2 — Bien observer le spot et la formation des vagues avant de rentrer dans l'eau ; 3 — Ne pas surfer de vagues trop grosses pour votre niveau ; 4 — Sortir de l'eau quand vous êtes fatigué ; 5 — Rester concentré et hydratez vous pour éviter les blessures.
Votre bras arrière devrait aussi être tendu, mais ne vous en préoccupez pas trop. Levez votre tête et regardez vers l'avant. Si votre bras avant est levé, votre regard devrait se porter le long de ce bras. Le fait de garder la tête levée et le regard porté vers l'avant est très important pour réussir à surfer au mieux.
Avoir les aptitudes physiques
Afin de surmonter votre peur, il est primordial de vous sentir bien physiquement et d'être à l'aise dans l'eau. Il existe de nombreuses manières de se familiariser avec de plus grosses vagues, avant de s'y lancer avec une planche de surf.
On peut surfer quand le vent est très faible. La marée correspond au déplacement des masses d'eau lié à l'attraction de la lune et du soleil. Marée montante : Les conditions sont meilleures 2h à 4h après le début de la marée montante, mais dépendent toujours de la houle.
L'affluence et le bien-être d'aller surfer le matin
La raison la plus évidente est l'affluence sur les spots de surfs. En effet, le matin tôt il y a moins de monde à l'eau qu'a un autre moment de la journée. C'est pourquoi les surfeurs les plus motivés vont choisir d'aller surfer tôt le matin.
Plus le coefficient est élevé plus les vagues seront consistantes et rapides et meilleur sera le surf. Un coeff idéale est entre 50 et 70. A savoir qu'il vaut mieux surfer à marée basse quand les vagues sont petites (50cm), il y aura moins d'eau et les vagues se formeront plus facilement.
Le surf développe les bras et les muscles dorsaux mais peu les abdos et les jambes. Travailler son explosivité dans les membres inférieurs hors de l'eau permettra de passer plus facilement ses manoeuvres.
Traitements possibles de l'ablutophobie
Les approches cognitivo-comportementales sont très efficaces contre les phobies en général et pour celle-ci en particulier. L'hypnose ericksonienne peut être aidante car elle permet une désensibilisation par rapport au sujet même de la phobie : la peur de la noyade.
Kératophobie - Peur des ongles, des griffes et des cornes.
Vos deux pieds doivent être centrés sur la largeur de la planche de surf. Vos arcs de pieds devraient être positionnés de manière égale de chaque côté du « stringer » (ou de chaque côté d'une ligne imaginaire au milieu de votre planche de surf si elle n'a pas de « stringer »).
Utilisez vos hanches comme point de pivot : tendez les bras pour relever la tête et le torse, et mettez les jambes sur les côtés de la planche pour entrer dans l'eau, comme si vous montiez à cheval. Mettez ensuite les genoux en avant, au niveau des mains, pour vous équilibrer. Et voilà, vous êtes assis.
Identifier le bon moment pour faire take off
Même si tu te lève parfaitement, si tu ne le fait pas au bon moment, cela ne servira a rien. Si tu te lèves trop tard, tu resteras dans la mousse, et si tu te lèves trop tôt, la vague continuera sans toi.
Quand vous sentez le tail, c'est à dire le bas de la blanche se lever, et que vous vous apprêtez à glisser sur la vague, faites deux derniers coups de rame, et faites votre take-off. Le take off c'est le moment ou un surfeur passe de la position allongé, à debout.
Oui, il faut débuter enfant pour atteindre ce niveau. Car on apprend plus vite et facilement lorsqu'on est jeune. Notre cerveau est plus plastique (jusqu'à 20 ans environ). Atteindre la vague d'or niveau 2 en débutant le surf à 30 ans par contre, c'est impossible.
La peur de la profondeur est parfois liée au fait de ne pas savoir ce qu'il y a au fond de l'eau (à la mer, dans un lac ou un étang). D'autres nageurs ont aussi la sensation d'être attirés par le fond ou ont alors la sensation de ne plus savoir nager lorsqu'ils n'ont plus pied.
Pour être à l'aise dans l'eau, on croit parfois qu'il faut la maîtriser, ce qui est impossible. En réalité, il s'agit de maîtriser le mouvement de son corps dans l'eau. Vous êtes peut-être déstabilisé par cet élément : il n'y a pas d'appui ni d'équilibre stable. D'où le sentiment angoissant d'être une roche qui coule.
Les peurs irraisonnées des gens proviennent essentiellement d'une méconnaissance profonde du milieu marin (« on a peur de ce que l'on ne connaît pas« ). Il faudra davantage éduquer le public à l'environnement marin pour qu'ils apprennent à le respecter, et éviter qu'ils ne s'en détournent définitivement.
Avec le Surf Set
Grâce à des exercices spécifiques, basés sur la recherche d'équilibre et de stabilité (allongée sur la planche ou debout), on peut s'entraîner toute l'année en ville, s'initier à la pratique ou simplement remodeler son corps en s'amusant.
Pourquoi les surfeurs sont souvent très musclés ? Le surfeur passe en moyenne 85% de sa session à ramer pour passer la barre et remonter au line up. La rame permet de muscler les bras, le haut du corps et le buste ainsi que le mouvement de pompe qui permet de se relever sur sa planche.
Plus l'angle d'une épaule est « raide », c'est-à-dire qu'elle descend vers le bas drastiquement, plus la vague va dérouler lentement. Plus l'épaule est « droite », plus la vague se rapproche du « close-out », elle déroulera donc rapidement.
Pour faire court, un surfeur ou une surfeuse préfèrera généralement, une vague de 50 cm rapide et creuse plutôt qu'une vague de 1 m 50 molle et détériorée par le vent. Mais bon, les goûts et les couleurs… Si vous débutez, évitez les vagues de plus d'un mètre.
Nous allons prendre dans un premier temps l'exemple de Biarritz, une des villes majeures en France de surf. Tout d'abord, il faut savoir que selon la direction du vent, les vagues ne se forment pas de la même façon. Avec un vent “off shore”, les conditions sont idéales, le vent va en direction de l'océan.