise, distingue chaque cordage en fonction de son utilisation : grelin, amarre, attache, filin, garcette, drisse, écoute, hauban... Le mot générique actuellement plus fréquemment utilisé, est celui de « bout », avec prononciation du "t" final.
Choquer revient à laisser filer doucement une manœuvre qui permet le réglage des voiles (les écoutes). "Choque le foc" revient laisser un peu de mou dans l'écoute de foc. Quand on choque, on donne du mou. Attention, à ne pas confondre avec "larguer" qui lui signifie qu'on lâche toute la tension d'un coup.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.