développer l'agroforesterie, les haies, les arbres, les bosquets. faire des économies d'énergies et de transport dans l'exploitation. produire des énergies renouvelables. privilégier l'autonomie protéique et réduire les apports protéiques dans les rations animales.
investir dans les infrastructures rurales, notamment des routes et chemins de fer, des sites de stockage et de traitement, des marchés, des systèmes de communication et des réseaux d'approvisionnement fiables pour les agriculteurs.
L'utilisation des techniques culturales les plus performantes, comme par exemple l'irrigation par goutte à goutte, permet de réduire les volumes d'eau utilisés. L'application d'intrants conformément aux prescriptions et à la réglementation permet de diminuer les risques de pollution des milieux.
L'agriculture de demain, en ville. Un autre type d'agriculture se développe aujourd'hui : l'agriculture urbaine (expliquée ici par le CEREMA). Il s'agit de la production de légumes, de fruits et autres aliments en ville.
L'agriculture de demain sera sans doute plus intensive mais captera de plus en plus de carbone. C'est un paradoxe qu'on appelle l'agriculture intensive écologique. Cela est possible grâce au numérique qui permet d'utiliser des données et des paramètres que le bon sens paysan ne peut pas toujours appréhender.
L'agriculture est la principale source de revenu de 80 % de la population pauvre dans le monde. Ce secteur joue donc un rôle déterminant dans la réduction de la pauvreté, la hausse des revenus et l'amélioration de la sécurité alimentaire.
Ses effets négatifs sont graves et se incluent notamment la pollution et la dégradation des sols, de l'eau et de l'air, mais elle a aussi des effets positifs : les cultures et les sols absorbent les gaz à effet de serre, par exemple, et certaines pratiques agricoles atténuent les risques d'inondation.
L'agriculture est une activité clé dans les zones rurales où elle joue un rôle primordial dans la cohésion du territoire : production de biens alimentaires et non alimentaires, création d'emplois localisés, gestion de ressources naturelles et de la biodiversité…
Principes de l'agriculture durable
L'agriculture durable est basée sur les trois piliers du développement durable : écologique, social et économique. Une agriculture durable doit nourrir la population et développer l'économie tout en limitant son impact sur l'environnement afin d'être pérenne.
L'épuisement prématuré des réserves au niveau des ménages et la baisse de la demande de la main-d'œuvre, principale source de revenu des pauvres, en sont les causes immédiates.
1- Les conditions du développement de l'agriculture
La politique de l'État en faveur du secteur agricole s'est aussi traduite par la promotion, la diversification et la régionalisation des productions agricoles.
Comme indiqué ci-dessus, la modernisation de l'agriculture inclut à la fois l'introduction de nouveaux intrants — tels que les engrais et les pesticides, de nouvelles semences et souvent le développement du machinisme agricole — et la promotion du progrès technique fondé sur les nouvelles connaissances scientifiques.
L'utilisation de produits chimiques polluent les cours et plans d'eau. Les agriculteurs sont obligés d'utiliser de l'eau polluée. L'agriculture intensive ne produit pas assez pour nourrir les populations. L'agriculture intensive n'est pas assez développée.
l'agriculture Gaïa ; la permaculture (ou agriculture permanente) ; l'agro-écologie.
Le secteur de l'agriculture contribue à l'émission de gaz à effet de serre (GES) dans l'atmosphère, entre autres par la gestion des sols agricoles, la fermentation entérique et la gestion des fumiers.
Une fois sédentarisé, l'homme du Néolithique invente l'agriculture. Il crée ainsi les premiers potagers. C'est une véritable révolution, car de chasseur-cueilleur, il devient paysan et produit sa propre alimentation. Dans son jardin, il fait pousser des céréales, comme l'orge, le blé ou le millet.
Agriculture moderne non intensive ou partiellement intensive
En fait la production de l'herbe y est intensive (fertilisation et irrigation). Dans ce système herbager la maîtrise très poussée de la traite mécanique des grands troupeaux contribue à une productivité poussée par unité de main d'œuvre.
La production agricole et l'élevage apparaissent d'abord dans le « croissant fertile » au Moyen-Orient (8500 av. JC), mais aussi de manière autonome en Chine (7500 av. JC) et en Amérique du Nord et du Sud (3500 à 2500 av.
L'agriculture bio et locale pourra nourrir l'Europe en 2050, selon une étude scientifique. L'Europe pourra nourrir sa population par l'agriculture biologique et locale en 2050, selon une étude scientifique. Il faudra pour cela consommer moins de produits carnés et mieux agencer culture et élevage.
Ce mode de production respectueux de l'environnement contribue à la préservation de la qualité de l'eau, au maintien de la fertilité des sols, au développement de la biodiversité, autant d'enjeux majeurs pour l'agriculture d'aujourd'hui.
L'agriculture biologique offre plusieurs options pour documenter les transitions technologiques vers de nouveaux modèles de production, même si elle présente des aspects controversés : faiblesse des rendements, accessibilité aux normes, valeurs des écobilans ou accroissement du travail.