Lorsque vous prenez le volant dans la nuit, vous devez évidemment allumer vos feux. Les feux de croisement : Ils éclairent à 30 mètres minimum. Vous devez les utiliser si vous roulez sur une route éclairée ou que vous suivez ou croisez un autre usager sur une route non-éclairée, afin de ne pas l'éblouir.
La rétine, membrane sensible à la lumière qui tapisse l'intérieur du globe oculaire, a des cellules qui servent spécifiquement à voir la nuit : les bâtonnets. C'est quand la rétine est abîmée, ou les bâtonnets moins efficaces, que l'on peut observer une baisse de l'acuité visuelle nocturne.
2- Diminuez la luminosité de votre tableau de bord
La diminution de la luminosité de ces lumières peut supprimer plusieurs reflets sur le pare-brise et permettre à vos yeux de mieux s'adapter à l'obscurité, améliorant ainsi la visibilité nocturne.
La nuit, les risques d'accident sont multipliés
Dans votre véhicule, vos perceptions visuelles sont atténuées, ainsi que le champ visuel et le sens du relief. Redoublez de prudence et adaptez votre conduite.
Adaptez-vous à la faible visibilité
Les phares éclairent au mieux à 200m et les feux de croisement à 50m. A 130Km/h, tout obstacle sera forcément vu au dernier moment. Vérifiez le fonctionnement et la propreté de vos phares et de feux de croisement. En cas d'accident, allumez vos feux de détresse.
De bonnes lunettes pour conduire la nuit s'attachent avant tout à réduire le risque d'éblouissement. La priorité est donc aux lunettes antireflets, parfois appelées lunettes anti-éblouissements. Ces verres polarisés possèdent une filtration spécifique qui permettent d'atténuer les effets d'aveuglement.
Les lunettes de conduite de nuit sont généralement des lunettes sans ordonnance avec des verres teintés en jaune. Elles comportent différents types de revêtements antireflets pour éliminer les reflets des lampadaires et des phares qui provoquent l'éblouissement des lunettes.
Le trafic étant plus fluide et les routes dégagées, les automobilistes ont tendance à rouler plus vite la nuit.
Les cellules en forme de cône ne fonctionnant qu'en présence d'une bonne luminosité, on ne peut plus compter sur elles quand la nuit s'installe. Restent les cellules en forme de bâtonnets et c'est la raison pour laquelle dans la pénombre, tout semble plus ou moins gris.
Le stress post-traumatique : le fait d'avoir vécu un accident, ou d'y avoir assisté, peut créer un blocage pathologique envers la conduite. L'origine de la phobie est donc un événement précis. Si l'accident a eu lieu sur une voie rapide, par exemple, la peur de conduire sur autoroute peut apparaître par la suite.
Les facteurs de dégradation de la vigilance peuvent être liés à la fatigue, à la somnolence, à la consommation de psychotropes (alcool, stupéfiants ou/et médicaments), mais aussi au caractère parfois répétitif ou monotone de la conduite (le conducteur est passé en mode mental de « pilotage automatique »), …
Manque de confiance en soi
En effet, si vous manquez de confiance en vous en temps normal, ce phénomène peut être amplifié au volant, situation à lourdes responsabilités. Ce manque de confiance peut donc se manifester en particulier par la peur de conduire seul. Bien sûr, ce n'est pas une généralité.
Évitez de partir après une journée de travail, optez plutôt pour un départ matinal. Sachez que vous partez pour de longues heures de route, pensez à mettre une tenue dans laquelle vous vous sentez à l'aise pour conduire. En chemin, faites une pause dès que le besoin s'en fait ressentir, ne luttez pas contre le sommeil.
Les verres jaunes vont vous aider à optimiser votre vue tout en l'affinant. En effet, les lunettes équipées de ce genre de technologie vous permettent de visualiser plus facilement les contrastes tout en vous offrant une sensation de profondeur accrue très appréciable.
Elle est liée à un problème au niveau des muscles qui contrôlent l'œil ou des nerfs qui stimulent les muscles. La vision double peut toucher un œil, on parle alors de diplopie monoculaire, ou les deux : il s'agit dans ce cas d'une diplopie binoculaire.
Les aliments riches en lutéine, en zéaxanthine et en vitamine C, comme les poivrons orange, aident à garder une bonne vue. Le kiwi, qui est la plus grande source de vitamine C, est le meilleur fruit pour les yeux.
Et c'est la faute de la rétine. En effet, le passage d'un éclairage fort à une luminosité faible nécessite normalement une adaptation de la rétine. Mais chez les personnes concernées, la rétine ne s'adapte pas aux faibles intensités lumineuses.
Lorsqu'il conduit de nuit, l'usager doit toujours allumer ses feux de croisement. Sur une chaussée où il circule seul, il peut privilégier les feux de route. Il doit cependant remettre ses feux de croisement lorsqu'il croise un autre véhicule ou qu'il en suit un, car les feux de route sont très éblouissants.
Durant cet interlude, il faudra qu'il se relaxe les jambes en effectuant des étirements, voire une petite marche de quelques minutes à allure tranquille. Dans les cas où le départ a nécessité d'écourter la durée d'une bonne nuit de sommeil, il faudra tout simplement augmenter la fréquence des pauses.
Son éclairage coûte cher, consomme beaucoup d'énergie et occasionne de la pollution lumineuse. Pour réduire les coûts, économiser de l'énergie et limiter la pollution lumineuse, à certains endroits, les autoroutes ne sont plus éclairées toute la nuit.
En 2021, les hommes représentent 78 % des morts sur la route. Et 82 % des personnes impliquées dans des accidents mortels sont des hommes. Il faut savoir que la route est la première cause de mortalité chez les 15-24 ans : ils représentent environ 20 % des décès dans cette tranche d'âge.
Les causes humaines les plus fréquentes : l'alcoolémie et la vitesse sont présentes respectivement dans 31% et 25% des accidents mortels, la fatigue ou la somnolence sont en cause dans près de 8% des accidents mortels. La distraction est aussi un facteur humain d'accident de la route.