Premièrement, on met en place le
Le Floating Seahorse, d'une valeur d'1,8 millions de dollars, fait partie d'un projet de construction (« The Heart of Europe ») d'un total de 42 maisons identiques. Elles sont situées à Dubai, et ont la particularité d'être construites sur l'eau, sur 3 étages dont un sous l'eau.
Les recommandations du DTU 13.11
Il ne faut donc pas couler de fondation si les fouilles sont remplies d'eau. Elles doivent être assainies soit par épuisement, c'est-à-dire par pompage soit par drainage. Un sol est composé d'éléments solides, d'eau et d'air.
Comment construisaient-ils des ponts sur l'eau autrefois ? Celui-ci a été rendu étanche à l'aide de boue et renforcé avec du sable. L'eau était ensuite pompée de la fosse par une roue hydraulique. Le sous-sol a probablement été renforcé à l'aide de pieux en bois enfoncés à l'aide d'un enfonce-pieux.
Le pont devra avoir un longueur maximale de 35 cm et sera construit avec un maximum de 150 bâtons de popsicle et de la colle appliquée au moyen d'un pistolet chauffant. Les principes de construction s'appliquent cependant à des ponts de plus grandes dimensions ou construits avec de la colle à bois industrielle.
Cette émission vidéo (4 min.) de TFO démontre pourquoi le triangle est la forme géométrique la plus résistante!
Les poutres à âme pleine sont actuellement les plus utilisées car leur fabrication est relativement aisée. Les poutres caissons ont une meilleure résistance à la torsion que les poutres à âme pleine.
Mais en règle générale, depuis la plus haute antiquité, on utilise des batardeaux, c'est-à-dire des caissons étanches que l'on immerge à l'emplacement des piliers et que l'on vide pour accéder au lit du cours d'eau. Le pilier du pont est alors construit à l'intérieur du batardeau.
Premièrement, on met en place le batardeau. Il s'agit d'un caisson étanche constitué de palplanches jointives en acier qui traversent l'eau. On le réalise par battage au mouton, une technique qui permet de mieux l'enfoncer dans les roches situées au fond du fleuve en "tapant" dessus.
Contrairement à de la peinture à l'eau, le ciment ne sèche pas : il prend. Et le ciment peut très bien aussi « prendre » sous l'eau, en milieu totalement immergé. Son durcissement ne résulte en effet pas d'un séchage mais d'une réaction chimique dans laquelle l'eau a un rôle important.
Le béton utilisé pour bétonner sous l'eau est un béton hydraulique (type XV). C'est par le biais d'adjuvants anti-lessivage et superplastifiant que ce béton est fabriqué.
LE PROMPT VICAT est un ciment naturel, de couleur ocre clair, à prise rapide et réglable. depuis plus de 150 ans, ce liant hydraulique naturel possède un coefficient de perméabilité à l'eau très faible, à dosage élevé.
Construire sur l'eau permet souvent d'aller plus loin en matière de durabilité. Koen Olthuis montra un projet dans lequel l'eau était canalisée le long des murs pour servir de refroidissement, rendant tout conditionnement d'air superflu.
Le tablier du pont est porté par une ou plusieurs arches en bois, en pierre, en acier ou en béton armé. L'arche transmet le poids de l'ouvrage sur ses appuis. La structure a tendance à s'écarter, il faut alors que le sol résiste à cet effort pour que l'ouvrage reste debout.
Pliez les coudes et placez les mains de chaque côté de votre tête, en regard des oreilles. Les paumes sont posées au sol et les doigts sont tournés en direction de vos pieds. Prenez la posture du pont. Appuyez sur les pieds pour soulever les fesses et le bassin du sol.
L'histoire de la construction des ponts est avant tout celle des matériaux qui les constituent. Les ouvrages primitifs étaient réalisés avec des matériaux naturels tels que le bois, les lianes et la pierre.
La maîtrise de l'acier a permis la construction des premiers ponts suspendus dès le XIXe siècle. Les ponts suspendus classiques sont conçus selon une technique de construction très ancienne, celle qu'on utilise pour les ponts en lianes, mais avec des câbles en acier et une portée bien plus longue.