Lui parler. On profite d'une sortie – aller prendre un café par exemple – pour lui parler en tête à tête. Expliquez-lui comment vous vous sentez. Dites-lui que vous comprenez son excitation face au fait de devenir grand-mère, mais que vous êtes parfois mal à l'aise face à ses élans.
Il faut du temps pour prendre suffisamment de recul et peser le pour et le contre. Essayez au mieux d'arriver à garder de bonnes relations avec vos deux familles car vos enfants ont besoin aussi de cet héritage, de connaître les personnes qui font partie de son histoire et de celle de ses parents.
Utilisez le principe du « merci positif ». « Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
Travaillez différentes expressions feintes devant un miroir, jusqu'à les imiter parfaitement : compassion, admiration, tristesse, stupéfaction et la plus importante : l'innocence. En règle générale, soyez aussi fourbe, péremptoire, faux-cul et odieuse qu'elle, mais pas en présence d'éventuels témoins.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Une façon d'améliorer votre relation avec votre belle-mère est de partager un passetemps avec elle. Demandez-lui son avis de temps en temps. Même s'il s'agit d'une personne avec qui il est un peu difficile de vivre, elle demeure la mère de votre conjoint(e) et mérite considération et respect X Source de recherche .
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Souriez, soyez amical sans être trop hypocrite, mais rappelez-vous que c'est de votre devoir de partager avec eux, comme le fait votre partenaire avec votre famille, donc faites que tout se passe bien.
Une des premières causes des difficultés à vivre dans les familles recomposées est le nombre exponentiel de variables par rapport à une famille « traditionnelle ». Cela ne veut pas dire que cela ne peut pas bien fonctionner, ou que les membres d'un foyer recomposé ne peuvent pas être heureux.
Posez-lui des questions sur la façon dont elle a élevé ses enfants, ou sur son métier, sur sa façon de concilier vie de famille et vie professionnelle. Deux avantages à cela : une proximité possible avec elle, mais aussi un terrain de confiance.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
l'emmener et aller le chercher à l'école ; signer son cahier de correspondance et son livret scolaire ; l'inscrire à une activité sportive ; l'accompagner chez le médecin.
Soyez extrêmement gentille
Demandez-lui comment elle en sait autant et si elle a déjà fait des erreurs. Mais sérieusement, parfois, le fait d'être la personne la plus importante dans une situation comme celle-ci peut être très utile, car si votre belle-mère est vraiment toxique, elle voudra vous faire réagir.
Sa famille traite vos enfants comme s'ils n'appartenaient qu'à votre partenaire et à son côté de la famille. Ils invitent votre partenaire aux fêtes de famille, mais pas vous. Ils vous critiquent devant votre partenaire ou devant vos enfants.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
La façon dont cela s'exprime: elle se plaint chez son petit garçon que vous ne voulez pas de contacts avec elle, elle vous reproche de ne pas être assez à la maison, ou au contraire de passer trop de temps avec son fils. Elle s'immisce constamment pour montrer qu'elle existe.
Comportez-vous convenablement avec eux.
Traitez vos beaux-frères et belles-sœurs comme vous traiteriez vos propres frères et sœurs. Soyez aimable, cordial et naturel avec eux. Soyez honnête et communiquez de façon ouverte. Lorsque vous êtes en leur présence, détendez-vous.
Il faut faire attention et ne pas permettre certaines attitudes irrespectueuses. Si nous avons des reproches à faire, c'est à leur fils qu'il faut s'en plaindre. Lui seul, de part son attitude vous fera respecter par ses parents. Surtout pas de guerre ouverte !!!