L'indice de criticité est calculé par la formule : IPR = GxFxD. Cet indice nous a permis de tracer des histogrammes et diagrammes cumulatifs du risque par processus, de façon à dégager un seuil d'IPR limite pour définir les actions « prioritaires ». L'IPR seuil est fixé à 12 pour les deux processus.
On calcule la criticité : (indice de fréquence) × (indice de gravité) × (indice de détection), Si la criticité seuil est atteinte, on engage des actions correctives, Si le but poursuivi est l'amélioration, on traitera en priorité les causes des modes de défaillance présentant les plus fortes criticités.
Il est possible d'attribuer une note sur 5 pour la gravité et une autre note sur 5 pour la probabilité. La criticité sera donc une note sur 25 obtenue en multipliant la gravité par la probabilité. Il est possible de pousser l'analyse des risques en ajoutant un troisième critère, le risque de non détection.
Lifetime Reliability Solutions utilise la formule suivante pour déterminer l'impact financier d'un actif: Criticité de l'équipement = Fréquence des pannes (par an) x Conséquence des coûts ($) = Risque ($ par an). La conséquence de coût dans cette formule est le coût de la production perdue plus les coûts de réparation.
Dans le domaine de la sûreté de fonctionnement (SdF) et de la gestion de la qualité, la criticité est définie comme le produit de la probabilité d'occurrence d'un accident par la gravité de ses conséquences : criticité = probabilité × gravité.
La matrice des risques est un outil qui permet de calculer le niveau de criticité des risques. Elle donne immédiatement une vue d'ensemble sur le degré de criticité des risques, et permet de les catégoriser, afin de mieux les gérer et identifier ceux sur lesquels il faut agir en priorité.
Un risque se caractérise selon deux paramètres : Sa gravité : l'ampleur des dommages potentiels. Sa probabilité d'occurrence : « à quel point il est probable de subir le dommage »
Inspection fondée sur la criticité ; Matrice d'Eisenhower.
Les risques sont classés en 5 grandes familles : les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Le principe de la méthode AMDEC consiste à recenser toutes les causes potentielles de chaque mode de défaillance. Ensuite, il est nécessaire d'évaluer la criticité des mode de défaillance.
On distingue usuellement trois types d'AMDEC : l'AMDEC produit, l'AMDEC Moyens et enfin l'AMDEC Process.
Parmi d'autres risques, on peut trouver : les risques environnementaux, y compris les catastrophes naturelles. la gestion des risques des employés, telle que la conservation d'un nombre suffisant de membres du personnel et de remplaçants, la sécurité des employés et des compétences à jour.
définir les critères d'analyse. identifier les dangers. analyser les risques. évaluer l'acceptabilité des risques.
Comment remplir la matrice RACI ? il s'agit de définir toutes les tâches, actions ou activités du processus ou projet qui seront listées verticalement dans la grille. Ensuite, horizontalement, apparaissent toutes les entités ou personnes directement nommées, qui interviennent.
Comment réaliser une matrice RACI ? La création d'un RACI nécessite l'élaboration d'un tableau à double entrée avec, en ligne, les livrables, les activités, les actions, les tâches, les jalons, etc. Quant aux intervenants, ils doivent être placés en colonne.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Qu'est-ce qu'un risque majeur ? Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).