La puissance du test est donnée par le calcul suivant : P =1–P(F < c) où F suit la loi normale de paramètres p et . Construction de la courbe de puissance du test avec un tableur. On peut présenter les calculs de la façon suivante : En A1 : p En A2 : 0,20 En A3 : 0,21 …… En B1 : 1 – β En B2 : =1-LOI.
-la puissance d'une étude représente la probabilité de rejeter l'absence d'effet alors qu'il existe. La puissance sera exprimée par π =1-β. La puissance habituellement requise est supérieure à 80%.
Soit p>0,05: la différence n'est pas significative, on ne peut pas conclure à une différence. Soit p≤0,05: la différence est significative, le risque pris est précisé, sa valeur est appelée degré de signification.
Une valeur-p de 0,05 signifie qu'il y a une chance sur 20 qu'une hypothèse correcte soit rejetée plusieurs fois lors d'une multitude de tests (et n'indique pas, comme on le croit souvent, que la probabilité d'erreur sur un test unique est de 5 %).
Niveau de signification
Si la valeur p calculée est inférieure à cette valeur, l'hypothèse nulle est rejetée, sinon elle est maintenue. En règle générale, on choisit un niveau de signification de 5 %. alpha < 0,01 : résultat très significatif. alpha < 0,05 : résultat significatif.
La reproductibilité, appelée aussi fiabilité, est définie par la propriété d'un test dont les résultats peuvent être reproduits aussi longtemps que les conditions du test ne changent pas.
Cette condition part du principe que pour être sûrs que ce qu'on découvre en science est vrai, il faut au moins pouvoir refaire la même expérience plusieurs fois, par des personnes différentes, en obtenant le même résultat.
La puissance statistique d'un essai clinique est son aptitude (en termes de probabilité) d'obtenir un résultat statistiquement significatif si le traitement est réellement efficace. La puissance est égale à 1-b, où b est le risque de deuxième espèce, celui de ne pas mettre en évidence un effet qui existe pourtant.
L'utilisation d'un plus grand nombre de répétitions permet d'obtenir plus d'informations sur la population, et donc d'augmenter la puissance. Il s'agit bien souvent de la manière la plus pratique d'augmenter la puissance.
Une puissance est « un État qui dans le monde se distingue non seulement par son poids territorial, démographique et économique mais aussi par les moyens dont il dispose pour s'assurer d'une influence durable sur toute la planète en termes économiques, culturels et diplomatiques » (Gérard Dorel).
L'écriture sous la forme de puissance de dix permet de simplifier une écriture où l'on pourrait se retrouver face à parfois une dizaine de zéro !
Pour calculer la puissance maximale que votre compteur peut vous fournir (exprimée en Volt-Ampères), il suffit de multiplier la tension (U) par l'intensité (I) du courant qui alimente votre habitation.
La taille d'un effet est donc une grandeur statistique descriptive calculée à partir de données observées empiriquement afin de fournir un indice quantitatif de la force de la relation entre les variables et non une statistique inférentielle qui permettrait de conclure ou non si ladite relation observée dans les ...
le produit de deux puissances de même exposant : a n × b n = (ab) n ; le produit de deux puissances du même nombre : a n × a p = a n +p ; le quotient de deux puissances du même nombre : \frac{a^n}{a^p} = a^{n-p} ; une puissance de puissance : (a n ) p = a np .
Si un opérateur mesure plusieurs fois la même dimension sur le même objet et que celle-ci ne varie pas au-delà d'un seuil donné, alors la mesure est "répétable". Si la dimension d'un objet, mesurée par plusieurs opérateurs ne varie pas au-delà d'un seuil, la mesure est dite "reproductible".
La répétabilité et la reproductibilité sont données par la formule: La variabilité liée à la pièce est donnée par la formule: R p est la différence entre la mesure moyenne de la plus grande des pièces et la mesure moyenne de la plus petite des pièces entre chaque opérateur.
Validité : Dans le contexte des évaluations éducatives, un test est valide s'il mesure ce qu'il est censé mesurer. Cela signifie que la validité n'est pas une propriété du test lui-même.
La valeur prédictive positive (VPP) permet de savoir quelle est la probabilité qu'un résultat positif indique que le patient est réellement infecté. La valeur prédictive négative (VPN) permet de savoir quelle est la probabilité qu'un résultat négatif indique que le patient n'est pas infecté.
La variance de répétabilité (σ²r) est estimée par la résiduelle. Le test de Cochran indiquant que les variances sont homogènes (p = 0.10) ; cela permet de calculer l'écart-type de répétabilité pour la concentration 0.5 µg/ml à partir du carré moyen résiduel : ml g Sr / 021826 . 0 0004764 .
Les tests PCR peuvent donner des faux négatifs quand la quantité de virus est trop faible pour être détectée, par exemple en tout début d'infection ou après 8 à 10 jours d'évolution car le virus n'est plus alors présent dans le nez.
Pour prendre une décision, choisissez le niveau de significativité α (alpha), avant le test : Si p est inférieur ou égal à α, rejetez H0. Si p est supérieur à α, ne rejetez pas H0 (en principe, vous n'acceptez jamais l'hypothèse H0, mais vous vous contentez de ne pas la rejeter)
Cela s'articule habituellement autour de l'hypothèse nulle (H0): si on accepte l'hypothèse nulle, l'hypothèse alternative (H1) est infirmée; inversement, si on rejette l'hypothèse nulle, l'hypothèse alternative est confirmée.
Pour calculer la probabilité d'un événement, vous pouvez simplement utiliser la formule générale de probabilité : P = n/N. Vous devez donc connaître le nombre d'issues favorables et le nombre total d'issues possibles.