L'exigence pour la sensation de contrôle
Il n'est pas rare de constater que les personnes les plus exigeantes sont le plus souvent perfectionnistes ou insatisfaites chroniques. Dans tous les domaines, être trop exigeante résulte d'un besoin impérieux d'avoir la sensation de pouvoir tout contrôler.
L'excès d'exigence est dû à la peur de la rencontre, la vraie, celle où l'on voit l'autre tel qu'il est. Celle où l'on décide de s'investir dans la relation avec lucidité et amour. L'excès d'exigence est la peur de ce qu'une vraie rencontre implique d'inconnu, de bouleversements immédiats et de changements durables.
exigeant adj. Qui est difficile à contenter ; dur, strict. exiger v.t. Vouloir quelque chose (de quelqu'un), le réclamer impérativement.
Avoir des exigences, mais s'offrir le droit à l'erreur.
Antoine Pelissolo le résume bien : "Être exigeant avec soi-même, ce n'est pas néfaste, c'est la rigidité qui l'est. Il faut s'accorder le droit à l'erreur. Derrière cette dureté, il y a une volonté de perfectionnisme, or personne n'est parfait".
Vouloir à tout prix être meilleur, vouloir toujours attirer l'attention ou chercher constamment la compétition peut être une réaction à ce besoin d'être unique. Ce besoin primaire de combler un manque affectif de manière inconditionnelle.
Que cachez-vous derrière cette apparente dureté ? Un manque de confiance en vous, un mal-être récurrent ou une irascibilité incontrôlée… Dans tous les cas, être trop cassante avec les autres peut vous jouer des tours et vous isoler petit à petit.
"Le mot du champion : altruiste."
Vivre avec une personne psychorigide est difficile. Pour vivre avec une telle personnalité au mieux, il convient de ne pas l'encourager dans ses obsessions, son perfectionnisme et son besoin de tout régenter. Vous pouvez l'aider en définissant pour elle des priorités dans les choses à faire, ce qui calme ses angoisses.
Faire preuve d'une bienveillance exigeante, c'est demander à l'autre de faire de son mieux, mais c'est aussi est surtout lui signifier que l'on croit en lui, qu'on le sait capable de progresser et que l'on est disposé à tout faire pour l'aider à y parvenir.
Tolérant, conciliant, accueillant aux idées d'autrui (parfois péj.)
Evoluer ensemble…
Comprendre le conjoint et l'accepter évite d'accumuler les frustrations, les rancoeurs, les déceptions pour tout ce qu'on attend et qui ne vient pas (ou pas comme on le souhaite). De plus, cette meilleure compréhension permet d'offrir à l'autre ce dont il a réellement besoin.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ». Avec elles, il est souvent difficile de garder patience au fil des ans.
Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement qui peut être excessif, les rassure.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
De l'empathie...
L'empathe est donc capable d'être conscient de la source de l'émotion et de décoder l'émotion d'autrui. L'empathe a cela au plus profond de lui.
La claustrophobie est la phobie de l'enfermement.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
L'absence de confiance en soi vient d'un manque ou d'un besoin non comblé, généralement vécu dans notre passé. Il n'est pas toujours aisé d'identifier ce besoin, mais cela peut aider à comprendre d'où vient la perte de confiance en soi.
Une deuxième raison pour laquelle nous blessons celui que nous aimons le plus est que cette personne est là, tout simplement. Son énergie est disponible et nous nous en servons selon nos besoins. En lui prenant son énergie, nous le faisons souffrir. Voler l'énergie à quelqu'un revient à le blesser.
La première étape, je vous le disais, consiste à interroger ce besoin de perfectionnisme. Si vous vous rendez compte qu'il n'est en fait « pas à vous », ayez conscience que vous pouvez vous en détacher et vous en libérer et que cela fera terriblement diminuer la pression avec laquelle vous vivez. Relativisez !