Flatter sa belle-mère Aussi gentille ou peu accueillante soit-elle, flattez-la. Faites-lui des compliments sur le repas qu'elle a préparé par exemple (même si ce n'est pas votre plat préféré). Faites-la rire. Attention, pas de blagues grivoises !
Soyez patiente
Avant tout, essayez de ne pas prendre les choses personnellement. Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence.
Posez-lui des questions.
Prenez le temps de poser des questions à votre belle-mère sur sa vie. Intéressez-vous à elle et à ce qu'elle fait. Parlez-lui de ses activités et de choses qui l'intéressent. En posant ces questions, vous commencerez à vous sentir plus proche d'elle X Source de recherche .
Les belles-mères cherchent pour leur fils-roi, une fille soumise à son mari, lui-même soumis à sa môman. La transitivité implique que la belle-fille soit la soumise de la belle-mère. La rivalité, une mère voit que son fils va convoler avec une donzelle.
Arrêtez d'essayer de lui plaire : une belle-mère toxique ne sera jamais satisfaite et heureuse. En cédant et en faisant les choses comme elle le souhaite, vous annulerez votre personnalité. Et même alors, les conflits ne prendront pas fin car il y aura toujours une nouvelle demande, une nouvelle critique.
Il te Suffira simplement de lui tendre la main. quand tu la salueras la prochaine fois, en disant. bonjour Marie-Christine, que sais-je, tout dépend le nom de ta belle-maman. Par réflexe, elle va te tendre la sienne et tu lui serras.
Optez pour un style sobre et minimaliste. La chemise pourrait s'accompagner d'un chino beige ou bleu marine. Le pantalon en coton donnera un coté plus relax à l'ensemble de la tenue.
Inutile de chercher à faire dans le compliqué, un joli bouquet de fleurs, une boîte de chocolats ou une bonne bouteille de vin, voilà qui devrait leur faire plaisir. A peine entrée, vous leur ferez déjà bonne impression.
Vouvoyer ou tutoyer : suivre sa belle-mère
« Il me semble qu'il vaut mieux ne pas tutoyer sa belle-mère d'emblée, estime Caroline Kruse. D'une part parce qu'on n'en a pas forcément envie. Ensuite parce que la différence d'âge implique dans un premier temps cette distance qui est aussi une marque de respect. »
Il n'y a pas d'alternative. Une personne moderne doit tutoyer ses parents et ses beaux-parents. Elle doit appeler ses beaux-parents par leur prénom et être souriante, serviable et gentille avec eux, en toutes circonstances ! Hors ces règles, point de salut !
Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter. Parmi ces possibilités relevées, une nette préférence est accordée par les belles-filles pour « mamie », « mémé ».
Elle craint de ne plus être la préférée de son fils / de sa fille, de perdre son amour et sa priorité exclusive." À noter : d'après l'experte, ce sont plutôt les femmes en couple hétérosexuel qui sont confrontées à des belles-mères toxiques "du fait d'une relation mère-fils parfois extrêmement fusionnelle".
Mais il doit dans ce cas garder le contact avec sa mère, lui rendre visite le plus souvent possible et faire preuve de bonté filiale envers elle. Et Allah sait mieux.
Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.
La plupart du temps, ses problèmes seront surtout dus à ses peurs et à son manque de confiance. Faites donc de votre mieux pour ne pas les prendre à cœur ou les intérioriser. Pour supporter une belle-mère pénible, parlez-en à votre époux(se) afin que vous puissiez mettre au point une stratégie ensemble.
La mère jalouse peut également rabaisser systématiquement sa fille, l'empêcher de voir ses amis. Cette rivalité s'opère aussi dans les tenues vestimentaires, où "l'on ne sait plus qui est la mère et la fille", illustre Yves Morhain. "J'ai également eu le cas d'une mère qui avait piqué le copain de sa fille de 18 ans.
Offrez votre aide, ne l'imposez pas : même si vous ne le réalisez pas parfois, votre belle-fille reconnaît votre expérience et apprécie vos conseils. Les décisions qu'elle prend ne sont peut-être pas celles que vous auriez prises, mais vous devez comprendre que ce n'est pas votre vie, mais la sienne.