Le grossissement exprime l'agrandissement des sujets : plus il est important, plus on pourra observer les oiseaux de loin. Les jumelles grossissant 8x et 10x sont les plus recommandés pour l'ornithologie car elles sont à la fois assez lumineuses et pas trop lourdes.
L'utilisation que vous allez faire de la lunette déterminera la taille et la performance nécessaire. L'observation à courte distance et dans un milieu bien éclairé permettra l'utilisation d'une lunette de petit diamètre, une 15-45×65 suffira amplement aux besoins.
Luminosité ou le diamètre de la pupille de sortie
Le diamètre de la pupille de sortie se calcule en divisant le diamètre de l'objectif par le grossissement. Exemple: longue-vue 40 x 60, pupille de sortie : 60 / 40 = 1.5 mm, soit tout juste suffisant pour une observation en plein jour.
Différence entre longue vue et téléscope
Lorsque vous regardez à travers un télescope, l'image est inversée. La longue vue, comme les jumelles, ont des prismes qui retournent l'image avant qu'elle n'atteigne votre œil, de sorte que le haut est de haut et le bas en bas.
Des jumelles à large objectif sont aussi plus lourdes et encombrantes. Si vous recherchez des jumelles particulièrement puissantes et lumineuses nous vous conseillons de vous tourner vers un diamètre d'objectif entre 50 et 110 mm.
Jumelles Bushnell 150142 10×42 H2O
Vous avez là ce qui se fait de mieux pour ce genre de modèle. Elles sont petites, puissantes et polyvalentes. Cela vous permet de les emmener partout avec vous sans vous sentir gêner par leur poids. De plus, elles sont très résistantes à la buée comme à l'humidité.
Pour le choix nous préférerons une longue-vue de grossissement allant de 30 à 80 avec un diamètre d'objectif variant entre 85 mm et 95 mm. Elle doit aussi être lumineuse et robuste ainsi qu'étanche.
La digiscopie (digiscoping en Anglais) est l'art de prendre des photos avec un appareil numérique (DIGItal) au travers d'une longue-vue (spotting SCOPe). Par rapport à un appareil photo doté d'un super téléobjectif, la digiscopie offre l'avantage de grossissements encore plus forts, avec un matériel moins onéreux.
En clair, vos jumelles n'ont pas de limites dans l'observation. Une paire de jumelles permet en effet d'observer des objets à distance grâce à ses deux lunettes montées en parallèle.
Pour l'ornithologie et observer la nature en général, les jumelles de format 10x42 sont idéales. Le facteur de grossissement 10x est favorable pour les oiseaux, sujets de petite taille et qui ne se laissent pas approcher.
Les jumelles Fujinon 40×150 ED SX sont les plus puissantes au monde : grossissement par 40, objectif de 150 mm de diamètre, 18 kilos.
La Gosky : la meilleure jumelle monoculaire
Cette jumelle monoculaire Gosky permet un grossissement jusqu'à 12×55. Le diamètre de son objectif est quant à lui de 55 mm. Pour une luminosité optimale et pour un contraste d'image appréciable, elle est équipée d'un verre prismatique BAK4.
Jusqu'à une distance de 100m, une longue-vue de 60-65mm de diamètre avec un zoom de type 16-48 sera suffisante et offrira l'avantage de la compacité et d'un prix plus abordable. Au-delà, la longue-vue devra avoir un diamètre d'objectif de l'ordre de 80mm et sera équipée d'un zoom de type 20-60.
D'ailleurs, sachez que selon nous, Nikon est la meilleure marque de jumelles et les jumelles Nikon 10×25 Sportstar EX sont les plus performantes. Des jumelles très design : Ce modèle est très design, on peut même dire qu'il est prestigieux.
Le grossissement d'une paire de jumelles oscille bien souvent entre 7x et 10x. Un grossissement 100x est un grossissement extrêmement puissant qui n'est utilisé que pour des cas très précis. Un grossissement 100x sera bien souvent utilisé pour un usage professionnel.
Contrairement à d'autres types de radars, les radars jumelles ne sont pas équipés d'un flash. La mesure de la vitesse se fait à l'aide d'un rayon laser. De plus, ces appareils ne prennent pas de photo lorsqu'un excès de vitesse est constaté.
Les 12x ou plus : les modèles ultra-grossissants
Le grossissement est optimal, il présente l'avantage d'un fort rapprochement tout en alliant la mobilité d'un matériel optique compact.
L'observation de la Voie lactée et de beaucoup d'objets du ciel profond (amas d'étoiles, nébuleuses, galaxies) se fait à faible grossissement (par exemple 40 à 50 fois) pour garder une bonne luminosité et l'agrément d'un grand champ de vision.
Quand il y a trois miroirs, on retrouve l'effet d'inversion. C'est pourquoi les télescopes, qui incluent en général deux miroirs, réalisent un retournement à 180° exactement comme un sténopé ou une lunette utilisée sans renvoi coudé : il n'y pas d'effet “miroir”.
Un télescope de 200 mm donnera, sous un ciel sombre et calme, de magnifiques images des faibles amas d'étoiles, nébuleuses ou galaxies lointaines.