Il existe deux méthodes principales pour caler une image : soit en entrant directement les coordonnées des points de référence (connues à l'aide des croisillons des cartes topographiques ou de relevés GPS), soit en s'appuyant sur un fichier graphique déjà géoréférencé.
Il est possible pour optimiser le calage, d'effectuer une préparation "minimale" en travaillant avec 2 vues Microstation. La 1ère zoomant sur le folio et la seconde pointant vers la zone des points topographiques issus du levé GPS. Dans ce contexte on voit dans 2 vues distinctes le point à caler et sa destination.
Le calage fin avec la nivelle torique. Le tachéomètre et le trépied sont bien solidaires, les branches du trépied sont stables et bien serrées, l'appareil est parfaitement à la verticale de la station et la nivelle sphérique est réglée. Il s'agit à présent de finir cette mise en station grâce à la nivelle torique.
Le nivellement se fait en déplaçant la terre du point haut vers le point bas. Selon la taille de la parcelle à niveler, plusieurs outils peuvent être nécessaires : Pour une petite surface : vous pouvez ameublir la terre à la fourche et la pioche.
Pour caler une carte ou une image scannée à partir de points connus, il faut d'abord ouvrir l'image par le menu FICHIER / OUVRIR et choisir le type de fichier IMAGE RASTER. Une première boite de dialogue s'affiche : choisir CALAGE.
Sur une carte (topographique, géologique ou autre), l'équidistance représente la différence d'altitude entre deux courbes normales successives. Cette valeur est indiquée dans la légende de la carte, mais peut être calculée très simplement. Les valeurs les plus courantes pour l'équidistance sont 10 m, 20 m ou 50 m.
Enfin, une règle de trois permet de calculer le dénivelé : dans l'exemple si 5mm représentent une élévation de 10m (la différence d'altitude entre deux courbes, c'est à dire l'équidistance), alors 1,5mm correspond à 1,5 x 10 / 5 = 3m.
On appelle « échelle » le coefficient de proportionnalité qui permet de passer des distances réelles aux distances sur le plan. Exemple : Sur une carte on peut lire échelle = 1 : 25 000 . Cela signifie que 1 cm sur la carte correspond à 25 000 cm (250 m) dans la réalité. Il s'agit d'une réduction car l'échelle < 1.
Le géoréférencement est l'un des principes fondamentaux de la cartographie assistée par ordinateur (CAO) et des systèmes d'information géographique (SIG). On dit d'une carte qu'elle est géoréférencée lorsque les données qu'elle contient comportent toutes, parmi leurs attributs, leurs coordonnées géographiques.
Une fois la carte orientée en direction du Nord, il est possible de déterminer sa position. Pour cela, il vous faut identifier dans le paysage au moins deux points représentés sur la carte. Tracer sur la carte à partir de ces points les directions correspondantes, l'intersection de ces droites définit votre position.
La procédure standard pour le géoréférencement d'une image implique la sélection de plusieurs points sur l'image, en spécifiant leurs coordonnées et en choisissant la transformation appropriée. En se basant sur les paramètres entrés et les données, le Géoréférenceur calculera les paramètres du fichier « world ».
Dans QGIS l'outil de géoréférencement est disponible dans l'onglet « raster » - « géoréférencer » (extension Géoréférenceur GDAL). Remarque : pour géoréférencer un raster, il est necessaire d'avoir une couche de référence (c'est-à-dire une couche géoréférencée correspondant plus ou moins à l'emprise de votre raster).
Commencez par rouler lâchement, puis serrez-le progressivement pour éviter les plis. Cela suffira parfois à aplanir une carte ou autre affiche X Source de recherche . Passez des élastiques autour du rouleau pour le maintenir. Les élastiques en caoutchouc seront parfaits, puisqu'ils n'abimeront pas le poster.
Les éléments communs d'une carte sont le titre, le corps de la carte, la légende, la flèche nord, la barre d'échelle, la reconnaissance et le cadre de la carte (voir Fig.
où l'aspect sphérique de notre planète a très peu d'impact sur la réalisation, on parle de plan. Tandis que si on illustre une grande étendue (Wallonie, Belgique, Europe, …) de la terre où l'aspect sphérique de cette dernière influence le dessin, on parle de carte.
- le titre donne des indications sur ce qui est représenté ; - la légende donne la signification des couleurs, des symboles ; - l'échelle indique le rapport entre les distances sur la carte et les distances dans la réalité ; - la flèche indique le Nord, elle permet d'orienter la carte.
Dans la fenêtre Contenu, cliquez avec le bouton droit sur une couche cible (le jeu de données à l'emplacement approprié) et choisissez Zoom sur la couche. Dans la fenêtre Contenu, cliquez sur la couche raster source à géoréférencer.
Le géomètre-expert travaille dans un système local afin de garantir une précision maximale mais pour assurer l'interopérabilité des données il est nécessaire de les géoréférencer.
Une colline et sa représentation sur une carte par des courbes de niveau. Sur les cartes topographiques (ex : les cartes IGN), les collines et les montagnes sont représentées par des lignes qu'on appelle courbes de niveau, elles permettent de montrer le relief sur une carte.
Un profil topographique ou une coupe topographique est une méthode de représentation du relief. Contrairement à une carte topographique, un profil topographique est un graphique affichant l'altitude en ordonnée pour tout point d'un segment choisit sur une carte.