Dans tous les cas, l'impulsivité décrit une situation où la personne impulsive se laisse guider par l'émotion et non pas par la raison.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Le trouble explosif intermittent, ou TEI, est un problème de santé mentale caractérisé par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité. Ces épisodes sont souvent disproportionnés par rapport à la situation qui les a déclenchés et provoquent une détresse importante chez la personne qui les a vécus.
Le diagnostic requiert : Plusieurs épisodes de comportement impulsifs qui peuvent résulter de très forts dégâts envers un autre individu ou une propriété. Le niveau d'agressivité est fortement disproportionné par rapport aux circonstances ou à la provocation.
Même si l'impulsivité n'est pas une maladie comme telle, elle est clairement liée au TDAH, à la toxicomanie, à la dépression et même au suicide.
Dans une large mesure, cela est dû à une mauvaise maîtrise de soi et à une faible tolérance à la frustration. Cependant, ce ne sont pas les seules causes. Sous la colère se cache aussi très souvent une couche de tristesse que nous ne savons pas affronter, et encore d'autres sentiments ou émotions refoulés.
Les psychologues considèrent la colère comme une soupape qui cache d'autres émotions comme la peur, la tristesse, l'anxiété. On se sent mal, on est coincé, on n'a pas de solution à un problème, alors on éclate.
Perte du sens des réalités, intolérance à la contradiction, actions à l'emporte-pièce, obsession de sa propre image et abus de pouvoir... Ce seraient quelque uns des symptômes d'une maladie mentale liée à l'exercice du pouvoir, le syndrome d'hubris.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale. Les premiers sont caractérisés par une pensée désordonnée dans laquelle la personne n'est pas en contact avec la réalité.
Les troubles somatoformes, quésaco ? Cette maladie mentale méconnue touche surtout les adolescentes et se caractérise par des douleurs inexpliquées et inexplicables pour de nombreux médecins. Pour se soigner pas de traitement mais une psychothérapie.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Un sentiment chronique de vide et d'ennui. sensibilité à la perception d'une séparation ou d'un rejet. la dévalorisation des personnes. valeurs, vos projets ou vos fréquentations qui changent souvent.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
La prise en charge de la colère pathologique en thérapie cognitivo-comportementale porte sur quatre axes principaux : comportemental, physiologique, cognitif, et émotionnel. Le travail psychothérapeutique sur ces différents axes permettra d'identifier les mécanismes de déclenchement et de maintien du trouble.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Elle catégorise les types de personnalité en 4 humeurs principales : sanguin, flegmatique, colérique, mélancolique et donne des indications sur les traits de caractère liés à chaque tempérament.
Autrefois appelé hystérie, l'histrionisme est aujourd'hui défini comme un trouble de la personnalité très expansif qui vise à combler ou entretenir un besoin permanent d'attention.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Les sociopathes ont une idée exagérée de leur propre importance. Ils sont souvent narcissiques à l'extrême et arrogants. Ils ont tendance à imputer leurs échecs aux autres. Les sociopathes utilisent le mensonge et la manipulation régulièrement.
Comme toutes émotions, la colère est naturelle, et constitue un signal d'alarme lorsqu'un de nos besoins n'est pas comblé, ou que nous nous sentons en insécurité. La colère sert donc à mettre des barrières, à dire « stop » à une situation qui ne nous convient pas.
Etre compréhensive, le dire, parler d'une voix calme aidera à l'apaisement. Laissez votre proche exploser tant que ce n'est pas contre vous. Parfois aussi, la personne sera énervée contre elle-même, contre son erreur : attendez que la colère retombe.
"En se reculant, on laisse de l'espace à la personne pour qu'elle puisse s'exprimer. Plus on s'approche, plus la personne va se sentir en danger", affirme la spécialiste. La bonne attitude consiste aussi, comme pour les enfants, à mettre des mots sur les émotions de l'autre.