Comment reprendre goût à la vie après une rupture ?
Outre l'accompagnement par un professionnel, il faut veiller à faire des choses qui sont bonnes pour soi. Réaménager son intérieur, faire du sport, libérer du temps pour ses passions… Ce sont des actes concrets qui permettent de retrouver qui l'on est et de reconstruire une image positive de soi.
Le cerveau peut notamment sécréter des substances analgésiques pour atténuer la douleur, comme après un accident ou une blessure. Ainsi, certains d'entre nous peuvent avoir l'impression d'être anesthésiés, incapables de réaliser ce qui leur arrive et pétrifiés pendant quelques jours, voire quelques semaines.
Cet état émotionnel intense est marqué par l'anxiété et le stress souvent accompagnés de troubles physiologiques, comme la perte d'appétit et l'insomnie. Moins la personne est soutenue, plus grande sera son stress et son anxiété.
« Des hommes vivent la honte, se sentent humiliés, floués même parfois, par exemple par rapport à la garde des enfants, remarque-t-il. Plusieurs s'isolent pour ne rien laisser paraître. Ils peuvent avoir l'air au-dessus de leurs affaires, ou ils sont arrogants et dénigrent leur ex-conjointe. »
Est-ce possible de se séparer pour mieux se retrouver ?
Il est peut-être temps de reprendre les choses en main, et d'accepter de mettre un terme à votre histoire, de prendre LA décision salutaire pour votre bien à tous les deux. Se quitter pour mieux se retrouver plus tard, c'est tout à fait possible !
Si vous avez rompu mais que votre ex peine à tourner la page, le bloquer des réseaux sociaux permet d'éviter qu'il/elle ne continue de vous envoyer des messages. Cela va vous permettre à tous les deux d'avancer sans faire durer la rupture et retourner le couteau dans la plaie.
Est-il possible de tomber amoureux après une rupture ?
Heureusement, ils sont aussi 50% à retrouver quelqu'un moins de deux ans après la rupture. Plutôt rassurants, les derniers chiffres de l'INSEE montrent qu'après une rupture, la plupart des Français retombent amoureux vite.
Il s'agit d'un paralysie transitoire d'une grosse partie du cœur due à une action directe des hormones du stress sur les récepteurs du muscle cardiaque (Nef & al, 2010), associé dans 2% des cas à un spasme des grosses artères du cœur et de la microcirculation (Bybee et al. 2004).