Plier les coudes lorsque le cavalier est assis et les tendre quand il se lève, tout en avançant le nombril en direction des mains et non l'inverse. Les bras ainsi articulés permettent aux mains de ne plus aller de haut en bas et sont alors fixées par rapport à la bouche du cheval.
⏩ Travailler sur sa proprioception
La proprioception est l'un des souci principaux des cavaliers qui ont la main dure. Il faut donc travailler sur le fait de recaler ses sensations sur ce qui est juste.
Il faut que les épaules restent dans l'axe des talons, en tendant les jambes. Faites passer votre nombril vers l'avant jusqu'à ce que votre corps fasse un arc de cercle. Tentez d'abord de marcher puis de trotter dans cette position sans retomber dans la selle.
Pour les mains et doigts : frappes contre différents supports ou matériaux : dans l'eau, sur des sacs de riz, gravier, makiwara, punching ball, supports en bois, etc. Pompes sur les poings ou les doigts. Pour les tibias : musculation des mollets, travail avec un sac de frappe de façon progressive.
Le contact de base se fait avec l'index et le pouce. Les deux autres doigts te servent à pianoter, à “jouer dans les doigts”. Avoir une bonne main à cheval, c'est avant tout avoir une main élastique qui suit les mouvements de l'encolure du cheval : qui peut donc s'allonger ou se rétrécir, sans jamais perdre le contact.
Mettez-vous en “suspension”, c'est-à-dire appuyé sur les étriers avec les fesses légèrement au dessus de la selle. Une fois votre équilibre trouvé en suspension au trot, lancez-vous au galop en ouvrant les doigts sur les rênes et en engageant les jambes fermement.
Le dos du cavalier doit être droit, c'est à dire qu'il doit se tenir pour lutter contre la gravité, en respectant ses courbures naturelles, propres à chaque individu. Cette rectitude est rendue possible par le bon positionnement du bassin et des jambes, et par la juste tonicité des muscles profonds.
Plier les coudes lorsque le cavalier est assis et les tendre quand il se lève, tout en avançant le nombril en direction des mains et non l'inverse. Les bras ainsi articulés permettent aux mains de ne plus aller de haut en bas et sont alors fixées par rapport à la bouche du cheval.
? Le bidet à l'obstacle, les fleurs en dressage, l'eau en complet, la poubelle en promenade….
Il est possible de décontracter son cheval sans passer par les flexions, le cheval tombe dans la main et mâche son mors lorsque certains exercices sont bien réalisés, cela peut être une épaule en dedans, une simple mobilisation des hanches, des épaules ou un travail de transition.
Un cheval qui s'encapuchonne et qui lâche le contact peut se traduire par différentes choses : La mauvaise position des mains du cavalier. Un mors mal adapté à la bouche du cheval. Un manque de tension sur la ligne du dessus du cheval.
L'histoire de l'équitation est, d'après Denis Bogros, longtemps restée ignorée, voire méprisée, seule la pratique étant jugée utile. La plupart de ses principes sont inventés durant les deux millénaires qui vont de l'époque de Xénophon à la Renaissance, à l'aide d'outils visant à mieux contrôler le cheval.
On ne peut qu'inciter le cheval à s'incurver par une juste répartition du poids et de l'équilibre cheval/cavalier. Portez se dans un premier temps la rêne intérieure légèrement vers le bas et l'intérieur puis vers le garrot du cheval (sans le franchir évidemment). Elle place et infléchit mais ne prend pas.
Asseyez-vous bien au milieu de la selle.
Les cavaliers débutants ont tendance à s'asseoir beaucoup trop à l'arrière de la selle ce qui leur donne une position “Harley Davidson”. Pensez que vous devez pouvoir mettre la distance de votre poing derrière votre selle.
pour allonger le trot ou le galop il faut accompagner plus fort avec le bassin et demander l'allongement en mettant bien ses jambes en arrière pour pousser et aller chercher les posterieurs. Au trot tu peux alterner jambe gauche jambe droite en fonction du diagonal qui avance.
Il faudra s'étirer en conséquence, et en prévoir plusieurs pour étirer tous les muscles qui ont travaillé. Il vous faudra donc étirer : Le bas du corps : les adducteurs, les quadriceps, le mollet et plus particulièrement les ischios-jambiers qui travaillent beaucoup. Vous aurez ainsi un meilleur placement de jambes.
Pour débuter cet exercice, prenez le galop avec votre cheval sur le petit côté et commencez un début de diagonale en sortant du coin. Avant X, vous réalisez une transition au trot avec un changement de direction à la lettre X, puis vous redemandez le galop en revenant sur la piste.
Généralement, que ce soit en liberté, en longe ou montés, ils ont un bon équilibre, changent de pied facilement, se tiennent fièrement dans des déplacements bondissants. Ce sont souvent des modèles harmonieux : tête expressive, encolure sortie et dirigée vers le haut, dos tendu et postérieurs dessous.
Avant de demander un départ au galop, il est impératif de trouver le bon trot, afin que la transition se fasse dans le confort. Installez vous sur un grand cercle, votre cheval doit être en équilibre, cadencé, et serein. Il ne doit pas anticiper. Si besoin ralentissez un peu avant de partir au galop.
Il faut déjà commencer par fermer correctement le poing. Pour cela replier tous les doigts sauf le pouce, puis venez poser votre pouce sous les autres doigts. Si vous enfermez votre pouce dans les autres doigts vous risquez de vous casser au démettre le pouce lors des impacts.