Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Accrochez un bouquet de gui à votre porte
La tradition de suspendre du gui à la porte du foyer, promesse de fertilité, vient des Celtes. De là l'expression "que le blé germe" est devenue "au gui de l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.
Le gui peut être gardé accroché partout dans la maison toute l'année. La tradition veut que le gui protège la maison d'être brûlée ou frappée par la foudre. Le gui doit être remplacé tout les ans pendant le solstice d'hiver quand de nouveaux fruits sont arrivés.
Cette croyance a amené l'idée que s'embrasser sous du gui assurait pour l'année à venir prospérité et longue vie. Aujourd'hui, l'usage veut que celui-ci soit accroché au-dessus d'une porte ou au plafond pour s'embrasser le soir du 31 décembre.
Si vous voulez conserver un bouquet de houx plus longtemps, faites couler un peu de cire de bougie sur la partie coupée et laissez bien sécher avant de l'utiliser tel quel en décoration.
Pour le houx, c'est donc un bouquet de quelques branches, en évitant d'arracher salement les tiges de l'arbre. « C'est de la sensibilisation. Mais tout prélèvement intensif et trop volumineux peut faire l'objet d'une amende », prévient-on à l'ONF. La vente de houx sauvage est par ailleurs proscrite sur les marchés.
Pour conserver du houx, il existe plusieurs techniques. Soit on peut le mettre dans du sable humide soit on peut faire couler de la bougie sur le bout des branches. Enfin, on peut mettre les tiges dans un essuie-tout humide entouré de papier aluminium qui lui donnera un air de fête.
Attachez une petite botte de gui avec un beau ruban et accrochez-la au-dessus de la porte ou à une poutre au plafond, et celui ou celle qui se trouve dessous pourra être librement embrassé·e. Il suffit donc d'attendre le bon moment et de saisir sa chance.
Couper les pieds de gui à ras
Il est important d'éliminer ce parasite dès les premières apparitions. Pour cela, couper le gui au ras de la branche, avec une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Si les branches sont trop atteintes, mieux vaut les couper avec une scie d'élagage.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Faites sécher les feuilles en plein air s'il n'est pas nécessaire qu'elles soient plates. Placez les feuilles dans un récipient peu profond ou regroupez-les en petits bouquets. Exposez-les alors directement au soleil pendant quelques jours.
Cette plante porte-bonheur, incontournable des fêtes de fin d'année, est symbole de fertilité, de bon augure et d'abondance. Le gui, ou Viscum Album, pousse en boules à la cime des pommiers, poiriers, noisetiers, robiniers, tilleuls, saules, peupliers, entre autres feuillus.
Symbole du renouveau, elle symbolise aussi la bonne santé et la chance. Les druides cueillaient le gui avec d'infinies précautions, celui-ci étant paré de bien des vertus médicinales.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.
Un crochet unique par plante : il s'installe aussi bien dans un plafond plat qu'en béton qu'un faux plafond ou un mur. Percez, puis choisissez une cheville adaptée à votre suspension et installez le crochet dans le plafond ou sur le mur de votre choix. Vous n'avez plus qu'à suspendre votre plante verte !
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
L'idéal est d'agir très tôt, c'est-à-dire dès que l'on constate l'apparition de gui dans un arbre. Dans ce cas, il suffit de couper la branche parasitée, si elle est de petite taille, ou de procéder à un «curetage» suffisant pour extraire l'haustorium (suçoir) s'il s'agit d'une charpentière.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le gui parasite l'arbre
Le gui épuise l'arbre quand il est abondant. C'est en fait un bon exemple de végétal hémiparasite, c'est-à-dire qu'il se nourrit de la sève de son hôte sans pour autant l'épuiser totalement.
Vous pratiquez une petite entaille sur une jeune branche en janvier février. Il suffit ensuite de faire éclater une baie de gui dans cette entaille. La substance collante que contient la baie maintient celle-ci en place. Une touffe de gui demande plusieurs années pour fructifier.
Le plus simple est de couper, à l'aide d'un sécateur, les touffes de gui à la base et de creuser ensuite cette base jusqu'à ôter complètement le pivot destructeur. Il ne faut pas avoir peur de s'enfoncer dans la branche de l'arbre, c'est pour son bien !
La meilleure période pour tailler le houx est à la fin de l'hiver. Ne pas tailler à l'automne sinon vous ne profiterez pas de ses jolies baies rouges. Utilisez des gants car ses piquants risquent de vous blesser.
Dès fin novembre, les baies rouges (ou jaunes / oranges selon les variétés) commencent à apparaître. Le houx les garde tout l'hiver, mais comme les oiseaux s'en nourrissent, mieux vaut prévoir sa cueillette relativement tôt dans la saison.
La réponse de Patrick Mioulane : Le houx (Ilex aquifolium) est le plus souvent une plante dioïque, c'est-à-dire unisexuée.Il existe donc des houx mâles et des houx femelles. Seuls ces derniers portent les « boules rouges » qui sont les fruits.