anthropophobe . (Celui, celle) qui n'aime pas l'homme, les hommes. Synon. misanthrope.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
La misanthropie (du grec ancien μῖσος / mîsos « haine » et ἄνθρωπος / ánthrôpos « homme », « genre humain ») est le fait de détester ou mépriser le genre humain dans son ensemble, sans aucune distinction de sexe, d'ethnie, de religion ou de nationalité.
L'anthropophobie, plus connue sous le nom de misanthropie, est une phobie des relations interpersonnelles. Cette phobie se manifeste par la peur des gens qu'ils soient hommes ou femmes. C'est l'être humain en général qui est source d'angoisse.
Personne qui manifeste de l'aversion pour tout le genre humain. misanthrope adj. et n. Qui est peu sociable, d'humeur bourrue, qui aime la solitude.
D'humeur brusque et acariâtre. bourru adj. Qui dénote un caractère brusque et bougon.
Célibataire : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le trouble de la personnalité limite (borderline) se caractérise par une tendance constante à l'instabilité et l'hypersensibilité dans les relations interpersonnelles, l'instabilité au niveau de l'image de soi, des fluctuations d'humeur extrêmes, et l'impulsivité. Le diagnostic repose sur les critères cliniques.
Diagnostic du trouble dissociatif de l'identité
Les médecins diagnostiquent un trouble dissociatif de l'identité sur la base de l'histoire de la personne et des symptômes : Les personnes ont deux identités ou plus, et leur sentiment d'être elles-mêmes et de pouvoir agir comme étant elles-mêmes est perturbé.
Définition. La blemmophobie n'est pas une simple timidité, mais une peur viscérale du regard d'autrui sur le corps.
Phobie sociale : pourquoi je n'aime pas les gens ? Repli sur soi, sentiment d'être en décalage constant avec la société, impression de ne pas être compris, peur d'être jugé, dénigré… Les craintes qui entourent les rapports aux autres sont aussi intenses que diverses.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
(Celui, celle) qui craint ou fuit les hommes.
La pantophobie est la peur de tout. Cette phobie très particulière est principalement associée à des attitudes mélancoliques qui enferment le sujet dans la remémoration continuelle du passé (avec la phrase récurrente : "c'était beaucoup mieux avant !").
insociable adj. Qui n'est pas sociable, difficile à vivre.
Qui éprouve du mépris, voire de la haine, pour les femmes ; qui témoigne de ce mépris.
sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d'irritabilité excessive; hyperactivité, agitation et énergie débordantes; estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
Dans un tiers des cas, les malades souffrent de symptômes de type paranoïde, se sentent persécutés, trompés, harcelés, espionnés, ou ont l'impression que les autres devinent leurs pensées.
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention. C'est l'amélioration de l'image de soi qui, dans la plupart des cas, permet au patient de sortir de ce trouble.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
La dysphorie de genre est une détresse cliniquement significative ou une altération fonctionnelle associée à une incongruence entre le sexe expérimenté/exprimé et le sexe attribué à la naissance.
La schizophrénie est une pathologie psychiatrique chronique complexe qui se traduit schématiquement par une perception perturbée de la réalité, des manifestations productives, comme des idées délirantes ou des hallucinations, et des manifestations passives, comme un isolement social et relationnel.
Si l'on a longtemps pu observer une certaine appétence des hommes pour les femmes plus jeunes (non ?), l'étude est cependant valable dans les deux sens. Des tabloïds à la « vraie vie », on le voit bien : les hommes aiment aussi les femmes plus âgées qu'eux.
Il n'y a rien de mal à rester célibataire (et à mourir seul), selon une nouvelle étude. Le sociologue Elyakim Kislev soutient que l'on devrait embrasser le célibat.
En effet, la femme reste souvent célibataire, car elle ne veut plus perdre son temps en compagnie de mauvais compagnons, certain pourraient lui gâcher la vie. En revanche, cela ne veut pas dire qu'elle ne s'y connaît pas en amour et aux relations.