Pour doser raisonnablement le sel dans les plats, il peut être utile de suivre 3 règles : ►Toujours saler en une fois, au même moment. Saler pendant la cuisson notamment, permet de mieux disperser le sel dans les aliments. ► Goûter son plat avant de rajouter du sel est la règle de base pour limiter les excès de sel.
Les épices s'utilisent toujours en fin de cuisson, les faire cuire font perdre aux épices leur arôme. Les parsemer en fin de cuisson vous permettra de conserver toute la saveur de l'épice et de conserver ses bienfaits et propriétés.
Si c'est un peu fade, essayez d'abord le sel. Voyez comment cela agit. " Habituellement, dit-elle, le sel fait apparaître ou réveille toutes les saveurs du plat. " De temps en temps, si c'est juste un peu fade, ajoutez quelques gouttes de jus de citron ou de vinaigre balsamique. "
Tout comme le sel, les ingrédients acides servent à rehausser le goût de nombreux aliments. Quelques gouttes de vinaigre balsamique sur les pâtes et les crevettes, ou du jus de citron sur le poulet grillé, suffisent à faire la différence.
Au fond des papilles se trouvent des récepteurs sensoriels, les « bourgeons du goût », reliés au cerveau par des fibres nerveuses. La bouche contient également des cellules capables de capter la température, la sensation de piquant ou celle de fraîcheur.
Comment doser les épices ? Assaisonnez avec parcimonie, ayez la main légère et ajustez au fur et à mesure de la cuisson. Les épices doivent relever un plat, pas en dénaturer le goût. Elles sont toujours un révélateur, jamais un cache-misère.
Cannelle, clou de girofle, noix de muscade et gingembre : voilà les ingrédients usuels du quatre-épices. Il arrive cependant qu'on y ajoute du poivre.
Le paprika relève le goulasch hongrois et de nombreux plats d'Europe de l'Est, notamment des ragoûts de viande et de volaille. Il s'apprécie également avec les fromages frais, la crème, le poisson, la tomate, les oignons, l'avocat et agrémente les mélanges d'épices.
1 cuillère à café pour 10 g.
Vous l'aurez compris, pour le sel, pas de doute, on va plutôt saler avant la cuisson pour entrer dans la chair. Pour le poivre, pas de doute, la fin de cuisson est privilégiée.
"Le seul moyen de savoir la quantité de sel que l'on mange est de mesurer par vingt-quatre heures celle que l'on retrouve dans les urines. Il faut prendre ses urines des vingt-quatre heures, et faire un dosage de sodium. C'est ce qu'on appelle un ionogramme urinaire.
Les épices : curry, curcuma, piment en poudre ou paprika ont des effets bénéfiques sur le foie du fait de leurs propriétés antioxydantes mais aussi grâce à leur capacité à stimuler les enzymes de la détoxication.
La cannelle, que vous pourrez cette fois-ci ajouter dans vos plats sucrés comme les desserts à base de pommes, fait partie des épices les plus riches en antioxydants.
Poivre. La quantité de poivre influence sur le piquant de votre farce ou pâté. Pour les plus rebutés, 1 g au kilo est le minimum, et pour les amateurs, ne dépassez pas 5 g (c'est déjà beaucoup). Mon goût personnel s'établit à 3 g par kilo.
Aristote distingue dans les saveurs le doux, l'amer, l'onctueux, le salé, l'aigre, l'âpre, l'astringent et l'acide.
Par l'inhalation en excès de certaines substances comme le tabac, le mercure, le plomb (une fuite de métal des plombages dentaires par exemple) ou le zinc que l'on trouve souvent dans les fruits de mer ou le foie de veau notamment. Par l'ingestion d'une plante toxique, d'une substance chimique.
Le conseil de DocteurBonneBouffe.com : Utilisez des oignons (rouges ou blancs) émincés, des échalotes ou de l'ail dans une sauce ou un plat : cela vous permettra de relever les saveurs et de donner plus de profondeur et de caractère à vos recettes.