L'imparfait du subjonctif se forme à partir de la troisième personne du singulier du passé simple. On ajoute ensuite les terminaisons qui sont toujours les mêmes aux trois groupes : -sse, -sses, -^t (attention de ne pas oublier l'accent circonflexe), -ssions, -ssiez, -ssent.
On emploie le subjonctif imparfait dans une subordonnée introduite par un verbe au passé ou au conditionnel. Par contre, si la subordonnée est introduite par un verbe au présent de l'indicatif, il faudra employer le subjonctif présent.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent. Certains verbes du 3e groupe se conjuguent sur deux radicaux.
1-le subjonctif passé est formé de :auxiliaire être ou avoir au subjonctif présent + le participe passé du verbe. exemple:il faut que vous ayez fini avant 5 heures. 2-le subjonctif passé sert à marquer l'antériorité de l'action. exemple:bien qu'il ait atteint l'âge de la retraite il continue à travailler.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Le plus-que-parfait du subjonctif est formé à partir des auxiliaires avoir et être conjugués à l'imparfait du subjonctif auxquels on ajoute le participe passé. L'usage du plus-que-parfait du subjonctif est limité à la troisième personne du singulier et se retrouve surtout en littérature.
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes. Je crains qu'il ne comprenne pas.
Pour conjuguer un verbe à l'imparfait, on utilise les terminaisons : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez et -aient. À l'imparfait, le radical d'avoir est av- (j'avais) ; celui d'être est ét- (j'étais).
L'imparfait s'utilise pour exprimer : un événement qui s'est répété suffisamment de fois dans le passé pour qu'on considère qu'il s'agit d'une habitude : le midi, il mangeait dans le parc. un moment ou pause dans une narration, par exemple, pour décrire des protagonistes ou un paysage.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Le mode subjonctif permet d'indiquer une action envisagée ou hypothétique, un doute ou un souhait. Il s'agit du mode de l'irréel. Il s'utilise avec des verbes exprimant l'envie, le souhait, le doute, les émotions et l'incertitude. Il faut qu'il lise ce livre.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Règle du verbe falloir
Ce verbe est impersonnel. La forme "il faut" vient du verbe faillir.
* un verbe terminé par é est au participe passé; il est conjugué avec avoir ou être. * un verbe terminé par -ais, -ait ou -aient est conjugué à l'imparfait de l'indicatif.
Le verbe avoir est régulier. Seul être est irrégulier à l'imparfait.
-Les verbes du premier groupe en 'ier' comm : publier,plier,trier,épier,crier... prennent à l'imparfait de l'indicatif deux 'ii' à la première et la deuxième personne du pluriel . -Le premier 'i' appartient au radical du verbe et le deuxième 'i' appartient à la terminaison du verbe.
Pour former le présent du SUBJONCTIF, il suffit de prendre le RADICAL de la troisième personne du pluriel du présent de l'INDICATIF, à laquelle on rajoute les terminaisons : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Il est vrai que le subjonctif est un mode généralement utilisé dans les subordonnées introduites par que. D'ailleurs, la structure la plus courante d'une phrase avec du subjonctif est la suivante : sujet + verbe introducteur + que + sujet + verbe au subjonctif. Par exemple : Je souhaite que tu sois présent.
Après certains verbes : le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps.