Définitions de « liseur »
Liseur est le nom donné à une personne qui lit énormément, qui aime lire.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.
L'amoureux des livres est appelé "bibliophile". Fier de sa propre bibliothèque, ce grand amateur d'ouvrages écrits est décrit par le Larousse comme une personne qui aime et recherche les livres rares et précieux.
Nous sommes très nombreux à être librocubicularistes sans le savoir. En effet, ce terme désigne tout simplement une personne qui lit dans son lit ! Il semble que ce mot ait été inventé par l'auteur, essayiste et poète américain Christopher Morley dans son roman The haunted Bookshop paru en 1919.
Les lecteurs exercent souvent un autre métier à côté : écrivains, souvent, étudiants souhaitant mettre un pied dans l'édition, ou même, comme Virginie Arthus-Bertrand, coach sportif à domicile. Il faut dire que l'activité n'est pas très rémunératrice. Un lecteur est payé entre 30 et 90 euros.
Katagélophobie : c'est le petit nom de la peur du ridicule.
C'est la phobie ultime, LA phobie qui doit bien gâcher la vie puisque la pantophobie, c'est la phobie des phobies, la peur de tout.
panophobie, pantophobie , subst. fém., psychanal. État d'anxiété intense et mal définie ne portant sur aucun objet précis, qui s'observe dans un grand nombre de maladies et syndromes.
Nom commun 1. (Figuré) (Par plaisanterie) (Familier) Personne qui lit beaucoup de livres.
Personne qui lit beaucoup. Synonyme : lecteur.
Les séniors et les femmes comptent parmi les plus gros lecteurs. Le livre reste un objet de plaisir pour nombre de Français, qui en offrent volontiers à leurs proches.
Selon une étude très sérieuse, 70% des lecteurs sont en réalité des lectrices. Pourquoi les femmes lisent-elles plus que les hommes ? Pour elles, c'est une compagnie. Les hommes, eux, préfèrent les livres de sciences, de philosophie : en somme, pas trop fictionnels.
Selon un classement du World Culture Index, les plus gros lecteurs de la planète seraient les Indiens : ils consacreraient plus de 10 heures par semaine à la lecture. Juste derrière l'Inde, on retrouve d'autres pays asiatiques : la Thaïlande, la Chine et les Philippines.
Des chercheurs américains s'approchent du Graal de la neurologie après avoir montré qu'il était possible de reconstituer des mots pensés par une personne en décodant ses ondes cérébrales, selon leurs expériences publiées dans la dernière édition de la revue PLoS Biology.
Un « bon lecteur » est quelqu'un qui comprend bien le texte. Il est actif lors de sa lecture et utilise un ensemble de stratégies pour accéder au sens. Ce même lecteur doit donc mettre en place certains processus de compréhension.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
Si la lecture est bonne pour la santé, elle est également un atout de taille pour enrichir son vocabulaire et apprendre de nouveaux mots. En effet, en moyenne en lisant 20 minutes chaque jour, on lirait 1,8 million de mots par an. Un atout de taille qui permet également d'améliorer son orthographe ou son vocabulaire.