La pneumonie s'attrape le plus souvent comme une grippe ou un rhume, en inhalant des particules contaminées. Dans certains cas, elle survient après une autre infection respiratoire, comme une grippe ou une bronchite, qui « dégénère » et s'installe dans les alvéoles des poumons.
Lorsqu'il s'agit d'une pneumopathie d'origine bactérienne, un traitement antibiotique est prescrit (par exemple amoxicilline pour les pneumonies à pneumocoque), voire en association en cas de tuberculose notamment. La pneumopathie liée à une légionellose sera traitée avec des antibiotiques type macrolides ou quinolone.
Dans deux tiers des cas, le germe en cause est un virus (de nombreux virus peuvent être en cause, par exemple, celui de la grippe ; à noter que le virus de la rougeole peut aussi toucher le poumon) ; dans le tiers restant, il s'agit de bactéries (pneumocoques, Haemophilus influenzae).
La pneumonie : une infection bactérienne d'un poumon
Le plus souvent, c'est une bactérie appelée Streptococcus pneumoniae ou pneumocoque qui en est la cause. D'autres germes bactériens sont moins fréquemment en cause : Mycoplasma pneumoniae, Chlamydia pneumoniae, Legionella pneumophila, Haemophilus influenzae...
Les pneumonies virales peuvent se compliquer d'une surinfection par une bactérie. Les pneumonies bactériennes peuvent être à l'origine d'un épanchement pleural ou pleurésie (du liquide s'accumule entre les enveloppes des poumons et les empêchent de se gonfler à l'inspiration), voire d'un abcès du poumon.
Les symptômes d'une pneumonie sont une toux avec des crachats, des difficultés respiratoires, des « bruits » pendant la respiration, des douleurs au niveau du thorax ainsi qu'une fièvre souvent élevée et de la fatigue.
La période de contagiosité varie selon l'agent causal. Dans le cas de la pneumonie bactérienne, la contagiosité diminue grandement après 24 à 48 heures d'antibiothérapie. Dans le cas de la pneumonie virale, la période de contagiosité débute un peu avant l'apparition des symptômes et dure pendant toute la maladie.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
Les pneumonies sont potentiellement graves, notamment lorsqu'elles touchent des personnes souffrant de maladies chroniques. Dans la plupart des cas, un seul lobe pulmonaire est atteint (les poumons se composent de cinq lobes) ce qui permet à la personne malade de ne pas mourir asphyxiée.
Il s'agit d'un mélange de pamplemousse, de citron et d'ananas. En effet, ces aliments sont dotés de plusieurs vertus plutôt expectorantes. Elles sont donc très utiles pour la purification des poumons. Avant le petit déjeuner (environ vingt minutes), il est recommandé de boire le jus de pamplemousse et de citron.
Marche, vélo, jardinage… l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.
Une pneumopathie ou pneumonie communautaire est une infection pulmonaire survenant en milieu extra-hospitalier. L'agent infectieux est généralement une bactérie du genre pneumocoque, mais d'autres bactéries, voire des virus, peuvent déclencher une pneumopathie communautaire.
Streptococcus pneumoniae – l'agent pathogène le plus souvent à l'origine de la pneumonie bactérienne chez l'enfant; Haemophilus influenzae type b (Hib) – la deuxième bactérie la plus courante à l'origine de pneumonies; Le virus respiratoire syncytial est l'agent pathogène le plus fréquent en cas de pneumonie virale.
La position idéale, y compris pour dormir, en cas de pneumonie est la position semi-assise ou assise. Si l'état de santé du patient ne s'améliore pas après 3 à 5 jours, le médecin peut varier les antibiotiques. Dans certains cas, il demandera l'hospitalisation du patient.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Chez les participants dont les taux de vitamine B6 (pyridoxine) étaient les plus élevés, le risque de souffrir d'un cancer du poumon chutait de 44 % par rapport à ceux dont les taux de vitamine B6 étaient les plus bas. La réduction du risque était de cette ampleur tant chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.
Des douleurs au dos
La grande majorité des cancers peuvent se propager aux os. C'est le cas du cancer du poumon, qui lorsqu'il métastase au niveau des os, peut entraîner des douleurs osseuses particulièrement au niveau de la colonne vertébrale, des côtes, des bras et des jambes.