Aristote affirme que la Terre se tient immobile au centre du Monde car le mouvement naturel des parties de la Terre aussi bien que de la Terre elle-même prise comme un tout tend vers le milieu du Monde.
la Terre est immobile au centre de l'Univers. il y a séparation absolue ente le monde terrestre imparfait et changeant et le monde céleste parfait et éternel (la limite étant l'orbite de la Lune) les seuls mouvements célestes possibles sont les mouvements circulaires uniformes.
La thèse d'Aristote est donc que l'homme est par nature voué à vivre dans une cité. C'est le sens de la fameuse citation d'Aristote selon laquelle l'homme est un animal politique.
Aristote considère la matière et la forme comme fondues ensemble, ce qui permet de produire la substance composée (σύνολον, sunolon). La matière est le pondérable, le sensible, le corps d'un animal ou d'une œuvre. La matière est associée à la puissance, car la matière est à l'objet ce que la puissance est à l'acte.
L'Âme selon Aristote. Comme tous les êtres réels, l'être vivant est aussi composé d'une matière et d'une forme. Le corps (sôma), c'est-à-dire la matière de la vie, n'est vivant qu'en puissance. Il ne sera vivant en acte que lorsqu'il sera informé par un principe, à savoir l'âme (psuchè), sa forme.
Premier à avoir réfléchi sur la vie, Aristote avait compris qu'elle est à elle-même son propre sens. Aussi l'avait-il définie comme un acheminement vers soi-même. Son but, sa destination, et par conséquent aussi bien la direction que le sens de son existence lui sont inhérents.
Aristote développe une théorie basée sur quatre types de causes : la matérielle, la formelle, l'efficiente et la finale. Il considère l'existence de l'être nécessaire (Dieu) comme source de tout mouvement dans le monde.
Selon Aristote, l'homme étant "l'animal politique", il ne peut que vouloir le bien qui est le même pour tous : la justice. Le mot latin societas signifie "association". Ainsi se forme l'idée selon laquelle la société n'est pas "naturelle" mais résulte d'une convention passée entre des individus isolés.
Telle n'est pas la conception qu'Aristote se fait de la philosophie et de la méthode qui lui est propre : lui aussi considère la réflexion philosophique comme un essai de justification radicale, car le philosophe s'efforce d'atteindre les causes premières de tout ce qui est.
Toute chose intermédiaire est précédée et suivie d'autre chose, et ce qui précède est nécessairement cause de ce qui suit. Si l'on nous demandait laquelle d'une série de trois choses est la cause, nous dirions que c'est la première. Car ce n'est point la dernière : ce qui est à la fin n'est cause de rien.
Aristote a été le critique le plus puissant de Platon, son adversaire le plus déterminé. Mais ce qui les a opposés n'est pas un simple conflit entre deux générations, ni même un cas classique de parricide.
Dès l'Antiquité grecque, des savants ont envisagé la Terre comme une sphère dont ils ont cherché à mesurer la circonférence. Aristote avait déjà remarqué qu'au moment d'une éclipse, lorsque la Lune entre dans l'ombre de la Terre, la Terre projette une ombre qui est circulaire.
Aristote définit le mouvement : "La réalisation de ce qui est en puissance, en tant que tel, c'est le mouvement" (Physique, III, 1, 201a10). C'est un passage. Le « mouvement », en tant que tel, est toujours inachevé, en puissance, sans commencement ni fin, il requiert cependant une cause.
Le monde est fini et plein, poursuit Aristote, ce qui signifie qu'« il n'y a aucun corps en dehors du ciel » et qu'« en dehors du ciel il n'y a ni lieu, ni vide, ni temps ». Nous avons évidemment de la peine à concevoir un Univers limité, au-delà duquel il n'y a rien, même pas un vide.
“L'objet de la guerre, c'est la paix.” “C'est de par leur caractère que les hommes sont ce qu'ils sont, mais c'est de par leurs actions qu'ils sont heureux, ou le contraire.” “La richesse consiste bien plus dans l'usage qu'on en fait que dans la possession. ” “Entre deux maux, il faut choisir le moindre.”
Aristote introduit en effet la question dès le début de son enquête lorsqu'il écrit : « les principaux types de vie sont au nombre de trois : celle dont nous venons de parler (= la vie de jouissance), la vie politique, et en troisième lieu la vie contemplative » (I, 3, 1095 b 17-19).
Le vrai, pour Aristote, répond finalement à quatre conditions: il se situe au niveau du discours ou de la pensée; il énonce (ou fait connaître) ce qu'il y a un autre niveau (l'être); il est vrai parce qu'il le dit tel qu'il est; et pour ce faire, il est composé du sujet dont il parle et d'un prédicat qu'il en dit.
➤ Quelle est la citation la plus belle de Aristote ? La plus belle citation de Aristote est : Il est beau de ne pratiquer aucun métier, car un homme libre ne doit pas vivre pour servir autrui.
Aristote estime « qu'on ne doit pas élever au rang de citoyens tous les individus dont l'État a cependant nécessairement besoin. » Ainsi, dans la cité idéale dont il dessine les contours, les artisans et les esclaves ne sont pas citoyens, ni les métèques, même s'ils habitent tous dans la cité.
Aristote est considéré comme le fondateur de la logique comme instrument de discours dans l'art, la morale et la science. Il introduit des notions de causalité de la nature et fait de cette dernière la finalité des choses, obéissant à un dessein qui dépasse les hommes.
1) Les êtres humains désirent vivre ensemble, même s'ils n'ont pas besoin les uns des autres. 2) Si l'avantage commun les réunit, c'est seulement pour autant qu'il permet d'accroître la part de bonheur. 3) La fin de la cité est le bonheur.
C'est dans ce cadre conceptuel qu'Aristote soutient dans De l'âme que l'âme est la forme de l'être vivant, dont le corps est la matière. Cela signifie que l'âme n'est pas une substance distincte du corps vivant, mais elle en est le principe de vie.
Socrate (en grec ancien : Σωκράτης / Sōkrátēs /sɔːkrátɛːs/) est un philosophe grec du V e siècle av. J.-C. (né vers -470/469, mort en -399). Il est connu comme l'un des créateurs de la philosophie morale.
Les principes
Aristote veut montrer que, si l'on ne pose qu'un seul principe, on rend le mouvement impossible. Cette erreur fut celle des Éléates, pour qui l'être est un, n'ayant d'autre réalité que celle de l'essence. À un tel être il ne peut proprement rien arriver.
Malgré des siècles à penser que la Terre était plate, c'est Galilée qui a affirmé que la Terre est ronde contre la croyance de l'Eglise. Cependant, cette découverte date de l'Antiquité et a été en partie réalisée par Ératosthène.