Les petits dormeurs sont ceux qui ont besoin de moins de 6 heures de sommeil par nuit pour être en forme pendant toute la journée et se sentir reposée.
La narcolepsie ou « maladie de Gélineau » est un trouble du sommeil chronique ou dyssomnie rare. Les symptômes peuvent inclure un temps de sommeil excessif, une impression de fatigue extrême ou encore le fait de tomber en cataplexie involontairement à un moment non adapté, comme au travail, à l'école ou dans la rue.
L'insomnie fatale est une maladie à prions rare qui perturbe le sommeil et qui aboutit à la détérioration des fonctions cognitives et à une perte de la coordination. Le décès survient en quelques mois à quelques années.
La narcolepsie est un trouble du sommeil souvent peu reconnu et sous-diagnostiqué. Ce syndrome, qui tend à persister toute la vie, ne touche environ qu'une personne sur 2 000 en Amérique du Nord et en Europe.
Hypersomnie en relation avec un trouble médical
De nombreuses maladies et troubles médicaux peuvent nuire au sommeil et entraîner des hypersomnies. Le diabète par exemple, l'hypothyroïdie, le cancer etc. C'est aussi le cas des tumeurs cérébrales, des encéphalites, des traumatismes crâniens.
Un petit dormeur est quelqu'un qui a besoin de peu d'heures de sommeil . L'insomnie est un trouble du sommeil non limité au nombre d'heures de sommeil et qui concerne aussi des troubles de l'endormissement ou de la qualité du sommeil.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
La banane, les dattes et la mangue
Certains fruits ont une teneur élevée en tryptophane. C'est le cas de la banane, des dattes et de la mangue. Plutôt doués pour remettre les pendules du sommeil à l'heure, ces fruits gagnent à être consommés avant le coucher.
les benzodiazépines (BZD) à visée hypnotique : appelés couramment somnifères, ce sont les médicaments les plus souvent prescrits. Ils agissent sur l'endormissement, le maintien et la durée du sommeil.
L'insomnie fatale est une maladie grave, mais extrêmement rare (une centaine de personnes seulement sont atteinte dans le monde); C'est une maladie à prions (maladie cérébrale, dégénérative) entraînant des troubles du sommeil très importants qui détériorent les fonctions cognitives, et mènent au décès.
D'après une nouvelle étude publiée dans Science, il semblerait qu'un petit pourcentage de la population (5% environ) soit atteint d'une mutation génétique leur permettant de dormir moins que les autres. Le gène en question, connu sous le nom de DEC2, est en charge de régler le rythme circadien.
Les causes physiologiques
La vie est ponctuée de moments où, de façon naturelle, le cycle du sommeil est perturbé. Une grossesse, l'âge, peuvent également être des causes du sommeil perturbé. Le sommeil profond diminue et les réveils, parfois prolongés, se multiplient et l'envie de faire des siestes augmente !
L'hypersomnie idiopathique
Elle est caractérisée par une somnolence diurne excessive constante entrecoupée de siestes peu reposantes et accompagnée d'un sommeil nocturne de durée normale ou accrue mais non reposant.
Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale… La salive joue un rôle protecteur important sur les dents.
Une insuffisance cardiaque, une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou une maladie rénale chronique sont responsables de fatigue lorsqu'elles s'aggravent.
Et la fatigue ? La fatigue est un autre symptôme bien connu de la dépression. Elle est non seulement physique : manque d'énergie, somnolence... Mais aussi psychologique : troubles de la concentration, absence d'entrain, perte d'intérêt au travail mais aussi dans les loisirs...
Ce sont les somnifères les plus puissants disponibles sur le marché, c'est-à-dire les benzodiazépines hypnotiques (Havlane®, Nuctalon®, Mogadon®, le lormétazépam) et leurs apparentés (Stilnox®, Imovane®). Le seul médicament hypnotique puissant vendu sans ordonnance est Donormyl®.
Boire du jus de cerise et manger des cerises griottes qui augmentent le taux de sérotonine et de mélatonine. Utiliser la phytothérapie : passiflore, valériane, eschscholzia, mélisse, aubépine, tilleul, camomille, verveine. Soit en infusion (on peut en associer plusieurs).
éteignez les appareils électroniques et fuyez les écrans au moins une heure avant d'aller vous coucher ; évitez de dormir avec des animaux, qui perturbent le sommeil ; limitez autant que possible l'alcool, la nourriture trop riche et épicée et n'importe quelle activité trop excitante le soir.
Si dormir peu n'est pas sans risque pour la santé, trop dormir le serait tout autant. C'est pourquoi les scientifiques ont mis en évidence l'importance du rapport de dormir au minimum 5 heures, et maximum 7 heures par nuit pour avoir un cœur qui bat avec efficacité.
A plus long terme, des conséquences physiques apparaissent: troubles cardio-vasculaires ou déclenchement d'un diabète de type II. La dépression est aussi une conséquence d'une diète hypnique trop prolongée.
Dormir une heure de moins par nuit, ce n'est pas grave
Mais, à la longue, cela peut engendrer une « dette de sommeil ». Quand cette dette est trop importante, il faut plusieurs bonnes nuits de sommeil avant d'y remédier. La dette de sommeil peut entraîner une somnolence qui va perdurer jour après jour.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Par ailleurs, la prévalence de l'insomnie clinique différait selon le type de cancer , atteignant 46% chez les femmes souffrant d'un cancer du sein , contre 24% chez des patients dont le cancer concernait le tractus alimentaire.