L'introduction constitue la première partie d'une plaidoirie. Premièrement, vous devez rappeler les faits en les résumant. Cela signifie que vous devez écarter les actions superflues et inutiles. Deuxièmement, vous devez soulever les problèmes de droit.
C'est l'avocat de la partie demanderesse qui présente en premier ses demandes et ses arguments, puis c'est au tour de l'avocat de la partie défenderesse de répliquer.
Introduire une plaidoirie, c'est placer un exorde (section 1), saluer les juges (section 2) et se présenter personnellement (section 3) et enfin, narrer les faits qui ont conduit à la saisine du tribunal ou de la cour. Section 1 : l'exorde. C'est la première phrase du plaideur qui doit captiver l'attention de tous.
1) L'introduction : présente le thème et la thèse en quelques phrases. 2) Des paragraphes : pour développer un argument et son exemple. 3) La conclusion : qui reprend brièvement les arguments qui ont été avancés dans l'argumentation pour finir le texte. ➢ Pour donner mon avis personnel j'utilise la modalisation.
Le dossier de plaidoirie doit comprendre l'ensemble des pièces visées dans l'assignation ou les conclusions et énumérées dans le bordereau de pièces communiquées, l'ensemble des actes de procédures (assignation, conclusions, précédentes décisions rendues dans la même affaire ...) et, le cas échéant, copie de la ...
Née avec la démocratie et ayant toujours perduré depuis lors, la plaidoirie sert à obtenir la persuasion du juge, l'enseigner, lui plaire, l'émouvoir grâce à des arguments de droit et de fait, de valeur, de comportement ou encore d'émotion.
Pour être efficace et avoir un impact conséquent, le plaidoyer nécessite donc d'adapter les orientations stratégiques aux opportunités et au contexte. La planification et la mise en œuvre du plaidoyer s'exercent alors parallèlement. Chaque action permet d'ajuster les objectifs et les stratégies de l'étape suivante.
Un objectif de plaidoyer est une cible à court terme (un ou deux ans) qui contribue à la réalisation du but à long terme. Un bon objectif est spécifique, mesurable, réaliste et délimité dans le temps.
Les conclusions doivent formuler expressément les prétentions des parties et les moyens de fait et de droit sur lesquels chacune de ces prétentions est fondée avec indication pour chaque prétention des pièces invoquées et de leur numérotation. Un bordereau récapitulatif des pièces est annexé.
Au sein de ce paragraphe, la conclusion doit toujours comporter trois parties : la première est une phrase d'introduction, la seconde reprend les arguments exposés au cours de la rédaction du document, et la dernière consiste en une ouverture pour élargir la réflexion.
L'avocat du demandeur plaide en premier, suivi de l'avocat du défendeur. Dans certaines affaires civiles, le ministère public intervient après l'avocat du défendeur. C'est le cas lorsque la loi le prévoit ou pour la défense de l'ordre public. Les audiences sont en principe publiques.
En fait et selon la coutume judiciaire congolaise, la note de plaidoirie est la partie de l'intervention d'un avocat par laquelle sont exposées, par écrit, les prétentions de son client développées en fait et en droit et qui sont destinés à emporter la conviction de la juridiction appelée à statuer dans la cause.
Vous pouvez vous présenter en personne à l'audience, éventuellement assisté par un avocat. Si vous êtes absent, vous pouvez vous faire représenter par un avocat.
Un plaidoyer est un ensemble d'outils : des campagnes de communication, des RDV avec des décideurs, des actions de terrains, des études…etc. A ce stade-là, il faut donc faire la conception des outils avec lesquels ont compte atteindre notre objectif. Le plan d'action, c'est notre calendrier de travail.
– Littéraire : dithyrambe. Contraire : accusation, réquisitoire.
Plaidoirie = discours d'un avocat pour défendre son client. Plaidoyer = plaidoirie, mais aussi discours en faveur d'une cause, d'une thèse, d'un système. Un vibrant plaidoyer en faveur de la paix internationale.
Selon la Cour, le principe de "l'égalité des armes" et, plus généralement, le principe d'un procès équitable militent en faveur d'une argumentation librement et même vigoureusement débattue entre les parties, sans pour autant que cela conduise à une liberté d'expression illimitée de l'avocat.
Nom commun. (Droit) Action de plaider ; discours de l'avocat qui plaide.