Le but de votre introduction est d'accrocher tout de suite le lecteur pour en venir directement et logiquement à l'idée centrale que vous voulez défendre (votre thèse). Partir d'un exemple, d'une anecdote, d'un chiffre, d'un fait d'actualité, d'un fait historique… Formuler en une phrase-choc votre thèse.
1) L'introduction : présente le thème et la thèse en quelques phrases. 2) Des paragraphes : pour développer un argument et son exemple. 3) La conclusion : qui reprend brièvement les arguments qui ont été avancés dans l'argumentation pour finir le texte.
introduire le dialogue par un verbe introducteur de parole suivi de deux points ; ouvrir le dialogue par des guillemets ; aller à la ligne chaque fois qu'un personnage différent prend la parole et placer un tiret devant ; fermer le dialogue par des guillemets après la dernière parole rapportée.
1. Une introduction : elle consiste en quelques phrases dans lesquelles vous commencez par donner le contexte du sujet puis vous l'introduisez, la plupart du temps sous la forme interrogative. 2. Vous rédigez ensuite le développement en suivant un plan qui montre que vous savez classer vos idées.
Voici quelques mots qui peuvent m'aider : Pour introduire le premier argument : Tout d'abord - En premier lieu - Pour commencer... Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps...
Il faut rechercher la thèse que l'on souhaite défendre, c'est-à-dire l'idée générale de l'argumentaire. Cette thèse devra être démontrée par plusieurs arguments. Enfin, ces arguments devront être illustrés par des exemples concrets, comme des citations de texte ou des situations réelles.
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement, mais encore ... Permet d'ajouter un argument ou un exemple aux précédents. de même, de la même manière, ainsi que, comme ...
Pour construire un argument commencez avec une affirmation qui soutien un point de vue contre votre thèse principale. Ceci est votre contre-argument. Donnez une réplique à ce contre-argument. Pour conclure, donnez une affirmation qui prend en compte le contre-argument et votre replique.
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique.
Le discours direct effectué à l'aide des deux-points et des guillemets. On peut aussi isoler des paroles rapportées directement à l'aide de guillemets (« »). On introduit généralement cette forme de discours direct par un verbe de parole (dire, répondre, parler, etc.).
« Qu'est-ce qui vous amène dans notre boutique aujourd'hui ? » et « Comment puis-je vous aider ? » sont deux exemples de questions ouvertes qui fonctionnent très bien pour poursuivre la conversation. Les questions ouvertes inciteront le client à discuter avec vous contrairement aux questions fermées.
Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Pour être irréfutable, un bon argument sera fondé sur des faits indiscutables, des cas concrets, des expériences précises, des données chiffrées. Et surtout, tel un lapin, il ne sortira pas du chapeau. Pas de tour de prestidigitation, rien que du rationnel conduisant votre interlocuteur à la conclusion souhaitée !
* ETAYER : Pour rédiger un paragraphe argumentatif, il faut : - Rappeler la thèse de l'auteur (uniquement pour le premier paragraphe) -Exposer l'argument, -L'expliquer, -Donner une illustration, - Conclure par une phrase.
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
la cause : car, en effet, parce que… ; la conséquence : donc, c'est pourquoi, aussi (+ sujet inversé), si bien que… ; l'opposition : mais, or, pourtant, toutefois, en revanche, bien que… ; l'addition : et, de plus, d'abord, puis, ensuite…
Introduire une idée ou une information nouvelle et de même que, sans compter que, ainsi que ensuite, voire, d'ailleurs, encore, de plus, quant à, non seulement… mais encore, de surcroît, en outre... bien que, quoique, tandis que, alors que, même si...
Par exemple, les connecteurs de liste, “premièrement, deuxièmement, ensuite, quatrièmement, et finalement” peuvent servir à énumérer aussi bien les points de l'ordre du jour qu'une succession d'arguments. L'effet de liste peut être lui-même argumentatif.
Nous pouvons donc dire que lorsqu'une opinion repose sur des prémisses, elle devient la conclusion d'un argument. « Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument.
Si vous voulez faire admettre à votre interlocuteur quelque chose d'inadmissible pour lui, vous avez tout intérêt à vous justifier par un discours d'une logique parfaite et d'une argumentation inattaquable. Pensez à recourir à un ton neutre et de vous en tenir le plus possible aux faits.
Utilisez l'émotion. Les appels émotionnels peuvent être très efficaces pour convaincre quelqu'un de quelque chose. Essayez d'utiliser des histoires ou des analogies pour tirer sur la corde sensible de votre public et lui faire voir les choses de votre point de vue.