Il est recommandé de les conserver dans un endroit sec et frais à environ 54 °F (12 °C). Les patates douces cuites peuvent se conserver au réfrigérateur pendant 4 ou 5 jours dans un contenant fermé. Avant de les congeler, les mettre dans un contenant hermétique, en laissant un espace de 1/2 pouce (1 cm).
Elles peuvent être faites en frites ou cuites au four et doivent être coupées avant la cuisson. Mais pour qu'elles restent fraîches longtemps lorsqu'elles sont sur le point de se gâter, il faut également les couper avant de les congeler.
Après avoir bien lavé vos patates douces, tranchez-les en deux puis quadrillez la chair. Étalez le jus de citron sur la chair pour éviter qu'elle ne s'oxyde. Badigeonnez ensuite vos patates douces avec l'huile aromatisée aux herbes.
Côté légumes : Les pommes de terre, les patates douces (et autres tubercules), l'ail, l'oignon et les courges comme le potiron, se conservent mieux dans un endroit sec, sombre et frais.
Conservation jusqu'à 5-6 mois en conditions contrôlées
Récolter avant que la température du sol ne descende sous 8-10°C (env. octobre), que le sol ne soit saturé en eau ou que les dégâts de taupins et rongeurs ne soient trop importants. Eviter les récoltes trop précoces qui impactent le calibre.
Une tubérisation liée à la longueur du jour
La patate commence à faire grossir ses tubercules généralement en août. Plus précisément, les tubercules se gonflent dès que la longueur du jour descend sous les 14h. Plus la longueur du jours descend (jusqu'à une certaine durée), plus les tubercules grossissent.
Il faudra ajouter ¼ de la hauteur de la patate douce en eau. Le tubercule est à placer dans une pièce chaude (20- 25°C) et lumineuse. Les racines et les germes commenceront à apparaître plusieurs jours après. L'eau doit être changée régulièrement avant qu'elle ne croupisse et finisse par faire pourrir le tubercule.
Gardez-les dans un endroit sombre et sec
Préférez un lieu de stockage à l'abri de la lumière et de l'humidité, comme un garage ou une cave par exemple, dans lequel la température avoisine les 12°C. Au-delà, les patates douces risquent de germer plus rapidement et donc de pourrir.
Les signes d'une patate douce non comestible sont facilement reconnaissables : chair molle, suintement, odeur désagréable, goût amer... Si vous observez un de ces signes, votre patate douce ne pourra donc plus être cuisinée.
La patate douce se plante en pleine terre, sur un sol léger, profond et frais, du début du mois d'avril jusqu'à la fin du mois de mai, dans les régions offrant des températures supérieures à 20°C. Le tubercule a besoin de soleil et de chaleur pour se développer.
On épluche la peau ou pas ? La peau de la patate douce est très fine donc vous pouvez l'éplucher ou bien vous contenter de la nettoyer dans l'eau avec une brosse. Car c'est dans sa peau que se concentre l'essentiel des fibres ! Bon à savoir : Une fois la patate douce pelée, elle noircit très vite.
Pourquoi faut-il faire tremper les patates douces ? Laisser tremper vos frites dans l'eau froide durant 10 minutes permet de retirer l'excès d'amidon. Cette technique permet de les rendre plus croustillantes.
Comment les conserver
Bien sûr, vous pouvez congeler vos patates douces : pelez-les, coupez-les en morceaux et plongez une minute dans une casserole d'eau bouillante. Égouttez-les soigneusement, puis placez-les dans un sac : vous n'avez plus qu'à les congeler ! Elles se garderont ainsi un an.
Les patates douces sont plus fragiles que les pommes de terre. Elles se conservent à l'abri de la lumière, dans un endroit aéré et frais (mais pas au réfrigérateur) entre 7 et 10 jours. Au-dessus de 16 degrés, elles risquent de germer. Au réfrigérateur, elles vont se fendre car elles sont gélives.
Crue. On peut manger la patate douce crue, mais il faut s'assurer qu'elle soit coupée finement ou râpée et mélangée à d'autres fruits ou légumes juteux, car sa chair est sèche lorsqu'elle est crue. On la cuisine avec du chou-rave, de la pomme verte, du radis et un peu d'huile et de vinaigre de riz ou balsamique blanc.
Riche en béta-carotène, à l'origine de la vitamine A, la patate douce participe à la prévention de certains cancers, elle permet une meilleure protection contre les infections, une bonne vision nocturne et un ralentissement du déclin cognitif.
Sa composition en glucides (comprenez les sucres principalement lents) est d'environ 12g pour 100g d'aliment, ce qui est nettement inférieur à la majorité des féculents (entre 20 et 30g aux 100 g) ! Eh bien oui, cet aliment est à considérer comme un féculent.
De manière générale, la patate douce se marie bien avec les légumes tels, les pommes de terre, les légumes racine (carottes, panais…), le céleri, les poireaux, les oignons, l'ail, les courges (patidou, potimarron, butternut, buttercup…), les choux de Bruxelles, les haricots…
Le signe de maturité des patates douces chair blanche est leur poids lourd. Afin de s'en assurer, il vous faut seulement les tâter. C'est ainsi que vous pourrez être sûr de les choisir assez mûres !
C'est même en septembre, plus encore en octobre, novembre, que la longueur du jour sera la plus adaptée à la croissance des tubercules. La récolte des patates douces intervient donc généralement entre mi à fin septembre et début novembre.
Pour que les patates douces se plaisent dans un potager, le défi consiste à reconstituer un milieu tropical, mais également à contenir la végétation, car une fois que la patate douce se plaît, elle prend ses aises au point parfois de donner des tiges de près de 5 m de longueur.
La patate douce est disponible toute l'année. Mais la période de consommation optimale est généralement en automne et hiver soit d'octobre à mars.
Placez les patates douces dans des récipients hermétiques.
Mettez la purée de patates douces ou les patates douces coupées en tranches dans des sacs de congélation avec fermeture à glissière ou dans des récipients en plastique. N'utilisez pas de récipients en verre ou en métal.
Rouille blanche de la patate douce, Albugo ipomoeae-panduratae ; la pourriture violette des racines (Helicobasidium mompa) ; la brûlure sclérotique et la tache circulaire (Sclerotium rolfsii) ; la pourriture noire due à Ceratocystis fimbriata, qui pénètre par les blessures des racines et des tiges.