Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ».
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
de telle sorte que, de telle manière que, au point que, si bien que sont suivies de l'indicatif. si ...que, tant...que, tellement... que sont suivies de l'indicatif ou du conditionnel. de façon que, sans que, trop(assez)... pour que sont suivies du subjonctif.
Bien qu' il aille à l'école régulièrement, il est faible en mathématiques. Bien qu' il fasse très beau, on n'a pas envie de sortir. Vos deux phrases sont correctes.
Mode verbal après si. Bien que le verbe ne puisse être employé au conditionnel lorsque si exprime une condition, tant le conditionnel que le futur sont admis dans le cas où si véhicule une idée de concession. Le conditionnel est aussi correct lorsque si introduit une interrogation indirecte.
On doit éviter d'employer de façon interchangeable les locutions bien que et même si. La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Conjonction de subordination introduisant une concession.
Si "si bien que"indique une conséquence; il sera suivi d'un verbe à l'indicatif: c'est le cas dans ton exemple: il fait très froid,( cela a pour conséquence que)si bien que les élèves ne vont pas à l'école.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses.
Le subjonctif s'emploie avec la conjonction de subordination « que » et ses variantes. Le cas de base d'utilisation du subjonctif est dans la structure de phrase suivante : sujet + verbe introducteur + que + sujet + verbe au subjonctif.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas. Exemple : Normalement, je devrais obtenir une bonne note à cet examen de mathématiques, bien que je ne sois pas sûr d'avoir tous les points au dernier exercice.
Le subjonctif imparfait est formé à partir du radical du passé simple de l'indicatif et des terminaisons en : -sse, -sses, -^t, -sions, -siez, -sent. Ex. : Que je parlasse, que tu rendisses, qu'il envoyât, que nous fussions, que vous vinssiez, qu'ils eussent.
Les terminaisons du subjonctif présent
Au présent du subjonctif, tous les verbes (sauf avoir et être) ont les mêmes terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Repérer la conjonction de subordination
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
Nonobstant signifie "malgré, sans égard à, sans se laisser freiner par, sans être empêché par quoi que ce soit". Exemple : Nonobstant les conseils de mes professeurs, je vais arrêter mes études. [Juridique] En dépit de, malgré.
Il faut écrire : Nous sommes bien sûr ravis qu'il rejoigne l'équipe. « Bien sûr » s'écrit toujours en deux mots. Phrase correcte.
« bien sûr » est une locution adverbiale invariable composée de deux mots, l'adverbe « bien » et l'adjectif qualificatif « sûr », qui ne sont pas soudés et ne prennent pas de trait d'union. « bien sûr » exprime la certitude ou l'évidence.
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent. Par exemple, pour le verbe aimer : que j'aime, que tu aimes, qu'il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu'ils/elles/eux aiment.
Ces deux modes sont un peu différents même si parfois ils sont utilisés dans la même phrase. Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller. Je veux que vous écoutiez.