Il vous faudra inventer une société plutôt futuriste, en opposition avec toute utopie puisque son fonctionnement doit réprimer les libertés. Pour donner vie à votre monde, il vous faudra passer par les technologies et/ou la science. Si vous recourez à la magie, alors votre récit s'ancrera plutôt dans la fantasy.
Histoire. La première utilisation du terme dystopia est attribuée à John Stuart Mill, dans un discours de 1868 au parlement britannique. Dans la dystopie, le projet utopique est présenté comme réalisé : les bonnes lois sont appliquées et tout le monde est donc censé être heureux.
La dystopie, ou contre-utopie, est le contraire de l'utopie. Elles ont en commun la volonté de révéler les défauts de la société. La dystopie présente une vision cauchemardesque du monde afin de montrer dans quel chaos nous pourrions être plongés.
Roman d'anticipation par excellence, la dystopie dépeint, sous forme narrative, les dangers d'une idéologie. En s'opposant clairement à l'utopie, elle met en garde contre des idéaux dont les conséquences pourraient être catastrophiques, notamment pour les libertés humaines.
La dystopie est un genre littéraire très dynamique qui éveille la créativité de nombreux auteurs, à l'image de la BD V pour Vendetta de Alan Moore et David Lloyd, du roman La Servante écarlate de Margaret Atwood, la série de livres Hunger Games de Suzanne Collins, ou 2084 de Boualem Sansal.
C'est ce qui fait de Star Wars une dystopie à part entière selon moi. On y retrouve les ingrédients qui permettent une défaillance de la démocratie à savoir la peur, le terrorisme et l'insécurité.
« La dystopie a un effet cathartique, elle nous aide à nous poser des questions sur le monde qui nous entoure ». Nous nous délectons de ces scénarios catastrophes, car ils nous mettent en face de nos angoisses. Ils nous fascinent autant qu'ils inquiètent.
Il vous faudra inventer une société plutôt futuriste, en opposition avec toute utopie puisque son fonctionnement doit réprimer les libertés. Pour donner vie à votre monde, il vous faudra passer par les technologies et/ou la science. Si vous recourez à la magie, alors votre récit s'ancrera plutôt dans la fantasy.
Une dystopie, qu'est ce que c'est ? Petite définition wiki : « Une dystopie, également appelée contre-utopie, est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur.
Hunger Games est qualifié de récit de science-fiction, car son action se situe longtemps après le XXI° siecle, et que certaines avancées technologiques sont constatables. Plus précisément, on le qualifie de dystopie, car, en opposition avec l'utopie, la société décrite est dans la pire situation possible.
Ce petit roman décrit de manière admirable comment une utopie peut se transformer en dystopie. En effet les animaux en se libérant de l'homme veulent construire un monde meilleur où les animaux sont libres mais on se rend vite compte qu'ils se retrouvent dans un monde pire que celui qu'ils ont quitté.
Dystopie et science-fiction
L'utopie du Meilleur des mondes anéantit l'individu, sauf à avoir pour idéal de ne plus penser par soi-même et d'avoir pour but la vie sous soma. John le sauvage en est le héros tragique. C'est ainsi que le roman de Huxley est qualifié de contre-utopie ou dystopie.
1984 décrit une société dystopique, c'est l'opposé de l'utopie, qui est une société dans laquelle tout va pour le mieux, où il n'y a aucun problème. La définition de dystopie donnée par Google est « récit de fiction qui décrit un monde utopique sombre ».
(1) Contre-utopie versus (2) anti-utopie.
Ce genre littéraire s'oppose à l'utopie : il met en avant une société imaginaire basée sur les craintes humaines. Les romans appartenant à ce genre sont souvent des anticipations mettant en exergue des événements apportant le malheur suite à un projet politique précis.
Fahrenheit 451 comme une dystopie
La société est obsédée par les médias, la télévision et la radio. Il a censuré la pensée et la connaissance par l'interdiction des livres. Le gouvernement a modifié la constitution, principalement pour supprimer les droits du peuple. Les choix sont retirés.
Le Meilleur des mondes est un roman de science-fiction devenu aujourd'hui un grand classique. Ecrit en 1932, par Aldous Huxley, il aborde les thèmes de la dictature, du clonage, de la taylorisation, de l'aseptisation de notre société...
Une dystopie, également appelée contre-utopie, est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. Une dystopie peut également être considérée comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie.
Au contraire de l'utopie, la dystopie fait le récit d'une société imaginaire difficile ou impossible à vivre, pleine de défauts, et dont le modèle ne doit pas être imité. Exemple : Le livre "1984" de G. Orwell est un exemple de dystopie.
était vecteur de progrès humain. Aujourd'hui, alors que le progrès technologique s'est très fortement accéléré, on n'y perçoit pas toujours la finalité humaine. C'est ce que l'on appelle “la singularité technologique” : ce moment de l'avancée technologique qui fait basculer soit dans l'utopie, soit dans la dystopie. »
Pour le petit point explication, une dystopie est un récit de fiction dépeignant une société imaginaire organisée, la très grande majorité du temps, autour d'un pouvoir totalitaire, et dont il est impossible de s'échapper sans prise de conscience et action.
Dans la science fiction, les événements peuvent s'expliquer ou se justifier par la science et la raison. Ils s'avèrent possible. Dans le fantastique, le mystère règne en maître et la science n'est d'aucun secours. Exemples d'éléments SF : soucoupe volante, voyage dans le temps, robots, cyborgs etc.
Au contraire, la saga de George Lucas aurait plutôt tendance à regarder vers un passé lointain, très lointain. "Star Wars, c'est de la science-fiction parce que ça se passe dans l'espace, dans le futur et parce qu'il y a des vaisseaux spatiaux".
Angsoc. L'Angsoc, régime de l'Océania, divise le peuple en trois classes sociales : le Parti intérieur, classe dirigeante au pouvoir partagé, le Parti extérieur, travailleurs moyens, et les « prolétaires », sous-classe s'entassant dans les quartiers sales.
George Orwell décrit une société totalitaire à l'extrême basée sur l'ignorance, une société où la violence et le mensonge prévalent, où ce que l'on croit est plus important que la vérité. Dans un tel contexte, il est impossible de connaître l'histoire ni même de savoir quelle est la réalité.